Polanski : Appel au Boycott.

[The Rat Pack]

C'est vrai qu'il est con ce Polanski, s'il n'avait rien à craindre, pourquoi ne pas y retourner s'y faire juger...

Mais il avait à craindre!

Mais le juge, sensible aux critiques du public et soucieux de soigner son image dans la presse, revient donc sur le jugement, pourtant officiel (ce qui ne peut arriver dans un pays réellement démocratique), et prévoit une condamnation à « durée indéterminée » pouvant aller, selon son bon plaisir, jusqu'à 50 ans.

Vous auriez tenté le coup?

[Fonck1]

C'est vrai qu'il est con ce Polanski, s'il n'avait rien à craindre, pourquoi ne pas y retourner s'y faire juger...

Mais il avait à craindre!

Mais le juge, sensible aux critiques du public et soucieux de soigner son image dans la presse, revient donc sur le jugement, pourtant officiel (ce qui ne peut arriver dans un pays réellement démocratique), et prévoit une condamnation à « durée indéterminée » pouvant aller, selon son bon plaisir, jusqu'à 50 ans.

Vous auriez tenté le coup?

probablement parce qu'il n'a pas répondu à sa convocation.
en france, je crois que l'on appelle cela condamner par contumace non?

[Fonck1]

Sauf que...

Il a donc été condamné à 90 jours (ce qui peut paraitre peu, mais peut-être est-ce parce que la cour a reconnu que « les circonstances étaient provocatrices, qu'il y avait une certaine permissivité de la part de la mère » et ajoute que « la victime n'était pas seulement physiquement mature, mais désireuse ») et a effectué sa peine...
Mais le juge, sensible aux critiques du public et soucieux de soigner son image dans la presse, revient donc sur le jugement, pourtant officiel (ce qui ne peut arriver dans un pays réellement démocratique), et prévoit une condamnation à « durée indéterminée » pouvant aller, selon son bon plaisir, jusqu'à 50 ans.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Affaire_R ... n_et_fuite

Ben on peut comprendre qu'il n'a pas trop envie de retourner dans son pays . Il a été jugé une fois, il a fait sa peine, il a mille fois raison de rester hors de portée des griffes délirante de la justice américaine.

quelle belle vision d'une justice juste et respectée...

[Fonck1]

enfin quand je vois DSK qui n' même pas fait de taule....je me demande bien ce que risquait polanski.

[gare au gorille]

Ben on peut comprendre qu'il n'a pas trop envie de retourner dans son pays . Il a été jugé une fois, il a fait sa peine, il a mille fois raison de rester hors de portée des griffes délirante de la justice américaine.

quelle belle vision d'une justice juste et respectée...

La justice américaine juste et respecté?? Ben voyons, et t'es sur de toi la ?? T'as une sacrée vision de la justice américaine. Je comprends mieux tes prises de positions si éloignées des miennes.

[Fonck1]

quelle belle vision d'une justice juste et respectée...

La justice américaine juste et respecté?? Ben voyons, et t'es sur de toi la ?? T'as une sacrée vision de la justice américaine. Je comprends mieux tes prises de positions si éloignées des miennes.

je pense que tu ne connais pas plus la française que l'américaine, donc les juger l'une ou l'autre me parait bien hasardeux.

[The Rat Pack]

Mais il avait à craindre!

Mais le juge, sensible aux critiques du public et soucieux de soigner son image dans la presse, revient donc sur le jugement, pourtant officiel (ce qui ne peut arriver dans un pays réellement démocratique), et prévoit une condamnation à « durée indéterminée » pouvant aller, selon son bon plaisir, jusqu'à 50 ans.

Vous auriez tenté le coup?

probablement parce qu'il n'a pas répondu à sa convocation.
en france, je crois que l'on appelle cela condamner par contumace non?

Mais il avait DEJA été jugé, condamné et avait effectué sa peine! C'est le juge qui revient sur la chose jugée, pour se faire bien voir par la presse!
Après avoir passé quarante-deux jours en prison, Polanski est libéré pour conduite exemplaire le 29 janvier 1978. Le lendemain, le juge Rittenband convoque l'avocat du réalisateur Me Douglas Dalton et le procureur Roger Gunson et les informe qu'il souhaite condamner le réalisateur à une nouvelle peine. Sensible aux critiques du public et soucieux de soigner son image dans la presse, le juge prévoit une condamnation à « durée indéterminée » mais déclare à Dalton et Gunson que le réalisateur sera libéré après quarante-huit jours s'il accepte de quitter définitivement les États-Unis.

Dalton informe alors Polanski de la situation. L'avocat ne peut cependant pas lui assurer qu'il sera bien libre après les quarante-huit jours, un emprisonnement d'une durée indéterminée permettant au juge de prolonger la peine jusqu'à cinquante ans s'il le désire
L'accusation, le procureur et la défense dénoncent alors le comportement du juge, qui est déchargé du dossier en février 1978 pour « irrégularités ». L'affaire est confiée au juge Paul Breckinridge qui refuse de juger Polanski par « contumace »

Vous trouvez que c'est une justice "juste"?

[ellememe]

il suffit juste de lire la façon dont vous vous adressez aux gens et aux femmes en particulier

Dans ce cas à la lecture de vos proses comment devrais-je vous qualifier ?

à toutes fins utiles ,on dit "de la prose"

[Fonck1]

probablement parce qu'il n'a pas répondu à sa convocation.
en france, je crois que l'on appelle cela condamner par contumace non?

Mais il avait DEJA été jugé, condamné et avait effectué sa peine! C'est le juge qui revient sur la chose jugée, pour se faire bien voir par la presse!
Après avoir passé quarante-deux jours en prison, Polanski est libéré pour conduite exemplaire le 29 janvier 1978. Le lendemain, le juge Rittenband convoque l'avocat du réalisateur Me Douglas Dalton et le procureur Roger Gunson et les informe qu'il souhaite condamner le réalisateur à une nouvelle peine. Sensible aux critiques du public et soucieux de soigner son image dans la presse, le juge prévoit une condamnation à « durée indéterminée » mais déclare à Dalton et Gunson que le réalisateur sera libéré après quarante-huit jours s'il accepte de quitter définitivement les États-Unis.

Dalton informe alors Polanski de la situation. L'avocat ne peut cependant pas lui assurer qu'il sera bien libre après les quarante-huit jours, un emprisonnement d'une durée indéterminée permettant au juge de prolonger la peine jusqu'à cinquante ans s'il le désire
L'accusation, le procureur et la défense dénoncent alors le comportement du juge, qui est déchargé du dossier en février 1978 pour « irrégularités ». L'affaire est confiée au juge Paul Breckinridge qui refuse de juger Polanski par « contumace »

Vous trouvez que c'est une justice "juste"?

je ne sais pas, au final il s'est barré, la justice n'a donc pas été exécutée.

[bister]

le ga est quand même accusé de viol par 6 femmes, il n'en reconnait qu'une , la première par l'intermédiaire de son avocat

et la première

Après de nouvelles accusations de viol contre Roman Polanski, Samantha Geimer, abusée à 13 ans par le cinéaste franco-polonais, a pris la parole sur Twitter, regrettant ne pas avoir reçu de soutien public à l’époque où elle et sa mère tentaient de le faire condamner.

à l’époque au tribunal ;

alors que je me faisais traiter de menteuse, pute et chercheuse d’or en 1977

[Yann Begervil]

le ga est quand même accusé de viol par 6 femmes, il n'en reconnait qu'une , la première par l'intermédiaire de son avocat

et la première

Après de nouvelles accusations de viol contre Roman Polanski, Samantha Geimer, abusée à 13 ans par le cinéaste franco-polonais, a pris la parole sur Twitter, regrettant ne pas avoir reçu de soutien public à l’époque où elle et sa mère tentaient de le faire condamner.

à l’époque au tribunal ;

alors que je me faisais traiter de menteuse, pute et chercheuse d’or en 1977

En meme temps elle n'etait meme pas une bonne realisatrice et avait oublier de filmer le viol, donc il n'est pas coupable

[The Rat Pack]

Mais il avait DEJA été jugé, condamné et avait effectué sa peine! C'est le juge qui revient sur la chose jugée, pour se faire bien voir par la presse!
Après avoir passé quarante-deux jours en prison, Polanski est libéré pour conduite exemplaire le 29 janvier 1978. Le lendemain, le juge Rittenband convoque l'avocat du réalisateur Me Douglas Dalton et le procureur Roger Gunson et les informe qu'il souhaite condamner le réalisateur à une nouvelle peine. Sensible aux critiques du public et soucieux de soigner son image dans la presse, le juge prévoit une condamnation à « durée indéterminée » mais déclare à Dalton et Gunson que le réalisateur sera libéré après quarante-huit jours s'il accepte de quitter définitivement les États-Unis.

Dalton informe alors Polanski de la situation. L'avocat ne peut cependant pas lui assurer qu'il sera bien libre après les quarante-huit jours, un emprisonnement d'une durée indéterminée permettant au juge de prolonger la peine jusqu'à cinquante ans s'il le désire
L'accusation, le procureur et la défense dénoncent alors le comportement du juge, qui est déchargé du dossier en février 1978 pour « irrégularités ». L'affaire est confiée au juge Paul Breckinridge qui refuse de juger Polanski par « contumace »

Vous trouvez que c'est une justice "juste"?

je ne sais pas, au final il s'est barré, la justice n'a donc pas été exécutée.

Dites? Vous faites partie du club des mal-comprenant du forum? IL A ÉTÉ JUGÉ, CONDAMNÉ ET A PURGÉ SA PEINE!!! C'est suite à une décision inique d'un juge, désavoué par son autorité, qu'il a préféré prendre la tangente... Faut vous l'expliquer comment?

En février 2003, Samantha Geimer (sa victime) prend publiquement sa défense et déclare que leur affaire ne doit pas entrer en considération pour juger son travail. Geimer défend également la décision du réalisateur d'avoir fui les États-Unis et réitère son souhait qu'un terme soit mis aux poursuites. Intriguée, la réalisatrice Marina Zenovich décide de consacrer un documentaire sur "Roman Polanski: Wanted and Desired" et défend la thèse d'un acharnement judiciaire et médiatique. L'avocat de Polanski, Me Douglas Dalton, et le procureur, Roger Gunson, confirment que les quarante-deux jours en prison de Polanski devaient être sa seule peine. Dalton et Gunson dénoncent les agissements du juge Rittenband qu'ils accusent d'avoir abusé de son autorité. Gunson déclare même à propos du réalisateur : « Je ne suis pas surpris qu’il ait fuit dans ces circonstances ». Également interrogée par Zenovich, Samantha Geimer déclare : « Le juge aimait la publicité. Il n'avait rien à faire de ce qui pouvait m'arriver, ni à moi, ni à Polanski »
Le 26 février 2010, le procureur chargé de l'affaire en 1977, Roger Gunson, déclare sous serment que le défunt juge Rittenband avait bien déclaré à toutes les parties le 19 septembre 1977 que la peine de prison au pénitencier de Chino correspondait à la totalité de la peine que Polanski devait et a exécutée

Et on se demande bien pourquoi après une arrestation en Suisse et une en Pologne, la justice de ces deux pays, ainsi que la France n'ont pas obéi à la justice californienne (et uniquement californienne) et aux demandes d'extradition...

[bister]

Bah ils ont fait qu'il y en a d'autres qui se sont fait violé.. mais ça c'est comme quand ils relâche les délinquants

puis faut pas perturber les fan et les groupies , ils fait des films

il aurait pratiquer un métier moins people , il serait en tôle , moins pardonné et moins protégé... bien que..de nos jours avec le monde de la cultuuure .. les délinquants sont portés au nu... et au cul bling bling

[Fonck1]

où c'est que ce juge a été désavoué par son autorité?

Et on se demande bien pourquoi après une arrestation en Suisse et une en Pologne, la justice de ces deux pays, ainsi que la France n'ont pas obéi à la justice californienne (et uniquement californienne) et aux demandes d'extradition...

ils n'avaient rien fait dans ces pays tout simplement.

maintenant :

Roman Polanski, marié avec l'actrice Emmanuelle Seigner, avec qui il a deux enfants, a depuis toujours refusé de retourner aux États-Unis sans assurance qu'il ne serait plus emprisonné. Une troisième femme est sortie de l'ombre pour accuser le réalisateur cette semaine. Identifiée seulement par le prénom Robin, elle a déclaré lors d'une conférence de presse à Los Angeles mardi qu'elle avait été « abusée sexuellement » par le célèbre cinéaste franco-polonais lorsqu'elle avait tout juste 16 ans, en 1973. En 2010, l'actrice britannique Charlotte Lewis avait elle aussi déclaré que le réalisateur l'avait forcée à avoir une relation sexuelle lorsqu'elle avait 16 ans

ça fait quatre....pas de fumée sans feu?

[bister]

le ga est quand même accusé de viol par 6 femmes, il n'en reconnait qu'une , la première par l'intermédiaire de son avocat

et la première


à l’époque au tribunal ;

En meme temps elle n'etait meme pas une bonne realisatrice et avait oublier de filmer le viol, donc il n'est pas coupable

Bah si ça se trouve , Polanski , lui en a un .. peu être pour peaufiner ses films par la suite , que les expressions soit plus réelles