En bon commerçant, ils entretiennent leur clientèle,Crapulax a écrit : ..................................Le feu de camp pour accueillir la clientèle.....................................
Les dealers de la place des Faons, haut lieu du trafic de drogue dans le quartier des Izards à Toulouse, usent de tous les subterfuges pour accueillir la "clientèle". Avec le froid qui s'installe, les trafiquants ont été surpris en train d'allumer un feu de camp sur la place avec des planches d'assise d'un banc, comme ont pu le constater, ce mercredi 29 novembre, les agents de la police municipale alertés par la vidéo protection.
Trois personnes ont été interpellées: un vendeur de drogue, un acheteur et une personne ayant dégradé le banc pour nourrir le feu. Les policiers ont récupéré un pochon de cocaïne destiné à la transaction illicite.
Source:La Dépêche.
Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
- zylto
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
Vous pouvez vous construire un trône avec des baïonnettes, mais vous ne resterez pas assis longtemps dessus.
Boris Eltsine
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
....................Le Blues de Hulot.......................
Interrogé ce matin sur les antennes de France Inter sur sa popularité dans l'opinion publique, le ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot a estimé que «les choses allaient dans le bon sens» avec le gouvernement. «C'est chiant du matin au soir d'être ministre», a-t-il déclaré. Il poursuit en expliquant que «ça n'a d'intérêt que si vous avez le sentiment de faire avancer les choses».
Nicolas Hulot affirme cependant qu'il sera «heureux» lorsqu'il aura le sentiment «d'avoir engagé des dynamiques irreversibles» sur les sujets de santé, d'environnement, de transition énergétique et d'économie sociale et solidaire.
Source:Le Figaro.
Interrogé ce matin sur les antennes de France Inter sur sa popularité dans l'opinion publique, le ministre de la Transition écologique Nicolas Hulot a estimé que «les choses allaient dans le bon sens» avec le gouvernement. «C'est chiant du matin au soir d'être ministre», a-t-il déclaré. Il poursuit en expliquant que «ça n'a d'intérêt que si vous avez le sentiment de faire avancer les choses».
Nicolas Hulot affirme cependant qu'il sera «heureux» lorsqu'il aura le sentiment «d'avoir engagé des dynamiques irreversibles» sur les sujets de santé, d'environnement, de transition énergétique et d'économie sociale et solidaire.
Source:Le Figaro.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
......................Une épicerie qui ne vendait ni alcool ni porc.............................
Le tribunal de Nanterre a ordonné ce lundi l'expulsion de l'épicerie Good Price, installé au pied des tours de la cité des Grèves à Colombes, pour non-respect du bail de «commerce d'alimentation générale» parce qu'elle ne vendait ni alcool, ni porc.
Colombes habitat public (CHP), l'office HLM présidé par la maire Nicole Goueta (Les Républicains), avait décidé en novembre 2015, en tant que bailleur, d'attaquer en justice son locataire Anadolu Distribution, détenteur de l'enseigne Good Price, pour demander la rupture du bail. D'après l'office HLM, ce local commercial avait été loué pour «un commerce généraliste d'alimentation». Or, en ne vendant ni porc, ni alcool, la supérette ne respectait pas ce contrat, avait considéré le bailleur. Le tribunal de Nanterre lui a donné raison et estimé que la société Anadolu Distribution ne répondait pas «aux besoins de tous les habitants du quartier (...), la majorité des produits mis en vente étant des produits orientaux confessionnels», selon le jugement consulté par l'AFP.
Olivier Virolle, directeur général de CHP, a fait part de sa «satisfaction». «Des habitants de Colombes venaient se plaindre à la mairie de ne plus trouver ce qu'ils trouvaient habituellement auparavant», a-t-il expliqué, assurant qu'il disposait déjà de «plusieurs candidatures pour reprendre le commerce». «Le local ne comporte pas de rayon de vente de vins et d'alcool», selon le tribunal et «la société locataire propose à la vente des tableaux de prières rédigés en langue arabe».
L'affaire n'est pas nouvelle. Elle remonte à 2015. À l'époque, le local commercial est occupé par un magasin Franprix. L'enseigne quitte les lieux et le bail est donc vacant. Un projet de boucherie halal crée une première polémique, une pétition dénonçant cette perspective. Finalement, l'idée d'une nouvelle supérette est retenue. Or Good Price est de facto une épicerie halal où le porc et le vin sont proscrits. Et l'office HLM attaque pour non-respect d'une clause du contrat dans l'intention affichée de ne pas permettre une «communautarisation» des commerces de la ville.
Adaptation à la demande:
Comme son nom l'indique, Good Price se caractérise par sa politique de petits prix. Mais la mairie va rapidement constater que les petits prix vont de pair avec une sélection des articles en vente. Des habitants dénoncent notamment le fait qu'ils ne trouvent plus de vin dans le magasin. De plus, point de jambon ni de porc en général, ou de viande non halal, chez Good Price.
L'expression « commerce généraliste d'alimentation » s'oppose à l'idée d'un commerce halal restreignant le nombre d'articles à la vente.
Tentant de régler le problème à l'amiable, la mairie demande alors au commerce d'intégrer ces produits dans son offre. Le gérant, Soulemane Yalcin, explique qu'il doit s'adapter à la demande et que de tels produits ne trouveraient pas preneurs…
L'office HLM, agissant en tant que bailleur, décide alors de saisir la justice pour demander la rupture du bail, qui court jusqu'en 2019. L'argumentation est des plus simples: l'expression «commerce généraliste d'alimentation» s'oppose à l'idée d'un commerce halal restreignant le nombre d'articles à la vente. Lors de l'audience début octobre, la société Anadolu Distribution avait fait apparaître, par constat d'huissier, la présence à la vente de produits non halal dans son magasin. Et l'avocate de la société de plaider: «Le vin ne fait pas partie de l'alimentation générale. C'est ce que l'on appelle un complément, donc il n'y a pas d'obligations». Mais ce constat a été considéré comme «insuffisant à faire la preuve contraire des constats (...) établissant la vente majoritaire de produits halal ou exotiques et l'absence de vente de vins et boissons alcoolisées», selon le tribunal.
Dans un autre constat, Colombes habitat public avait fait relever la présence d'un «rayon de vaisselle de type oriental», d'un «rayon frais exclusivement garni de produits orientaux estampillés halal» ou encore «de tableaux décoratifs représentant des versets coraniques». Le tribunal a donc considéré que «la vente de produits destinés non pas à toute la clientèle mais à des acheteurs spécifiques (produits halal, produits orientaux) est restrictive et ne correspond pas à la notion d'alimentation générale».
Outre l'expulsion, le tribunal a condamné la société Anadolu Distribution à payer 4000 euros à l'office HLM pour frais de procédure.
Source:Le Figaro.
Le tribunal de Nanterre a ordonné ce lundi l'expulsion de l'épicerie Good Price, installé au pied des tours de la cité des Grèves à Colombes, pour non-respect du bail de «commerce d'alimentation générale» parce qu'elle ne vendait ni alcool, ni porc.
Colombes habitat public (CHP), l'office HLM présidé par la maire Nicole Goueta (Les Républicains), avait décidé en novembre 2015, en tant que bailleur, d'attaquer en justice son locataire Anadolu Distribution, détenteur de l'enseigne Good Price, pour demander la rupture du bail. D'après l'office HLM, ce local commercial avait été loué pour «un commerce généraliste d'alimentation». Or, en ne vendant ni porc, ni alcool, la supérette ne respectait pas ce contrat, avait considéré le bailleur. Le tribunal de Nanterre lui a donné raison et estimé que la société Anadolu Distribution ne répondait pas «aux besoins de tous les habitants du quartier (...), la majorité des produits mis en vente étant des produits orientaux confessionnels», selon le jugement consulté par l'AFP.
Olivier Virolle, directeur général de CHP, a fait part de sa «satisfaction». «Des habitants de Colombes venaient se plaindre à la mairie de ne plus trouver ce qu'ils trouvaient habituellement auparavant», a-t-il expliqué, assurant qu'il disposait déjà de «plusieurs candidatures pour reprendre le commerce». «Le local ne comporte pas de rayon de vente de vins et d'alcool», selon le tribunal et «la société locataire propose à la vente des tableaux de prières rédigés en langue arabe».
L'affaire n'est pas nouvelle. Elle remonte à 2015. À l'époque, le local commercial est occupé par un magasin Franprix. L'enseigne quitte les lieux et le bail est donc vacant. Un projet de boucherie halal crée une première polémique, une pétition dénonçant cette perspective. Finalement, l'idée d'une nouvelle supérette est retenue. Or Good Price est de facto une épicerie halal où le porc et le vin sont proscrits. Et l'office HLM attaque pour non-respect d'une clause du contrat dans l'intention affichée de ne pas permettre une «communautarisation» des commerces de la ville.
Adaptation à la demande:
Comme son nom l'indique, Good Price se caractérise par sa politique de petits prix. Mais la mairie va rapidement constater que les petits prix vont de pair avec une sélection des articles en vente. Des habitants dénoncent notamment le fait qu'ils ne trouvent plus de vin dans le magasin. De plus, point de jambon ni de porc en général, ou de viande non halal, chez Good Price.
L'expression « commerce généraliste d'alimentation » s'oppose à l'idée d'un commerce halal restreignant le nombre d'articles à la vente.
Tentant de régler le problème à l'amiable, la mairie demande alors au commerce d'intégrer ces produits dans son offre. Le gérant, Soulemane Yalcin, explique qu'il doit s'adapter à la demande et que de tels produits ne trouveraient pas preneurs…
L'office HLM, agissant en tant que bailleur, décide alors de saisir la justice pour demander la rupture du bail, qui court jusqu'en 2019. L'argumentation est des plus simples: l'expression «commerce généraliste d'alimentation» s'oppose à l'idée d'un commerce halal restreignant le nombre d'articles à la vente. Lors de l'audience début octobre, la société Anadolu Distribution avait fait apparaître, par constat d'huissier, la présence à la vente de produits non halal dans son magasin. Et l'avocate de la société de plaider: «Le vin ne fait pas partie de l'alimentation générale. C'est ce que l'on appelle un complément, donc il n'y a pas d'obligations». Mais ce constat a été considéré comme «insuffisant à faire la preuve contraire des constats (...) établissant la vente majoritaire de produits halal ou exotiques et l'absence de vente de vins et boissons alcoolisées», selon le tribunal.
Dans un autre constat, Colombes habitat public avait fait relever la présence d'un «rayon de vaisselle de type oriental», d'un «rayon frais exclusivement garni de produits orientaux estampillés halal» ou encore «de tableaux décoratifs représentant des versets coraniques». Le tribunal a donc considéré que «la vente de produits destinés non pas à toute la clientèle mais à des acheteurs spécifiques (produits halal, produits orientaux) est restrictive et ne correspond pas à la notion d'alimentation générale».
Outre l'expulsion, le tribunal a condamné la société Anadolu Distribution à payer 4000 euros à l'office HLM pour frais de procédure.
Source:Le Figaro.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
.........................Le Maire de Neuilly et les SDF......................
Deux sites ont été proposés par la Ville de Paris pour accueillir les sans-abri. La réquisition de l'ancien hôpital militaire du Val-de-Grâce est demandée depuis des mois par les associations. À l'inverse, la suggestion du parking d'un club de tennis dans cette riche ville des Hauts-de-Seine est perçue comme «une provocation».
«Une ânerie». C'est la réponse de Jean-Christophe Fromantin, maire de Neuilly-sur-Seine à la proposition de Ian Brossat, adjoint PCF au Logement de la mairie de Paris, d'installer un centre pour sans-abri dans sa ville. Avancée dans Le JDD par l'élu communiste en même temps que l'hôpital de Val-de-Grâce, vide depuis juin 2016, la suggestion d'utiliser le parking d'un club de tennis de 1100 m² de la ville ne fait pas l'unanimité.
Jean-Christophe Fromantin reconnaît dans LeParisien qu'«il faut trouver des solutions pour les sans-abri». Mais il critique le choix du lieu proposé, sur lequel doit débuter début 2018 «les travaux du complexe sportif voisin». Le terrain appartient à la ville de Paris et à l'Académie des Beaux-Arts. Ian Brossat précise au Figaro qu'il pourrait y être installé des «logements modulaires et provisoires». Une idée «déjà évoquée lorsqu'«Emmanuelle Cosse était ministre du Logement».
Pourtant, l'édile assure n'avoir «jamais eu connaissance» de ce projet, inadéquat alors que la parcelle «fait l'objet d'une servitude d'urbanisme jusqu'en novembre 2018.» Pour lui, ce n'est qu'une «provocation vis-à-vis de Neuilly» alors qu'il «a fait à plusieurs reprises des propositions d'achat de ce terrain pour la construction de logements sociaux sans qu'une suite ne leur soit donnée». Contrairement au 25% requis par la loi SRU du 13 décembre 2000, cette ville des Hauts-de-Seine ne dispose que de 5% de logements sociaux. Ian Brossat assure qu'«il ne s'agit pas de provoquer mais de trouver des solutions». D'après cet adjoint d'Anne Hidalgo, il ne faut donc pas y voir une «punition». Mais il assume la volonté de la Ville de «ne pas concentrer les hébergements d'urgence dans le nord de la capitale». Il ajoute qu'en comparaison, et malgré les réticences, l'intégration de logements pour sans-abri dans le XVIe arrondissement il y a un an s'est finalement bien passée.
Dans la rue, «des dizaines de milliers d'invisibles»
D'après le Samu social, seul 30% des demandes d'hébergement d'urgence ont une réponse positive en région parisienne. Il manquerait au moins 3000 places d'accueil. La ville dispose déjà de 10.000 places d'hébergement d'urgence. Ian Brossat précise que «11 gymnases, soit environ 830 places» seront réquisitionnés par la mairie cet hiver. À cela s'ajoutent 308 places disponibles à partir du 10 décembre après l'inauguration d'un centre de logements modulaires dans le XIIe arrondissement.
Des initiatives saluées par les associations, mais jugées insuffisantes. Jean-Baptiste Eyraud, président de l'association Droit au Logement (DAL), contacté par téléphone, déclare que «Neuilly doit faire sa part». D'après lui, «les décisions viennent de toute façon du haut, d'Emmanuel Macron et des préfets.» Il précise, qu'outre le Val-de-Grâce, de nombreux autres bâtiments publics pourraient être réquisitionnés, «comme une grande partie de l'Hôtel-Dieu, aujourd'hui vide.»
Les hôtels dits «sociaux» sont saturés, tout comme les centres d'hébergement d'urgence. «Il est difficile de vous proposer un chiffre sûr», reconnaît le président de la DAL, «mais on le sent sur le terrain, il y a de plus en plus de monde dans la rue. Des dizaines de milliers d'invisibles.» Alors qu'Emmanuel Macron avait déclaré cet été ne plus vouloir «personnes dans les rues», Jean-Baptiste Eyraud prévient: «L'État a intérêt à mettre les bouchées doubles s'il veut respecter cet engagement».
Source:Le Figaro.
Deux sites ont été proposés par la Ville de Paris pour accueillir les sans-abri. La réquisition de l'ancien hôpital militaire du Val-de-Grâce est demandée depuis des mois par les associations. À l'inverse, la suggestion du parking d'un club de tennis dans cette riche ville des Hauts-de-Seine est perçue comme «une provocation».
«Une ânerie». C'est la réponse de Jean-Christophe Fromantin, maire de Neuilly-sur-Seine à la proposition de Ian Brossat, adjoint PCF au Logement de la mairie de Paris, d'installer un centre pour sans-abri dans sa ville. Avancée dans Le JDD par l'élu communiste en même temps que l'hôpital de Val-de-Grâce, vide depuis juin 2016, la suggestion d'utiliser le parking d'un club de tennis de 1100 m² de la ville ne fait pas l'unanimité.
Jean-Christophe Fromantin reconnaît dans LeParisien qu'«il faut trouver des solutions pour les sans-abri». Mais il critique le choix du lieu proposé, sur lequel doit débuter début 2018 «les travaux du complexe sportif voisin». Le terrain appartient à la ville de Paris et à l'Académie des Beaux-Arts. Ian Brossat précise au Figaro qu'il pourrait y être installé des «logements modulaires et provisoires». Une idée «déjà évoquée lorsqu'«Emmanuelle Cosse était ministre du Logement».
Pourtant, l'édile assure n'avoir «jamais eu connaissance» de ce projet, inadéquat alors que la parcelle «fait l'objet d'une servitude d'urbanisme jusqu'en novembre 2018.» Pour lui, ce n'est qu'une «provocation vis-à-vis de Neuilly» alors qu'il «a fait à plusieurs reprises des propositions d'achat de ce terrain pour la construction de logements sociaux sans qu'une suite ne leur soit donnée». Contrairement au 25% requis par la loi SRU du 13 décembre 2000, cette ville des Hauts-de-Seine ne dispose que de 5% de logements sociaux. Ian Brossat assure qu'«il ne s'agit pas de provoquer mais de trouver des solutions». D'après cet adjoint d'Anne Hidalgo, il ne faut donc pas y voir une «punition». Mais il assume la volonté de la Ville de «ne pas concentrer les hébergements d'urgence dans le nord de la capitale». Il ajoute qu'en comparaison, et malgré les réticences, l'intégration de logements pour sans-abri dans le XVIe arrondissement il y a un an s'est finalement bien passée.
Dans la rue, «des dizaines de milliers d'invisibles»
D'après le Samu social, seul 30% des demandes d'hébergement d'urgence ont une réponse positive en région parisienne. Il manquerait au moins 3000 places d'accueil. La ville dispose déjà de 10.000 places d'hébergement d'urgence. Ian Brossat précise que «11 gymnases, soit environ 830 places» seront réquisitionnés par la mairie cet hiver. À cela s'ajoutent 308 places disponibles à partir du 10 décembre après l'inauguration d'un centre de logements modulaires dans le XIIe arrondissement.
Des initiatives saluées par les associations, mais jugées insuffisantes. Jean-Baptiste Eyraud, président de l'association Droit au Logement (DAL), contacté par téléphone, déclare que «Neuilly doit faire sa part». D'après lui, «les décisions viennent de toute façon du haut, d'Emmanuel Macron et des préfets.» Il précise, qu'outre le Val-de-Grâce, de nombreux autres bâtiments publics pourraient être réquisitionnés, «comme une grande partie de l'Hôtel-Dieu, aujourd'hui vide.»
Les hôtels dits «sociaux» sont saturés, tout comme les centres d'hébergement d'urgence. «Il est difficile de vous proposer un chiffre sûr», reconnaît le président de la DAL, «mais on le sent sur le terrain, il y a de plus en plus de monde dans la rue. Des dizaines de milliers d'invisibles.» Alors qu'Emmanuel Macron avait déclaré cet été ne plus vouloir «personnes dans les rues», Jean-Baptiste Eyraud prévient: «L'État a intérêt à mettre les bouchées doubles s'il veut respecter cet engagement».
Source:Le Figaro.
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Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
....Il s'accuse d'un meurtre imaginaire pour aller en prison plutôt que de dormir "dehors".........
Vendredi soir, à la gendarmerie de Toulouse (Haute-Garonne). Le téléphone sonne. Au bout du fil, une personne affirme avoir entendu une détonation, puis avoir vu un homme tirer sur un groupe de jeunes, blessant l’un d’entre eux, à Cugnaux, ville de la banlieue toulousaine. Les gendarmes filent tout de suite sur place.
Là, ils trouvent un homme au milieu de la route. « J’ai tué quelqu’un », affirme-t-il. Mais il refuse de dévoiler où il a caché le corps et l’arme du crime, raconte La Dépêche du Midi mardi.
Le marginal préfère passer l’hiver en prison:
Problème : personne n’a rien vu, ni rien entendu. Les hôpitaux du secteur ne signalent aucune victime et aucun corps n’est trouvé dans le quartier. Placé en garde à vue, l’homme de 35 ans finit par avouer qu’il a tout inventé. Avec pour seul but de passer l’hiver dans la chaleur - toute relative - d’une prison.
Un coup de fil qui pourrait lui valoir des soucis judiciaires. Connu pour être psychologiquement instable, il a été présenté au parquet et sera convoqué par la justice en mars. En attendant, il est placé sous contrôle judiciaire avec obligation de soins.
Source:Le Parisien.
Vendredi soir, à la gendarmerie de Toulouse (Haute-Garonne). Le téléphone sonne. Au bout du fil, une personne affirme avoir entendu une détonation, puis avoir vu un homme tirer sur un groupe de jeunes, blessant l’un d’entre eux, à Cugnaux, ville de la banlieue toulousaine. Les gendarmes filent tout de suite sur place.
Là, ils trouvent un homme au milieu de la route. « J’ai tué quelqu’un », affirme-t-il. Mais il refuse de dévoiler où il a caché le corps et l’arme du crime, raconte La Dépêche du Midi mardi.
Le marginal préfère passer l’hiver en prison:
Problème : personne n’a rien vu, ni rien entendu. Les hôpitaux du secteur ne signalent aucune victime et aucun corps n’est trouvé dans le quartier. Placé en garde à vue, l’homme de 35 ans finit par avouer qu’il a tout inventé. Avec pour seul but de passer l’hiver dans la chaleur - toute relative - d’une prison.
Un coup de fil qui pourrait lui valoir des soucis judiciaires. Connu pour être psychologiquement instable, il a été présenté au parquet et sera convoqué par la justice en mars. En attendant, il est placé sous contrôle judiciaire avec obligation de soins.
Source:Le Parisien.
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
.................Un policier se suicide dans "son commissariat"................
L’homme de 42 ans s’est donné la mort avec son arme de service.
Le procureur de la République d’Alençon, François Coudert, a juste confirmé que le "corps sans vie d’un policier", père de deux enfants, avait été retrouvé dimanche dans ce commissariat.
Selon la source proche de l’enquête, un courrier a été retrouvé à proximité du corps, qui n’explique toutefois pas le geste du policier. Ce dernier s’est donné la mort avec son arme de service, selon cette source, qui n’avait pas d’information sur les raisons ayant poussé le brigadier à mettre fin à ces jours.
Série noire:
Vendredi, le directeur de la sécurité publique de l’Orne avait réclamé des effectifs supplémentaires pour le commissariat d’Alençon, lors d’une réunion qui faisait le point sur la consultation en cours sur la police de sécurité du quotidien. L’Union nationale des syndicats autonomes (Unsa), qui estime qu’il "faudrait au moins cinq postes supplémentaires à Alençon", n’a souhaité faire aucun commentaire sur le suicide.
Le 24 novembre, le ministère de l’Intérieur faisait état de 62 suicides parmi les forces de l’ordre depuis le début de l’année 2017 : 46 chez les policiers et 16 chez les gendarmes. La moyenne des suicides dans la police sur les dix dernières années s’établit à 43,2 par an. Elle est de 25 chez les gendarmes.
Début novembre, les forces de l’ordre ont connu une semaine noire durant laquelle sept policiers et deux gendarmes ont mis fin à leurs jours.
Source:Sud-Ouest.
L’homme de 42 ans s’est donné la mort avec son arme de service.
Le procureur de la République d’Alençon, François Coudert, a juste confirmé que le "corps sans vie d’un policier", père de deux enfants, avait été retrouvé dimanche dans ce commissariat.
Selon la source proche de l’enquête, un courrier a été retrouvé à proximité du corps, qui n’explique toutefois pas le geste du policier. Ce dernier s’est donné la mort avec son arme de service, selon cette source, qui n’avait pas d’information sur les raisons ayant poussé le brigadier à mettre fin à ces jours.
Série noire:
Vendredi, le directeur de la sécurité publique de l’Orne avait réclamé des effectifs supplémentaires pour le commissariat d’Alençon, lors d’une réunion qui faisait le point sur la consultation en cours sur la police de sécurité du quotidien. L’Union nationale des syndicats autonomes (Unsa), qui estime qu’il "faudrait au moins cinq postes supplémentaires à Alençon", n’a souhaité faire aucun commentaire sur le suicide.
Le 24 novembre, le ministère de l’Intérieur faisait état de 62 suicides parmi les forces de l’ordre depuis le début de l’année 2017 : 46 chez les policiers et 16 chez les gendarmes. La moyenne des suicides dans la police sur les dix dernières années s’établit à 43,2 par an. Elle est de 25 chez les gendarmes.
Début novembre, les forces de l’ordre ont connu une semaine noire durant laquelle sept policiers et deux gendarmes ont mis fin à leurs jours.
Source:Sud-Ouest.
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
................................Décès de l'Idole des Jeunes.........................
Johnny Hallyday s'est éteint:
Luttant contre un cancer des poumons depuis des mois, le chanteur est décédé dans la nuit de mardi à mercredi à 74 ans, a annoncé Laeticia, l'épouse du chanteur. Retour sur la vie du rocker, toutes ses joies et ses peines, qui ont marqué profondément la France depuis 60 ans.
Source:Le Figaro.
NB.......Un topic "nécro" est disponible en Section Culture....(Ils nous ont quittés........)
Johnny Hallyday s'est éteint:
Luttant contre un cancer des poumons depuis des mois, le chanteur est décédé dans la nuit de mardi à mercredi à 74 ans, a annoncé Laeticia, l'épouse du chanteur. Retour sur la vie du rocker, toutes ses joies et ses peines, qui ont marqué profondément la France depuis 60 ans.
Source:Le Figaro.
NB.......Un topic "nécro" est disponible en Section Culture....(Ils nous ont quittés........)
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
...........................Des pilleurs de boites aux lettres....................
A Morangis, cette résidence de la rue Barbara a été la cible des pilleurs. LP/F.L.
Après une traque menée par les policiers de Savigny, six hommes ont été interpellés ces derniers jours. Ils ouvraient les boîtes aux lettres, volant les colis, mais aussi des clés pour cambrioler des appartements ou voler des voitures.
Rue Barbara à Morangis (Essonne). Un quartier tout neuf. Mais des boîtes aux lettres qui ne ferment plus dans plusieurs halls. Cette petite artère était le terrain de jeu privilégié d’une équipe qui avait fait du vol de colis son activité principale. Après une minutieuse enquête menée par les policiers de Savigny-sur-Orge, six hommes ont été interpellés à Saulx-les-Chartreux, Athis-Mons et Savigny ces derniers jours.
Quatorze victimes ont été recensées entre fin septembre et fin novembre, rien que dans cette petite artère de Morangis. «Mais on suppose qu’ils se sont attaqués à un nombre bien plus grand encore de boîtes aux lettres, glisse une source proche du dossier. Car la plupart des gens qui se faisaient voler des colis croyaient simplement avoir été oubliés. Et ils appelaient le service client du site de vente en ligne pour se faire à nouveau livrer.»
Pas de préjudice, et donc pas de plainte pour alerter les services de police. Mais cette équipe a finalement commencé à rentrer dans leur radar en s’emparant des clés d’une Clio laissée dans une boîte aux lettres. Ils ont ensuite dérobé le véhicule. Une caméra a été installée par le syndicat de copropriété de la rue Barbara à Morangis. Peu après, c’est un appartement qui a été visité alors que le locataire avait lui aussi laissé ses clés dans sa boîte. Il s’est fait délester de près de 4 000 euros de matériel hi-fi.
«On conseille plutôt de se faire livrer dans un point relais que chez soi»
Dans les colis, cible principale de ce gang : des capsules de café, des vêtements, des téléphones, des cadeaux de Noël pour enfants… «On conseille plutôt de se faire livrer dans un point relais que chez soi. Et surtout de ne jamais rendre les clés ou les papiers d’identité de quelqu’un en les laissant dans une boîte aux lettres», recommandent les forces de l’ordre.
La récurrence des vols permet aux enquêteurs qui scrutent les images de remarquer que deux hommes reviennent régulièrement. Ils pénètrent dans les halls en tirant fort sur les portes aimantées qu’ils dégradaient. Un complice était toujours dehors pour faire le guet en faisant semblant de téléphoner.
Au 4 rue Barbara, les locataires excédés avaient même collé une affiche : «Attention aux vols». «On ne se faisait plus livrer chez nous, soupire une mère de famille qui s’est fait détourner des vêtements de marque. J’avais également acheté des livres sur eBay. Le vendeur m’a certifié qu’il avait tout envoyé avec facture à l’appui. Et moi, je ne les ai jamais reçus.»
Les policiers ont diffusé l’image des voleurs présumés. Leurs collègues des commissariats voisins reconnaissent alors deux jeunes d’Athis. Une surveillance téléphonique est lancée et une planque est mise en place à Morangis le 27 novembre. Mais ce jour-là, les deux meneurs sont interpellés en flagrant délit après s’être battus avec un gardien d’immeuble à Chilly-Mazarin.
Lors des perquisitions, les enquêteurs découvrent chez l’un des suspects un chéquier volé dans une boîte aux lettres à Saulx-les-Chartreux. «C’est la preuve qu’ils écumaient l’Essonne», reprend une source proche du dossier. L’un d’entre eux, chauffeur Uber, se déplaçait pour commettre ses forfaits avec son véhicule professionnel. Il a donc été saisi de manière préventive. Relâchés, ces hommes âgés de 20 à 25 ans, seront présentés pour ces faits au tribunal d’Evry en mars.
Source:Le Parisien.
A Morangis, cette résidence de la rue Barbara a été la cible des pilleurs. LP/F.L.
Après une traque menée par les policiers de Savigny, six hommes ont été interpellés ces derniers jours. Ils ouvraient les boîtes aux lettres, volant les colis, mais aussi des clés pour cambrioler des appartements ou voler des voitures.
Rue Barbara à Morangis (Essonne). Un quartier tout neuf. Mais des boîtes aux lettres qui ne ferment plus dans plusieurs halls. Cette petite artère était le terrain de jeu privilégié d’une équipe qui avait fait du vol de colis son activité principale. Après une minutieuse enquête menée par les policiers de Savigny-sur-Orge, six hommes ont été interpellés à Saulx-les-Chartreux, Athis-Mons et Savigny ces derniers jours.
Quatorze victimes ont été recensées entre fin septembre et fin novembre, rien que dans cette petite artère de Morangis. «Mais on suppose qu’ils se sont attaqués à un nombre bien plus grand encore de boîtes aux lettres, glisse une source proche du dossier. Car la plupart des gens qui se faisaient voler des colis croyaient simplement avoir été oubliés. Et ils appelaient le service client du site de vente en ligne pour se faire à nouveau livrer.»
Pas de préjudice, et donc pas de plainte pour alerter les services de police. Mais cette équipe a finalement commencé à rentrer dans leur radar en s’emparant des clés d’une Clio laissée dans une boîte aux lettres. Ils ont ensuite dérobé le véhicule. Une caméra a été installée par le syndicat de copropriété de la rue Barbara à Morangis. Peu après, c’est un appartement qui a été visité alors que le locataire avait lui aussi laissé ses clés dans sa boîte. Il s’est fait délester de près de 4 000 euros de matériel hi-fi.
«On conseille plutôt de se faire livrer dans un point relais que chez soi»
Dans les colis, cible principale de ce gang : des capsules de café, des vêtements, des téléphones, des cadeaux de Noël pour enfants… «On conseille plutôt de se faire livrer dans un point relais que chez soi. Et surtout de ne jamais rendre les clés ou les papiers d’identité de quelqu’un en les laissant dans une boîte aux lettres», recommandent les forces de l’ordre.
La récurrence des vols permet aux enquêteurs qui scrutent les images de remarquer que deux hommes reviennent régulièrement. Ils pénètrent dans les halls en tirant fort sur les portes aimantées qu’ils dégradaient. Un complice était toujours dehors pour faire le guet en faisant semblant de téléphoner.
Au 4 rue Barbara, les locataires excédés avaient même collé une affiche : «Attention aux vols». «On ne se faisait plus livrer chez nous, soupire une mère de famille qui s’est fait détourner des vêtements de marque. J’avais également acheté des livres sur eBay. Le vendeur m’a certifié qu’il avait tout envoyé avec facture à l’appui. Et moi, je ne les ai jamais reçus.»
Les policiers ont diffusé l’image des voleurs présumés. Leurs collègues des commissariats voisins reconnaissent alors deux jeunes d’Athis. Une surveillance téléphonique est lancée et une planque est mise en place à Morangis le 27 novembre. Mais ce jour-là, les deux meneurs sont interpellés en flagrant délit après s’être battus avec un gardien d’immeuble à Chilly-Mazarin.
Lors des perquisitions, les enquêteurs découvrent chez l’un des suspects un chéquier volé dans une boîte aux lettres à Saulx-les-Chartreux. «C’est la preuve qu’ils écumaient l’Essonne», reprend une source proche du dossier. L’un d’entre eux, chauffeur Uber, se déplaçait pour commettre ses forfaits avec son véhicule professionnel. Il a donc été saisi de manière préventive. Relâchés, ces hommes âgés de 20 à 25 ans, seront présentés pour ces faits au tribunal d’Evry en mars.
Source:Le Parisien.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
................................Un "patron-chômeur" démasqué...........................
L’ancien cadre d’une société informatique a touché près de 134 000 euros d’allocations-chômage en deux ans.
Un ancien haut cadre d’une société informatique a été condamné cette semaine à Nantes à un an de prison ferme. Il touchait le chômage malgré son travail dans l’océan indien, rapporte Le Parisien.
L’ex-cadre de l’entreprise Oracle a "omis" de signaler à Pôle emploi qu’il avait quitté la France après son départ de la société informatique. Il actualisait pourtant tous les mois sa situation de demandeur d’emploi depuis l’île Maurice où il avait ouvert un club de plongée sous-marine.
Philippe Gougeon, 55 ans a perçu près de 134 000 euros d’allocations-chômage en deux ans selon le journal. Il touchait la coquette somme de 5 000 à 6 000 euros par mois, l’indemnité maximale accordée par Pôle emploi.
Un an de prison ferme:
L’administration, qui commençait à avoir des doutes l’a finalement rattrapé. Il a été condamné à un an de prison ferme et sa femme à six mois. Le prévenu doit également rembourser les sommes indues. Le Procureur de la République a indiqué qu’il se rendait coupable de "trahison" qui "discrédite le système de solidarité".
"Des recherches ont été faites sur Internet : ce centre de plongée à l’air tout à fait paradisiaque, mais il semble avoir été monté pour partie avec des allocations-chômage", a ironisé le président du tribunal.
Source:Sud-Ouest.
L’ancien cadre d’une société informatique a touché près de 134 000 euros d’allocations-chômage en deux ans.
Un ancien haut cadre d’une société informatique a été condamné cette semaine à Nantes à un an de prison ferme. Il touchait le chômage malgré son travail dans l’océan indien, rapporte Le Parisien.
L’ex-cadre de l’entreprise Oracle a "omis" de signaler à Pôle emploi qu’il avait quitté la France après son départ de la société informatique. Il actualisait pourtant tous les mois sa situation de demandeur d’emploi depuis l’île Maurice où il avait ouvert un club de plongée sous-marine.
Philippe Gougeon, 55 ans a perçu près de 134 000 euros d’allocations-chômage en deux ans selon le journal. Il touchait la coquette somme de 5 000 à 6 000 euros par mois, l’indemnité maximale accordée par Pôle emploi.
Un an de prison ferme:
L’administration, qui commençait à avoir des doutes l’a finalement rattrapé. Il a été condamné à un an de prison ferme et sa femme à six mois. Le prévenu doit également rembourser les sommes indues. Le Procureur de la République a indiqué qu’il se rendait coupable de "trahison" qui "discrédite le système de solidarité".
"Des recherches ont été faites sur Internet : ce centre de plongée à l’air tout à fait paradisiaque, mais il semble avoir été monté pour partie avec des allocations-chômage", a ironisé le président du tribunal.
Source:Sud-Ouest.
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
.............Un Père et son fils grugent 5,3 millions d'Euros de TVA au FISC...........
Tout était réglé comme du papier à musique. Depuis quatre ans au moins, estiment les enquêteurs. Le père de 55 ans - "déjà connu de nos services pour du racket, et que l'on considère comme proche du banditisme marseillais", assure-t-on à l'état-major de la police judiciaire - et son fils de 24 ans, avaient dégoté le bon filon. Un filon, la fraude à la TVA, déjà exploité par d'autres voyous avant eux, mais qu'ils ont usé jusqu'à la corde, et sûrement jusqu'à la faute...
Le duo créait, puis laissait mourir, des sociétés éphémères autour de l'étang de Berre notamment, à la tête desquelles il plaçait des gérants de paille. Les clients étaient évidemment alléchés par les prix proposés, les vendeurs allemands étaient mis dans la boucle, la commande était passée, et des "convoyeurs" spécialisés montaient récupérer les véhicules, pour la grande majorité des bolides de luxe. "Au final, l'acheteur repartait, sans le savoir, avec une facture allemande où il était inscrit que la TVA avait bien été acquittée, sauf qu'il s'agissait de faux !", continue un haut gradé de la PJ.
C'est grâce à un renseignement que le Gir (groupe d'intervention régional) Paca, assisté de l'antenne marseillaise du service national de douane judiciaire, a pu entamer ses investigations. Lesquelles ont rapidement permis de découvrir que des plaintes de clients, auxquels la préfecture, reniflant l'embrouille, avait refusé de leur délivrer une carte grise, avaient déjà été déposées.
Et aussi Hautes-Alpes : enquête sur des soupçons de trafic de voitures de luxe
Notamment plusieurs à la brigade de recherches de la gendarmerie d'Aix, associée à l'enquête dans la foulée, pour laquelle une information judiciaire sera ouverte en mars 2017 et confiée à un juge d'instruction aixois.
Un travail minutieux a permis de démanteler totalement cette escroquerie. Ce mercredi, ce sont 105 fonctionnaires de police et gendarmes - épaulés par la brigade cynophile et des inspecteurs du fisc - qui ont déboulé aux domiciles des suspects : 17 personnes ont été interpellées dans les Bouches-du-Rhône, dont 9 à Marseille, et une à Pourrières dans le Var. Les deux "cerveaux" étaient appréhendés dans leur maison du 13e arrondissement.
Les perquisitions allaient permettre de mettre la main sur 27 véhicules de luxe, de l'argent liquide, des comptes bancaires bien fournis, 10 montres de luxe, et deux armes de poing, "pour une valeur totale d'un million d'euros", se frotte-t-on les mains à la PJ.
Selon nos sources, le préjudice fiscal, en clair le manque à gagner pour l'État, de cette vaste fraude à la TVA se chiffrerait à 5,3 millions d'euros. La petite entreprise familiale serait parvenue à écouler près d'un millier de véhicules allemands !
Hier en fin de journée, 8 des interpellés, dont les compagnes des principaux protagonistes, ont été déférés à la justice. Quatre d'entre eux ont été mis en examen et écroués.
Source:La Provence.
Tout était réglé comme du papier à musique. Depuis quatre ans au moins, estiment les enquêteurs. Le père de 55 ans - "déjà connu de nos services pour du racket, et que l'on considère comme proche du banditisme marseillais", assure-t-on à l'état-major de la police judiciaire - et son fils de 24 ans, avaient dégoté le bon filon. Un filon, la fraude à la TVA, déjà exploité par d'autres voyous avant eux, mais qu'ils ont usé jusqu'à la corde, et sûrement jusqu'à la faute...
Le duo créait, puis laissait mourir, des sociétés éphémères autour de l'étang de Berre notamment, à la tête desquelles il plaçait des gérants de paille. Les clients étaient évidemment alléchés par les prix proposés, les vendeurs allemands étaient mis dans la boucle, la commande était passée, et des "convoyeurs" spécialisés montaient récupérer les véhicules, pour la grande majorité des bolides de luxe. "Au final, l'acheteur repartait, sans le savoir, avec une facture allemande où il était inscrit que la TVA avait bien été acquittée, sauf qu'il s'agissait de faux !", continue un haut gradé de la PJ.
C'est grâce à un renseignement que le Gir (groupe d'intervention régional) Paca, assisté de l'antenne marseillaise du service national de douane judiciaire, a pu entamer ses investigations. Lesquelles ont rapidement permis de découvrir que des plaintes de clients, auxquels la préfecture, reniflant l'embrouille, avait refusé de leur délivrer une carte grise, avaient déjà été déposées.
Et aussi Hautes-Alpes : enquête sur des soupçons de trafic de voitures de luxe
Notamment plusieurs à la brigade de recherches de la gendarmerie d'Aix, associée à l'enquête dans la foulée, pour laquelle une information judiciaire sera ouverte en mars 2017 et confiée à un juge d'instruction aixois.
Un travail minutieux a permis de démanteler totalement cette escroquerie. Ce mercredi, ce sont 105 fonctionnaires de police et gendarmes - épaulés par la brigade cynophile et des inspecteurs du fisc - qui ont déboulé aux domiciles des suspects : 17 personnes ont été interpellées dans les Bouches-du-Rhône, dont 9 à Marseille, et une à Pourrières dans le Var. Les deux "cerveaux" étaient appréhendés dans leur maison du 13e arrondissement.
Les perquisitions allaient permettre de mettre la main sur 27 véhicules de luxe, de l'argent liquide, des comptes bancaires bien fournis, 10 montres de luxe, et deux armes de poing, "pour une valeur totale d'un million d'euros", se frotte-t-on les mains à la PJ.
Selon nos sources, le préjudice fiscal, en clair le manque à gagner pour l'État, de cette vaste fraude à la TVA se chiffrerait à 5,3 millions d'euros. La petite entreprise familiale serait parvenue à écouler près d'un millier de véhicules allemands !
Hier en fin de journée, 8 des interpellés, dont les compagnes des principaux protagonistes, ont été déférés à la justice. Quatre d'entre eux ont été mis en examen et écroués.
Source:La Provence.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
.....................................Agressions sexuelles lors de covoiturages......................................
Un homme de 52 ans a été condamné aujourd'hui à Nantes à 24 mois d'emprisonnement, dont 18 mois ferme, pour avoir agressé sexuellement sept jeunes femmes après les avoir droguées à l'aide de chocolat trafiqué, lors de trajets en covoiturage.
Le tribunal correctionnel de Nantes a reconnu coupable ce primo-délinquant d'empoisonnements et d'agressions sexuelles, commis entre mars 2013 et avril 2014, et a assorti sa condamnation d'une obligation de soins et d'une interdiction de se livrer au covoiturage pendant cinq ans. Il a également prononcé son inscription au fichier des auteurs d'infractions sexuelles.
Le même mode opératoire
Les victimes ont décrit la même façon d'opérer: à peine montées à bord de la voiture du conducteur écroué, il leur proposait avec beaucoup d'insistance un carré de chocolat. Les tablettes, conservées dans le coffre du véhicule, comportaient un côté non contaminé que le conducteur gardait pour lui, et un côté qu'il avait «piégé» avec les somnifères qu'on lui prescrivait.
Une fois ses passagères endormies, le prévenu, roulant à faible allure, les caressait au niveau des cuisses, de l'entrejambe ou de la poitrine pour au moins l'une de ses victimes.
Le suspect, qui prenait contact avec les jeunes femmes via le célèbre site de covoiturage BlaBlacar, aurait agi par «détresse affective», selon le parquet de Nantes. L'enquête avait été ouverte en 2014 à la suite d'un dépôt de plainte d'une jeune femme, qui avait fait un trajet avec lui en février, entre Saint-Omer (Pas-de-Calais) et Le Mans. Prise de vertiges, la jeune femme avait consulté un médecin, qui avait décelé des traces d'anxiolytiques dans son sang.
Covoiturage sexuel:
Le Nantais de 52 ans a reconnu avoir drogué les passagères en leur faisant manger du chocolat mélangé avec de la poudre de médicaments anxiolytiques. Il a également reconnu les attouchements qu'il a fait subir à ses victimes une fois droguées sous l'emprise du chocolat trafiqué. Il proposait ensuite de les ramener directement chez elles, plutôt qu'au lieu convenu sur le site de covoiturage, car il les savait «fragiles» et affaiblies par le sédatif administré.
Une dizaine de victimes
Suite à ce premier dépôt de plainte en 2014, qui avait placé l'accusé en détention provisoire, les enquêteurs étaient remontés à une dizaine de victimes, mais sept avaient finalement été retenues lors de l'instruction, dont cinq se sont constituées parties civiles.
La représentante du ministère public a statué ce jour et requis 18 mois de prison ferme à l'encontre du Nantais.
L'administration d'un «sédatif profond», qui prenait effet immédiatement et pour «une durée de quatre heures», aurait pu, «à forte dose, aller jusqu'à un coma», a-t-elle souligné. Elle a ajouté que «l'inhibition et la pauvreté de la vie sociale et sexuelle» du prévenu, divorcé depuis plusieurs années et en détresse psychologique au moment des faits, «ne pardonne en aucun cas la gravité de ses actes».
Source:le Figaro.
Un homme de 52 ans a été condamné aujourd'hui à Nantes à 24 mois d'emprisonnement, dont 18 mois ferme, pour avoir agressé sexuellement sept jeunes femmes après les avoir droguées à l'aide de chocolat trafiqué, lors de trajets en covoiturage.
Le tribunal correctionnel de Nantes a reconnu coupable ce primo-délinquant d'empoisonnements et d'agressions sexuelles, commis entre mars 2013 et avril 2014, et a assorti sa condamnation d'une obligation de soins et d'une interdiction de se livrer au covoiturage pendant cinq ans. Il a également prononcé son inscription au fichier des auteurs d'infractions sexuelles.
Le même mode opératoire
Les victimes ont décrit la même façon d'opérer: à peine montées à bord de la voiture du conducteur écroué, il leur proposait avec beaucoup d'insistance un carré de chocolat. Les tablettes, conservées dans le coffre du véhicule, comportaient un côté non contaminé que le conducteur gardait pour lui, et un côté qu'il avait «piégé» avec les somnifères qu'on lui prescrivait.
Une fois ses passagères endormies, le prévenu, roulant à faible allure, les caressait au niveau des cuisses, de l'entrejambe ou de la poitrine pour au moins l'une de ses victimes.
Le suspect, qui prenait contact avec les jeunes femmes via le célèbre site de covoiturage BlaBlacar, aurait agi par «détresse affective», selon le parquet de Nantes. L'enquête avait été ouverte en 2014 à la suite d'un dépôt de plainte d'une jeune femme, qui avait fait un trajet avec lui en février, entre Saint-Omer (Pas-de-Calais) et Le Mans. Prise de vertiges, la jeune femme avait consulté un médecin, qui avait décelé des traces d'anxiolytiques dans son sang.
Covoiturage sexuel:
Le Nantais de 52 ans a reconnu avoir drogué les passagères en leur faisant manger du chocolat mélangé avec de la poudre de médicaments anxiolytiques. Il a également reconnu les attouchements qu'il a fait subir à ses victimes une fois droguées sous l'emprise du chocolat trafiqué. Il proposait ensuite de les ramener directement chez elles, plutôt qu'au lieu convenu sur le site de covoiturage, car il les savait «fragiles» et affaiblies par le sédatif administré.
Une dizaine de victimes
Suite à ce premier dépôt de plainte en 2014, qui avait placé l'accusé en détention provisoire, les enquêteurs étaient remontés à une dizaine de victimes, mais sept avaient finalement été retenues lors de l'instruction, dont cinq se sont constituées parties civiles.
La représentante du ministère public a statué ce jour et requis 18 mois de prison ferme à l'encontre du Nantais.
L'administration d'un «sédatif profond», qui prenait effet immédiatement et pour «une durée de quatre heures», aurait pu, «à forte dose, aller jusqu'à un coma», a-t-elle souligné. Elle a ajouté que «l'inhibition et la pauvreté de la vie sociale et sexuelle» du prévenu, divorcé depuis plusieurs années et en détresse psychologique au moment des faits, «ne pardonne en aucun cas la gravité de ses actes».
Source:le Figaro.
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
Vous pouvez vous construire un trône avec des baïonnettes, mais vous ne resterez pas assis longtemps dessus.
Boris Eltsine
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
......................Des tiques de 99 millions d'années remplies de sang de Dinosaure............
C'est une découverte digne de Jurassic Park. Des scientifiques ont découvert que les tiques festoyaient de sang de dinosaures bien avant de devenir le cauchemar des marcheurs et de tout ce qui a des poils et des plumes et même parfois de ce qui porte des écailles, selon une étude publiée dans la revue Nature Communications.
Une équipe de chercheurs espagnols et britanniques a trouvé en Birmanie quatre tiques parfaitement conservées dans de l'ambre (résultant des sécrétions de végétaux fossilisés) vieille de 99 millions d'années.
Parmi ces quatre parasites surgis du passé, l'un, de la famille des «Tiques terribles de Dracula», était «gorgée de sang», un autre avait une patte «empêtrée» dans une plume, appartenant immanquablement à un dinosaure puisque les oiseaux n'existaient pas encore. Cette dernière, représentante d'une espèce éteinte, mesurait un millimètre et avait huit pattes mais pas d'œil.
Une découverte très rare:
«Il est extrêmement rare de découvrir des fossiles de parasites hématophages directement liés aux restes de leurs hôtes», explique Xavier Delclòs de l'université de Barcelone, coauteur de l'étude.
De quelques micromètres à deux millimètres de long, l'acarien se fixe sur la peau de sa proie pour se nourrir de son sang propageant une grande variété de maladies.
«Alors que les oiseaux sont les uniques descendants des dinosaures théropodes à avoir survécu à l'extinction de masse de la fin du Crétacé il y a 66 millions d'années, les tiques ne se sont pas juste accrochées à la vie, elles se sont développées», disent les chercheurs.
La découverte peut faire penser au film Jurassic Park dans lequel des chercheurs découvrent de l'ADN de dinosaure dans un moustique fossilisé dans de l'ambre. Mais cela ne sera pas encore pour cette fois: «toutes les tentatives pour extraire l'ADN des échantillons d'ambre se sont révélées infructueuses», précise dans un communiqué le musée d'histoire naturelle de l'université d'Oxford.
Source:Le Figaro.
C'est une découverte digne de Jurassic Park. Des scientifiques ont découvert que les tiques festoyaient de sang de dinosaures bien avant de devenir le cauchemar des marcheurs et de tout ce qui a des poils et des plumes et même parfois de ce qui porte des écailles, selon une étude publiée dans la revue Nature Communications.
Une équipe de chercheurs espagnols et britanniques a trouvé en Birmanie quatre tiques parfaitement conservées dans de l'ambre (résultant des sécrétions de végétaux fossilisés) vieille de 99 millions d'années.
Parmi ces quatre parasites surgis du passé, l'un, de la famille des «Tiques terribles de Dracula», était «gorgée de sang», un autre avait une patte «empêtrée» dans une plume, appartenant immanquablement à un dinosaure puisque les oiseaux n'existaient pas encore. Cette dernière, représentante d'une espèce éteinte, mesurait un millimètre et avait huit pattes mais pas d'œil.
Une découverte très rare:
«Il est extrêmement rare de découvrir des fossiles de parasites hématophages directement liés aux restes de leurs hôtes», explique Xavier Delclòs de l'université de Barcelone, coauteur de l'étude.
De quelques micromètres à deux millimètres de long, l'acarien se fixe sur la peau de sa proie pour se nourrir de son sang propageant une grande variété de maladies.
«Alors que les oiseaux sont les uniques descendants des dinosaures théropodes à avoir survécu à l'extinction de masse de la fin du Crétacé il y a 66 millions d'années, les tiques ne se sont pas juste accrochées à la vie, elles se sont développées», disent les chercheurs.
La découverte peut faire penser au film Jurassic Park dans lequel des chercheurs découvrent de l'ADN de dinosaure dans un moustique fossilisé dans de l'ambre. Mais cela ne sera pas encore pour cette fois: «toutes les tentatives pour extraire l'ADN des échantillons d'ambre se sont révélées infructueuses», précise dans un communiqué le musée d'histoire naturelle de l'université d'Oxford.
Source:Le Figaro.
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
..............................Chute dans le vide du 62ème étage d'un gratte-ciel..............................
Un célèbre "rooftopper" chinois s’est tué lors d’une acrobatie du haut du 62e étage d’un gratte-ciel.
Ses spectaculaires acrobaties avaient fait de lui une star dans son pays. Le "rooftopper" chinois Wu Yongning s’est tué dans une terrible chute de 62 étages à Changsha, dans le sud-est de la Chine. Décédé le 8 novembre, sa mort a été confirmée que le week-end dernier par sa compagne, selon plusieurs médias locaux.
Un challenge à 13 000 euros
À 26 ans, ses vidéos l’avaient rendu célèbres. C’est en tournant l’une d’elles que le drame est survenu. Le jeune homme réalisait une série de tractions, suspendu au-dessus du vide. En tentant de remonter, il a lâché prise et chuté du haut du gratte-ciel.
Wu Yongning relevait un challenge doté de 13 000 euros, selon sa famille, citée par le Xiaoxiang Morning Herald. Dans ses vidéos, il parlait des dangers de cette discipline, considérée comme illégale. Il a effectué plus de 300 ascensions et acrobaties du genre, sans être attaché.
Source:Sud-Ouest.
Un célèbre "rooftopper" chinois s’est tué lors d’une acrobatie du haut du 62e étage d’un gratte-ciel.
Ses spectaculaires acrobaties avaient fait de lui une star dans son pays. Le "rooftopper" chinois Wu Yongning s’est tué dans une terrible chute de 62 étages à Changsha, dans le sud-est de la Chine. Décédé le 8 novembre, sa mort a été confirmée que le week-end dernier par sa compagne, selon plusieurs médias locaux.
Un challenge à 13 000 euros
À 26 ans, ses vidéos l’avaient rendu célèbres. C’est en tournant l’une d’elles que le drame est survenu. Le jeune homme réalisait une série de tractions, suspendu au-dessus du vide. En tentant de remonter, il a lâché prise et chuté du haut du gratte-ciel.
Wu Yongning relevait un challenge doté de 13 000 euros, selon sa famille, citée par le Xiaoxiang Morning Herald. Dans ses vidéos, il parlait des dangers de cette discipline, considérée comme illégale. Il a effectué plus de 300 ascensions et acrobaties du genre, sans être attaché.
Source:Sud-Ouest.
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
.....................L'animateur des Z'Amours Tex est remercié......................
Tex et Les Z’amours , c’est terminé. D’après nos confrères de Puremédias , France 2 a décidé de se séparer de son animateur. Contactée, France 2 nous confirme cette information. «Il était en contrat avec la production et non avec la chaîne», précise-t-on au sein de la direction. Dans un communiqué, il est précisé que «France 2 et le service public sont clairement engagés à défendre la cause des femmes et ne pas accepter que des propos insultants et déplacés soient prononcés par ses animateurs». Et d’ajouter.
«Le public a manifesté très clairement son mécontentement depuis plusieurs mois face à certaines de ses déclarations humoristiques à l’antenne, ces informations lui ont été indiquées par la production à plusieurs reprises. Avec sa dernière déclaration sur C8, il apparaît que Tex n’est plus en adéquation avec les attentes du public et de la chaîne pour ce jeu.» Pour l’heure, le principal intéressé, qui était jusqu’alors mis à pied, n’a pas réagi.
Depuis jeudi dernier déjà, Tex est écarté des tournages des nouveaux numéros du jeu télévisé qu’il présente depuis 17 ans. L’humoriste est sanctionné pour une blague sur les violences conjugales racontée dans C’est que de la télé sur C8 le 30 novembre dernier.
«Les gars, vous savez ce qu’on dit à une femme qui a déjà les deux yeux au beurre noir? On ne lui dit plus rien! On vient déjà de lui expliquer deux fois!» avait lancé l’animateur.
La jugeant «indigne et irrespectueuse», Marlène Schiappa, la secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, avait saisi le CSA pour signaler cette séquence.
Interrogé par nos confrères du Parisien le week-end dernier, l’humoriste et animateur avait reconnu «une maladresse, vu l’ambiance et le contexte» mais estimait la mesure disciplinaire «disproportionnée». Une pétition avait par ailleurs été mise en ligne quelques heures plus tard pour réclamer son retour sur France 2. Elle compte aujourd’hui un peu plus de 5000 signatures.
Reste à savoir maintenant quand sera diffusée la dernière émission de Tex sur France 2 et qui le remplacera. Ce scénario rappelle l’éviction de Julien Lepers à la présentation de Questions pour un champion sur France 3. Prévenu après l’enregistrement de ses derniers numéros, il n’avait pas pu dire au revoir à ses fidèles téléspectateurs.
Les derniers tournages des Z’amours ont eu lieu le 7 décembre. Ils sont pour le moment suspendus jusqu’à nouvel ordre.
Source:Le Figaro.
Tex et Les Z’amours , c’est terminé. D’après nos confrères de Puremédias , France 2 a décidé de se séparer de son animateur. Contactée, France 2 nous confirme cette information. «Il était en contrat avec la production et non avec la chaîne», précise-t-on au sein de la direction. Dans un communiqué, il est précisé que «France 2 et le service public sont clairement engagés à défendre la cause des femmes et ne pas accepter que des propos insultants et déplacés soient prononcés par ses animateurs». Et d’ajouter.
«Le public a manifesté très clairement son mécontentement depuis plusieurs mois face à certaines de ses déclarations humoristiques à l’antenne, ces informations lui ont été indiquées par la production à plusieurs reprises. Avec sa dernière déclaration sur C8, il apparaît que Tex n’est plus en adéquation avec les attentes du public et de la chaîne pour ce jeu.» Pour l’heure, le principal intéressé, qui était jusqu’alors mis à pied, n’a pas réagi.
Depuis jeudi dernier déjà, Tex est écarté des tournages des nouveaux numéros du jeu télévisé qu’il présente depuis 17 ans. L’humoriste est sanctionné pour une blague sur les violences conjugales racontée dans C’est que de la télé sur C8 le 30 novembre dernier.
«Les gars, vous savez ce qu’on dit à une femme qui a déjà les deux yeux au beurre noir? On ne lui dit plus rien! On vient déjà de lui expliquer deux fois!» avait lancé l’animateur.
La jugeant «indigne et irrespectueuse», Marlène Schiappa, la secrétaire d’État chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes, avait saisi le CSA pour signaler cette séquence.
Interrogé par nos confrères du Parisien le week-end dernier, l’humoriste et animateur avait reconnu «une maladresse, vu l’ambiance et le contexte» mais estimait la mesure disciplinaire «disproportionnée». Une pétition avait par ailleurs été mise en ligne quelques heures plus tard pour réclamer son retour sur France 2. Elle compte aujourd’hui un peu plus de 5000 signatures.
Reste à savoir maintenant quand sera diffusée la dernière émission de Tex sur France 2 et qui le remplacera. Ce scénario rappelle l’éviction de Julien Lepers à la présentation de Questions pour un champion sur France 3. Prévenu après l’enregistrement de ses derniers numéros, il n’avait pas pu dire au revoir à ses fidèles téléspectateurs.
Les derniers tournages des Z’amours ont eu lieu le 7 décembre. Ils sont pour le moment suspendus jusqu’à nouvel ordre.
Source:Le Figaro.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!