Elections européennes 2024 : les débats politiques

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vivarais
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Re: Elections européennes 2024 : les débats politiques

Message par vivarais »

Corvo a écrit : 02 mai 2024 20:11
gare au gorille a écrit : 02 mai 2024 14:32


Oui et je crois que c'est vous qui ne comprenez pas le sens des mots. Continuez à encenser le RN monsieur Corvo à 32 % la marge de progression est encore possible, nous comptons tous sur vous et sur les pieds nickelés de la macronie pour convaincre encore davantage de citoyens à venir vers nous.
Nous avons besoin de toutes les bonnes volontés.
vivarais gare au gorille même combat. Indiquez un seul de mes posts dans lequel j'approuverai "les idées" du RN. Bon courage.
Pas la peine de dire du bien du RN pour le booster
vos propos sont subliminaux
0 force de dire bardella ; bardella vous en faites le tube de l'élection comme un tub de l'été
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Re: Elections européennes 2024 : les débats politiques

Message par lepicard »

gare au gorille a écrit : 02 mai 2024 19:49
lepicard a écrit : 02 mai 2024 16:12
parfait , mais votre capitaine a fait ses classes au Paquebot ,,,, le raffiot pourri qu'on a fini par saborder :mdr3: :mdr3: :mdr3: :mdr3:
tu parles d'un capitaine :mdr3: :mdr3: :mdr3: et de son moussaillon de la "croisière s'amuse "
chez les pirates ,il n'y a pas de capitaine , simplement un plus pourri que les autres qui s'arroge le pouvoir

Effectivement c'est comme cela que fonctionne la macronie, des gens plus pourris les uns que les autres avec un chef qui s'est arrogé tous les pouvoirs. Au RN c'est bien différent, ne peut être chef que celui qui a eu le courage de se présenter à une élection interne et qui emporte l'adhésion par le vote d'une majorité des adhérents.
tout à fait , d'ailleurs comme par hasard :mdr3: la fille succède au père
serait ce de la démocratie de droit divin ????? :siffle: :siffle: :siffle:
ou alors que les bourricots ne votent que pour des anes :shock: :shock:
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Kelenner
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Re: Elections européennes 2024 : les débats politiques

Message par Kelenner »

Victor a écrit : 02 mai 2024 20:22
Mickey a écrit : 02 mai 2024 19:58
Glucksmann est le nouveau leader que la gauche caviar se cherchait, fils à papa sans aucun charisme qui se fout du prolétaire comme de sa première chemise.
C'est malheureusement un peu cela.
Soyons équitables : à peu près tous les partis, exception faite du PCF et dans une certaine mesure de LFI, se foutent plus ou moins ouvertement des travailleurs et particulièrement des plus modestes. C’est assumé par LR, Renaissance, plus ou moins par le PS, le RN étant évidemment les pires de tous, hypocrites, sournois et traîtres qui votent les pires saloperies anti travailleurs en France comme en Europe en prétendant faire le contraire.

Ce n’est donc, hélas, plus vraiment la que les partis se distinguent. J’aime bien Glucksmann par certains côtés, mais il est impossible de se prétendre socialiste en 2024 et de continuer à être un europeiste aussi béat, alors que les dérives antisociales de l’UE sont bien identifiées. Sans tomber dans l’euro scepticisme outrancier, un programme critique et offensif est un pré requis quand on se proclame de gauche, cette lacune est rédhibitoire pour rassembler largement cet électorat.

Mais il existe des recours à gauche. Un Ruffin coche toutes les cases pour rassembler large, sauf peut-être le charisme et le réseau. S’il faisait l’union autour de lui, il aurait le potentiel pour battre à peu près n’importe qui.
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Corvo
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Re: Elections européennes 2024 : les débats politiques

Message par Corvo »

Miam
Européennes: notre plateau-repas avec Hayer et Bardella

Les têtes de liste Rassemblement national et Renew s’affrontait jeudi 2 mai sur BFM-TV pour un duel attendu. Liberation vous livré le menu consommé.

Les amuse-gueule. Et sans attendre Valérie Hayer se met à table… Pas mécontente d’affronter son adversaire du RN, pour son premier débat… «enfin, si j’ose dire». Priée par Benjamin Duhamel de trouver une qualité à Jordan Bardella, celle qui «ne se résou(t) pas à voir le Rassemblement national aussi haut dans les sondages», est bien en peine. Allez hop, «le culot d’énoncer autant de mensonges avec autant d’aplomb». Vous reprendrez bien un petit compliment? Là, c’est Bardella qui assaisonne. Une goutte de balsamique, tout doux, pour commencer : «Vous êtes courageuse.» Puis vient la moutarde, forte, qui pique les yeux : «Parce que vous vous êtes portée candidate alors que personne ne souhaitait se porter candidat (...) et que tous les ministres se sont débinés.» Et pour le défaut? «Vous portez le bilan d’Emmanuel Macron et il faudra aussi ce soir être capable d’y répondre.» Bilan : acide.

Monsieur est servi. Le premier plat arrive, on retire la cloche et, surprise : «Hyper Violence des jeunes : comment en sortir?», annonce le bandeau. Il va donc falloir commenter le meurtre du jeune Matisse, mortellement blessé il y a quelques jours par un mineur afghan… Vous n’êtes pas chez Bolloré, non. Mais Bardella a de quoi se sentir à la maison et, les pieds sous la table, déroule ses habituelles sentences sur l’immigration forcément liée à l’insécurité. «J’ai l’impression qu’il y a un éléphant dans le salon que vous ne voulez pas le voir», attaque-t-il quand Hayer lui reproche d’ «essentialiser» les migrants… tout en se baladant sur son terrain : «Je ne nie pas les faits de l’hyper violence des jeunes, évidemment il faut un retour de l’autorité», approuve la macroniste. «Votre bilan c’est aussi une France où pas une seule maman n’a pas peur pour son enfant», conclut le jeune patron d’extrême droite.


Monsieur veut du rab? Volontiers. On enchaîne sur «Sciences po : les universités à la dérive?». La punchline arrive, facile : «La France insoumise bordélise et le gouvernement tolère», assène Bardella. En face, Hayer tente deux clins d’oeil un peu lourdingues à la série Canal à la mode, La Fièvre : «Vous êtes les acteurs de la montée de la fièvre dans le pays.»

Le crouton. La voilà partie se servir elle-même en cuisine. Hayer veut convoquer… Jean-Marie Le Pen. «C’est l’occasion pour vous de clarifier un certain nombre de vos positions et de dire : ‘oui, Jean-Marie Le Pen a été le déshonneur de ma formation politique», met-elle en demeure le successeur du «Menhir» à la présidence du parti d’extrême droite. Mal à l’aise, Bardella, qui, en novembre, avait bégayé sur le sujet («Je ne crois pas que Jean-Marie Le Pen était antisémite») tente de s’en sortir par l’ironie. «Si au bout de quinze minutes de débat vous en êtes à appeler Jean-Marie Le Pen qui s’est retiré de la vie politique…» Avant de convenir que son prédécesseur «a été condamné pour antisémitisme» et que ses «propos étaient des propos antisémites», tout en relativisant leur portée : «Moi j’ai grandi dans un département, la Seine-Saint-Denis, où il n’y a plus beaucoup de Français de confession juive (...). Ce n’est pas la faute du RN.» Pas suffisant pour Hayer, qui constate que son adversaire refuse de répéter sa formule : «Jean-Marie Le Pen a été le déshonneur de ma formation politique.» Légèrement agacé, Bardella gesticule, parle beaucoup et interrompt pas mal l’élue Renew..

Il pique dans mon assiette. Gros yeux de Hayer agacée de ne pas pouvoir en placer une: «M. Bardella, est-ce que vous pouvez me laisser parler?» Lui, souriant de toutes ses dents: «D’accord Madame, mais c’est un débat, souffrez qu’on confronte les points de vue.» Plus tard, Hayer retente de finir une phrase: «C’est si difficile que ça de laisser parler une femme, M. Bardella?» Lequel lui renvoie: «Vous allez nous la faire combien de fois, celle-là?» Ou encore, en boomerang: «Laissez-moi parler, ne soyez pas sexiste.» Gonflé.

Le plat de résistance. Abordant l’invasion russe en Ukraine, Hayer reprend un peu le dessus. Elle épingle Thierry Mariani, poutinophile notoire et neuvième sur la liste RN et rappelle que Bardella et ses troupes n’ont voté aucune résolution soutenant l’Ukraine ou condamnant la détention de l’opposant russe Alexeï Navalny… Ah si, «au lendemain de sa mort», en février. «Vous étiez là quand sa veuve est venue au Parlement européen. Comment vous avez pu la regarder dans les yeux?» Là, son adversaire bafouille. Son ami Mariani? Le transfuge venu de LR aurait, tente-t-il dans une explication alambiquée, «la position» de Nicolas Sarkozy et «une sensibilité qui n’est peut-être pas la mienne». Quant à ses votes, il reproche à la candidate macroniste de «faire mumuse» en votant des «résolutions symboliques». L’intéressée juge avoir «touché la corde sensible». Et pointe «les ingérences russes» : «Vous le savez encore mieux que moi, M. Bardella…»

La peau de banane. On n’attendait pas cela de sa part mais il a osé : le patron du RN accuse son adversaire d’être… subventionnée par l’étranger. «Moi je ne reçois pas de financements de grandes entreprises américaines», charge-t-il en agitant devant la caméra un tableau blanc et jaune avec des zéros et des virgules. Le parti européen de Valérie Hayer recevrait donc de l’argent de certains Gafam comme Microsoft, Google ou Apple. Là, il faut s’accrocher car c’est un peu compliqué. Le tableau que Libé a pu consulter sur le site du Parlement européen fait bien état de dons allant de cinq mille à dix huit mille euros, adressés à une fondation, la European Liberal Forum, rattachée à un parti, l’Alliance des libéraux et des démocrates pour l’Europe (ALDE) qui participe au groupe Renew, où siègent donc les macronistes. Sauf que Renaissance n’est pas adhérente à l’ALDE, à la différence par exemple de l’UDI. L’argument bardellien ne s’embarrasse guère de ces subtilités. Commentaire d’un hiérarque frontiste à Bruxelles : «Nos alliés toucheraient des fonds d’une entreprise russe, vous [la presse] l’exploiteriez. Une partie de Renew touche des sous de grosses multinationales et sont rapporteurs sur des sujets qui touchent à ces entreprises. On se ferait défoncer pour moins que ça.»

D’autant qu’en face, Hayer ne réplique pas… alors que la tête de liste du principal allié du RN en Europe, Alternative für Deutschland (AfD) a dû se mettre en retrait de sa campagne européenne car il fait l’objet de deux enquêtes préliminaires pour des soupçons de corruption en provenance de la Russie et de la Chine. Et que son propre assistant parlementaire est carrément arrêté pour espionnage pour le compte de la Chine !

Le réchauffé. C’était l’énormité déjà ressassée en janvier par LR et l’extrême-droite qui tentaient de surfer sur la colère agricole. «Le la ferme à la fourchette», volet agricole du Green deal, serait rien de moins qu’une stratégie décroissante. Bruxelles, une ZAD? C’est bien connu. Alors Bardella retente, accusant Hayer de s’être soumise «aux fanatismes et à l’idéologie des Verts» : «Je vous accuse d’avoir plongé l’Europe dans la décroissance». La preuve, la présidente du groupe Renew, qui a voté la semaine dernière le détricotage des règles environnementales de la PAC, en profite pour défendre les accords de libre-échange. Une gauchiste.

L’indigeste. Arrive le sujet de l’immigration, auquel on a l’impression d’avoir déjà pas mal goûté. Mais Bardella restait sur sa faim : «Pour vous, l’immigration n’est pas un problème, c’est un projet. Je me suis engagé pour que le pays ne ressemble pas au quartier de Seine-Saint-Denis dans lequel j’ai grandi», formule celui qui croit savoir que de plus en plus de ses compatriotes auraient le sentiment «d’être devenus des étrangers dans leur propre pays». Encore? Sans façon. Si, si, il faut finir. L’immigration, donc, «pose une question existentielle : qui sommes-nous et qui voulons-nous être, qui voulons-nous rester comme peuple de France?»

En face, Hayer évite de répondre sur le fond et s’emmure dans une position mi-réaliste, mi-techno. Et mi-frontiste? On se demande parfois dans quelle assiette la macroniste pioche ses arguments. «Pourquoi ce devrait être toujours la France qui accueillerait les demandeurs d’asile ? Pourquoi ce serait systématiquement la France ?», s’enquiert-elle avant de rappeler que les députés RN ont voté pour la loi immigration à l’Assemblée et de lui réclamer «un peu de cohérence».

L’insipide. Au cours de la soirée, Hayer commence parfois ses réponses par une concession - «Je vous l’accorde.» Assidue et reconnue dans les arcanes européennes, Hayer peine à faire valoir son avantage sur son collègue absentéiste et dilettante. Au point que celui-ci, osant renverser les rôles, lui pose une colle lors d’un échange sur le Ceta: «Combien la France exporte-t-elle de fromages vers le Canada ?» Et balance: «Vous ne maîtrisez pas le dossier!» Le monde à l’envers.

Les invités gênants. Ding-dong, qui sonne à cette heure? Pour sa « carte blanche », la candidate Renaissance sort…une photo de famille. On y voit Jordan Bardella poser au milieu de ses alliés européens lors d’un meeting à Florence, en décembre. Et Hayer de lister une série de déclarations de ces derniers, dignes des pires tontons racistes du bout de la table. Du copain polonais qui estime que «les femmes ne devraient pas avoir le droit de vote et être moins payées que les femmes», au cousin flamand qui a fêté sa victoire aux municipales avec des saluts nazis en passant par l’ami bulgare traitant les Roms de «parasites». La liste est longue et on sent que Bardella n’apprécie pas le dessert. «C’est n’importe quoi», «oh oui, bah oui», maugrée-t-il, avant de renvoyer à Hayer la maltaise Roberta Metsola, élue présidente du Parlement européen grâce notamment aux votes de Renew, malgré ses positions antiavortement.

Le cheveu sur la soupe. A son tour de jouer sa carte blanche qu’il consacre… aux Outre-Mer. Bardella regrette que ces concitoyens se sentent trop souvent comme des «Français de seconde zone» et promet la création d’un ministère d’Etat. Le rapport avec la choucroute? Aucun. «Vous êtes à la politique ce que Didier Raoult est à la médecine. Vous n’avez aucun crédit pour parler d’Europe», lui rétorque Hayer. Là, c’était bien vu.

https://www.liberation.fr/politique/eur ... AQFEE3KX4/
Modifié en dernier par Corvo le 03 mai 2024 10:40, modifié 1 fois.
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Re: Elections européennes 2024 : les débats politiques

Message par Fonck1 »

ce débat était d'une nullité sans noms.
Bardella nous a ressorti ses histoires fausses de 120 attaques au couteau par jour, dont nous savons tous que c'est faux puisque cette "brève" sortie par une député LR a depuis été décortiquée et prouvée sans fondements, nous avons eu les habituelles litanies sur l'immigration liées à la délinquance, bref inintéressant au possible, et Macron qui a fait l'erreur d'envoyer au feu une fille qui même si elle connaît pas trop mal ses dossiers, manque singulièrement de charisme et de répartie, comme il l'avait fait auparavant avec Nathalie Loiseau.
rendez vous raté, donc.
j'attends un peu plus du débat Attal Bardella, mais je ne me fais pas trop d'illusion.

la politique est à l'image des français, pas au niveau en général.
« Ainsi s'éteint la liberté, sous une pluie d'applaudissements. » Star Wars, épisode III
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Re: Elections européennes 2024 : les débats politiques

Message par vivarais »

Fonck1 a écrit : 03 mai 2024 08:06 ce débat était d'une nullité sans noms.
Bardella nous a ressorti ses histoires fausses de 120 attaques au couteau par jour, dont nous savons tous que c'est faux puisque cette "brève" sortie par une député LR a depuis été décortiquée et prouvée sans fondements, nous avons eu les habituelles litanies sur l'immigration liées à la délinquance, bref inintéressant au possible, et Macron qui a fait l'erreur d'envoyer au feu une fille qui même si elle connaît pas trop mal ses dossiers, manque singulièrement de charisme et de répartie, comme il l'avait fait auparavant avec Nathalie Loiseau.
rendez vous raté, donc.
j'attends un peu plus du débat Attal Bardella, mais je ne me fais spa trop d'illusion.

la politique est à l'image des français, pas au niveau en général.
mais qu'en est il de l'avis des journalistes des différents médias présents sur le plateau pour commenter le débat
Je n'ai regardé que cela en replay ce matin ,
BARDELLA a été donné gagnant du débat et même à la fin le manager de HAYER et parti avant devant sa nullité
Vous avez l'art de transformer les phrases , il a peut etre dit 120 attaques au coreau mais par par jour mais surement par an ou depuis le début de l'année
et il est surement dans la vérité "si l'on prend crépol c'était déjà selon le nombre des inculpés au moins 9 avec tus les blessés en sus du mort"
et il ne se passe pas un jour sans qu'en en cite au moins
encore aujourd'hui
https://www.msn.com/fr-fr/actualite/fra ... r-AA1o4e6D
Encore un déséquilibré dont on tait le patronyme , mais à toulouse eux savent de qui il 'agit comme pour ls 2 fillettes en Moselle
Si j'ouvrais un sujet uniquement pour comptabiliser toutes les attaques au couteau surement vous le verrouillerez
Vous auriez du éviter de parler de cela
Concernant le débat avec ATTAL selon les journalistes présents il sera pire que celui ci et avec moins d'audimat
Mais on a appris comment renaissance et ses campagnes étaient financés selon un rapport du parquet financier "es groupes américain comme amazon
La réponse de hayer a été 'je ne suis pas adhérente de ce parti' mais alors pourquoi est elle sa tête de liste "
voilà l'interrogation des journalistes qui ont débriefé le débat
Elle reprochait que bardella était dans un groupe parlementaire dont certains avaient tenu des propos raciste et autres
Mais les journalistes ont fait ressortir qu'il y en avait autant dans son groupe parlementaire et même le président de ce groupe pour lequel elle avait voté
Etc etc etc
On comprend pourquoi le manager de HAYER a jeté l'éponge avant la fin et a quitté le plateau
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Re: Elections européennes 2024 : les débats politiques

Message par Fonck1 »

les 120 attaques au coreau n'ont pas non plus été prouvées.
quand à votre déséquilibré de toulouse, pour travailler à proximité d'un hôpital qui traite des troubles psychologiques, il y a des lâchers tous les mercredis.

en fait, j'ai de plus en plus de doutes sur votre capacité à analyser les choses, et comme vous ne lisez que ce qui vous arrange, vous êtes dans le grand n'importe quoi en permanencier.

apprenez à lire, ça nous évitera de vous répondre comme des cons qu'on est à essayer de vous informer, ou mettez vos lunettes, corvo l'a très bien indiqué précédemment :

Sauf que Renaissance n’est pas adhérente à l’ALDE, à la différence par exemple de l’UDI.
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Re: Elections européennes 2024 : les débats politiques

Message par Corvo »

vivarais a écrit : 03 mai 2024 08:33
Fonck1 a écrit : 03 mai 2024 08:06 ce débat était d'une nullité sans noms.
Bardella nous a ressorti ses histoires fausses de 120 attaques au couteau par jour, dont nous savons tous que c'est faux puisque cette "brève" sortie par une député LR a depuis été décortiquée et prouvée sans fondements, nous avons eu les habituelles litanies sur l'immigration liées à la délinquance, bref inintéressant au possible, et Macron qui a fait l'erreur d'envoyer au feu une fille qui même si elle connaît pas trop mal ses dossiers, manque singulièrement de charisme et de répartie, comme il l'avait fait auparavant avec Nathalie Loiseau.
rendez vous raté, donc.
j'attends un peu plus du débat Attal Bardella, mais je ne me fais spa trop d'illusion.

la politique est à l'image des français, pas au niveau en général.
mais qu'en est il de l'avis des journalistes des différents médias présents sur le plateau pour commenter le débat
Je n'ai regardé que cela en replay ce matin ,
BARDELLA a été donné gagnant du débat et même à la fin le manager de HAYER et parti avant devant sa nullité
Vous avez l'art de transformer les phrases , il a peut etre dit 120 attaques au coreau mais par par jour mais surement par an ou depuis le début de l'année
et il est surement dans la vérité "si l'on prend crépol c'était déjà selon le nombre des inculpés au moins 9 avec tus les blessés en sus du mort"
et il ne se passe pas un jour sans qu'en en cite au moins
encore aujourd'hui
https://www.msn.com/fr-fr/actualite/fra ... r-AA1o4e6D
Encore un déséquilibré dont on tait le patronyme , mais à toulouse eux savent de qui il 'agit comme pour ls 2 fillettes en Moselle
Si j'ouvrais un sujet uniquement pour comptabiliser toutes les attaques au couteau surement vous le verrouillerez
Vous auriez du éviter de parler de cela
Concernant le débat avec ATTAL selon les journalistes présents il sera pire que celui ci et avec moins d'audimat
Mais on a appris comment renaissance et ses campagnes étaient financés selon un rapport du parquet financier "es groupes américain comme amazon
La réponse de hayer a été 'je ne suis pas adhérente de ce parti' mais alors pourquoi est elle sa tête de liste "
voilà l'interrogation des journalistes qui ont débriefé le débat
Elle reprochait que bardella était dans un groupe parlementaire dont certains avaient tenu des propos raciste et autres
Mais les journalistes ont fait ressortir qu'il y en avait autant dans son groupe parlementaire et même le président de ce groupe pour lequel elle avait voté
Etc etc etc
On comprend pourquoi le manager de HAYER a jeté l'éponge avant la fin et a quitté le plateau
"On comprend pourquoi le manager de HAYER a jeté l'éponge avant la fin et a quitté le plateau"
Vous pouvez insérer le lien qui corroborerait votre propos ?...
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Re: Elections européennes 2024 : les débats politiques

Message par vivarais »

Corvo a écrit : 03 mai 2024 07:22 Miam
Européennes: notre plateau-repas avec Hayer et Bardella

Les têtes de liste Rassemblement national et Renew s’affrontait jeudi 2 mai sur BFM-TV pour un duel attendu. Liberation vous livré le menu consommé.

Les amuse-gueule. Et sans attendre Valérie Hayer se met à table… Pas mécontente d’affronter son adversaire du RN, pour son premier débat… «enfin, si j’ose dire». Priée par Benjamin Duhamel de trouver une qualité à Jordan Bardella, celle qui «ne se résou(t) pas à voir le Rassemblement national aussi haut dans les sondages», est bien en peine. Allez hop, «le culot d’énoncer autant de mensonges avec autant d’aplomb». Vous reprendrez bien un petit compliment? Là, c’est Bardella qui assaisonne. Une goutte de balsamique, tout doux, pour commencer : «Vous êtes courageuse.» Puis vient la moutarde, forte, qui pique les yeux : «Parce que vous vous êtes portée candidate alors que personne ne souhaitait se porter candidat (...) et que tous les ministres se sont débinés.» Et pour le défaut? «Vous portez le bilan d’Emmanuel Macron et il faudra aussi ce soir être capable d’y répondre.» Bilan : acide.

Monsieur est servi. Le premier plat arrive, on retire la cloche et, surprise : «Hyper Violence des jeunes : comment en sortir?», annonce le bandeau. Il va donc falloir commenter le meurtre du jeune Matisse, mortellement blessé il y a quelques jours par un mineur afghan… Vous n’êtes pas chez Bolloré, non. Mais Bardella a de quoi se sentir à la maison et, les pieds sous la table, déroule ses habituelles sentences sur l’immigration forcément liée à l’insécurité. «J’ai l’impression qu’il y a un éléphant dans le salon que vous ne voulez pas le voir», attaque-t-il quand Hayer lui reproche d’ «essentialiser» les migrants… tout en se baladant sur son terrain : «Je ne nie pas les faits de l’hyper violence des jeunes, évidemment il faut un retour de l’autorité», approuve la macroniste. «Votre bilan c’est aussi une France où pas une seule maman n’a pas peur pour son enfant», conclut le jeune patron d’extrême droite.


Monsieur veut du rab? Volontiers. On enchaîne sur «Sciences po : les universités à la dérive?». La punchline arrive, facile : «La France insoumise bordélise et le gouvernement tolère», assène Bardella. En face, Hayer tente deux clins d’oeil un peu lourdingues à la série Canal à la mode, La Fièvre : «Vous êtes les acteurs de la montée de la fièvre dans le pays.»

Le crouton. La voilà partie se servir elle-même en cuisine. Hayer veut convoquer… Jean-Marie Le Pen. «C’est l’occasion pour vous de clarifier un certain nombre de vos positions et de dire : ‘oui, Jean-Marie Le Pen a été le déshonneur de ma formation politique», met-elle en demeure le successeur du «Menhir» à la présidence du parti d’extrême droite. Mal à l’aise, Bardella, qui, en novembre, avait bégayé sur le sujet («Je ne crois pas que Jean-Marie Le Pen était antisémite») tente de s’en sortir par l’ironie. «Si au bout de quinze minutes de débat vous en êtes à appeler Jean-Marie Le Pen qui s’est retiré de la vie politique…» Avant de convenir que son prédécesseur «a été condamné pour antisémitisme» et que ses «propos étaient des propos antisémites», tout en relativisant leur portée : «Moi j’ai grandi dans un département, la Seine-Saint-Denis, où il n’y a plus beaucoup de Français de confession juive (...). Ce n’est pas la faute du RN.» Pas suffisant pour Hayer, qui constate que son adversaire refuse de répéter sa formule : «Jean-Marie Le Pen a été le déshonneur de ma formation politique.» Légèrement agacé, Bardella gesticule, parle beaucoup et interrompt pas mal l’élue Renew..

Il pique dans mon assiette. Gros yeux de Hayer agacée de ne pas pouvoir en placer une: «M. Bardella, est-ce que vous pouvez me laisser parler?» Lui, souriant de toutes ses dents: «D’accord Madame, mais c’est un débat, souffrez qu’on confronte les points de vue.» Plus tard, Hayer retente de finir une phrase: «C’est si difficile que ça de laisser parler une femme, M. Bardella?» Lequel lui renvoie: «Vous allez nous la faire combien de fois, celle-là?» Ou encore, en boomerang: «Laissez-moi parler, ne soyez pas sexiste.» Gonflé.

Le plat de résistance. Abordant l’invasion russe en Ukraine, Hayer reprend un peu le dessus. Elle épingle Thierry Mariani, poutinophile notoire et neuvième sur la liste RN et rappelle que Bardella et ses troupes n’ont voté aucune résolution soutenant l’Ukraine ou condamnant la détention de l’opposant russe Alexeï Navalny… Ah si, «au lendemain de sa mort», en février. «Vous étiez là quand sa veuve est venue au Parlement européen. Comment vous avez pu la regarder dans les yeux?» Là, son adversaire bafouille. Son ami Mariani? Le transfuge venu de LR aurait, tente-t-il dans une explication alambiquée, «la position» de Nicolas Sarkozy et «une sensibilité qui n’est peut-être pas la mienne». Quant à ses votes, il reproche à la candidate macroniste de «faire mumuse» en votant des «résolutions symboliques». L’intéressée juge avoir «touché la corde sensible». Et pointe «les ingérences russes» : «Vous le savez encore mieux que moi, M. Bardella…»

La peau de banane. On n’attendait pas cela de sa part mais il a osé : le patron du RN accuse son adversaire d’être… subventionnée par l’étranger. «Moi je ne reçois pas de financements de grandes entreprises américaines», charge-t-il en agitant devant la caméra un tableau blanc et jaune avec des zéros et des virgules. Le parti européen de Valérie Hayer recevrait donc de l’argent de certains Gafam comme Microsoft, Google ou Apple. Là, il faut s’accrocher car c’est un peu compliqué. Le tableau que Libé a pu consulter sur le site du Parlement européen fait bien état de dons allant de cinq mille à dix huit mille euros, adressés à une fondation, la European Liberal Forum, rattachée à un parti, l’Alliance des libéraux et des démocrates pour l’Europe (ALDE) qui participe au groupe Renew, où siègent donc les macronistes. Sauf que Renaissance n’est pas adhérente à l’ALDE, à la différence par exemple de l’UDI. L’argument bardellien ne s’embarrasse guère de ces subtilités. Commentaire d’un hiérarque frontiste à Bruxelles : «Nos alliés toucheraient des fonds d’une entreprise russe, vous [la presse] l’exploiteriez. Une partie de Renew touche des sous de grosses multinationales et sont rapporteurs sur des sujets qui touchent à ces entreprises. On se ferait défoncer pour moins que ça.»

D’autant qu’en face, Hayer ne réplique pas… alors que la tête de liste du principal allié du RN en Europe, Alternative für Deutschland (AfD) a dû se mettre en retrait de sa campagne européenne car il fait l’objet de deux enquêtes préliminaires pour des soupçons de corruption en provenance de la Russie et de la Chine. Et que son propre assistant parlementaire est carrément arrêté pour espionnage pour le compte de la Chine !

Le réchauffé. C’était l’énormité déjà ressassée en janvier par LR et l’extrême-droite qui tentaient de surfer sur la colère agricole. «Le la ferme à la fourchette», volet agricole du Green deal, serait rien de moins qu’une stratégie décroissante. Bruxelles, une ZAD? C’est bien connu. Alors Bardella retente, accusant Hayer de s’être soumise «aux fanatismes et à l’idéologie des Verts» : «Je vous accuse d’avoir plongé l’Europe dans la décroissance». La preuve, la présidente du groupe Renew, qui a voté la semaine dernière le détricotage des règles environnementales de la PAC, en profite pour défendre les accords de libre-échange. Une gauchiste.

L’indigeste. Arrive le sujet de l’immigration, auquel on a l’impression d’avoir déjà pas mal goûté. Mais Bardella restait sur sa faim : «Pour vous, l’immigration n’est pas un problème, c’est un projet. Je me suis engagé pour que le pays ne ressemble pas au quartier de Seine-Saint-Denis dans lequel j’ai grandi», formule celui qui croit savoir que de plus en plus de ses compatriotes auraient le sentiment «d’être devenus des étrangers dans leur propre pays». Encore? Sans façon. Si, si, il faut finir. L’immigration, donc, «pose une question existentielle : qui sommes-nous et qui voulons-nous être, qui voulons-nous rester comme peuple de France?»

En face, Hayer évite de répondre sur le fond et s’emmure dans une position mi-réaliste, mi-techno. Et mi-frontiste? On se demande parfois dans quelle assiette la macroniste pioche ses arguments. «Pourquoi ce devrait être toujours la France qui accueillerait les demandeurs d’asile ? Pourquoi ce serait systématiquement la France ?», s’enquiert-elle avant de rappeler que les députés RN ont voté pour la loi immigration à l’Assemblée et de lui réclamer «un peu de cohérence».

L’insipide. Au cours de la soirée, Hayer commence parfois ses réponses par une concession - «Je vous l’accorde.» Assidue et reconnue dans les arcanes européennes, Hayer peine à faire valoir son avantage sur son collègue absentéiste et dilettante. Au point que celui-ci, osant renverser les rôles, lui pose une colle lors d’un échange sur le Ceta: «Combien la France exporte-t-elle de fromages vers le Canada ?» Et balance: «Vous ne maîtrisez pas le dossier!» Le monde à l’envers.

Les invités gênants. Ding-dong, qui sonne à cette heure? Pour sa « carte blanche », la candidate Renaissance sort…une photo de famille. On y voit Jordan Bardella poser au milieu de ses alliés européens lors d’un meeting à Florence, en décembre. Et Hayer de lister une série de déclarations de ces derniers, dignes des pires tontons racistes du bout de la table. Du copain polonais qui estime que «les femmes ne devraient pas avoir le droit de vote et être moins payées que les femmes», au cousin flamand qui a fêté sa victoire aux municipales avec des saluts nazis en passant par l’ami bulgare traitant les Roms de «parasites». La liste est longue et on sent que Bardella n’apprécie pas le dessert. «C’est n’importe quoi», «oh oui, bah oui», maugrée-t-il, avant de renvoyer à Hayer la maltaise Roberta Metsola, élue présidente du Parlement européen grâce notamment aux votes de Renew, malgré ses positions antiavortement.

Le cheveu sur la soupe. A son tour de jouer sa carte blanche qu’il consacre… aux Outre-Mer. Bardella regrette que ces concitoyens se sentent trop souvent comme des «Français de seconde zone» et promet la création d’un ministère d’Etat. Le rapport avec la choucroute? Aucun. «Vous êtes à la politique ce que Didier Raoult est à la médecine. Vous n’avez aucun crédit pour parler d’Europe», lui rétorque Hayer. Là, c’était bien vu.

posting.php?mode=reply&f=2&t=56435
Votre avis n'intéresse personne ,ce qui ont suivi le débat s'en sont fait un ainsi que les journalistes qui ont débriefé le débat et on donné bardella gagnant
Contrairement à vous je ne le commente pas mais je conseille simplement de regarder en replay comme le débrief igue des journalistes qui eux ont plus affutés que vous et moi pour retenir et donner un avis sur ce qui 'est dit
Puisque vous parlez de la carte blanche de bardella parlez nous de celle de hayer et comment bardella y a répondu
On a vu qu'elle a accusé d'être dans un groupe parlementaires où certains avaient tenu des propos raciste et autres litanies
auxquels il a répondu qu'il y en avait autant dans son groupe parlementaire et notamment le président pour qui elle avait voté
Il avait répondu que le parquet financier et la commission parlementaire avait blanchi e RN de tout financement étranger
par contre il a montré des documents de la DGSI qui montraient que renaissance faisait financer ses campagnes électorale dont la sienne par des groupes américains comme "amazon" accusation à laquelle elle a répondu qu'elle n'en était pas responsable car elle n'était pas adhérente de ce parti
Mais si elle n'en fait pas parti "pourquoi est elle la tête de liste " a rétorqué bardella
parce que macron n'a trouvé personne dans son parti qui voulait l'être
Il serait intéressant de votre sur sa liste de 79 combien font parti de renaissance (ou est ce simplement de mercenaires autres interessés par les avantges pécuniers ) :hehe:
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Re: Elections européennes 2024 : les débats politiques

Message par Fonck1 »

J'ai lu le résumé du débat (contrairement à ceux qui ne veulent pas s'informer), merci corvo de l'avoir mis en ligne.
« Ainsi s'éteint la liberté, sous une pluie d'applaudissements. » Star Wars, épisode III
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Re: Elections européennes 2024 : les débats politiques

Message par mic43121 »

ce qui m'a un peu surpris c'est la demande de la dame ..
<Dites devant l'"écran que pendant 50 ans JM Le Pen a été la honte de la France>
Elle lui a demandé 2 fois ..Tout le monde sait que le vieux n'avait pas de limite ..
<Durafour crématoire> on s'en souvient tous ...
Perso j'ai trouvé ça minable ...
Pour le débat il devait se faire défoncer ...je l'ai trouvé aussi bien quelle dame ..
je n'ai pas tout regardé ..mais Il n'est pas ridicule il tient la route .
:perv:
La tolérance c'est quand on connait des cons- et qu'on ne dit pas les noms
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Re: Elections européennes 2024 : les débats politiques

Message par Fonck1 »

il tient la route face à une fille qui n'a pas de répartie.
Macron a fait une erreur, mais il manque de monde au casting.
c'est le problème des managers qui tirent trop sur la corde.
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Re: Elections européennes 2024 : les débats politiques

Message par Fonck1 »

Marine Le Pen passe chez RMC lundi Matin, je vais essayer de passer à l'antenne, j'en ai une bonne pour elle,on va se marrer.
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Re: Elections européennes 2024 : les débats politiques

Message par vivarais »

Fonck1 a écrit : 03 mai 2024 09:20 il tient la route face à une fille qui n'a pas de répartie.
Macron a fait une erreur, mais il manque de monde au casting.
c'est le problème des managers qui tirent trop sur la corde.
Le problème pour macron ; c'est que plus personne ne croit en lui même dans son camp
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Re: Elections européennes 2024 : les débats politiques

Message par vivarais »

Fonck1 a écrit : 03 mai 2024 09:37 Marine Le Pen passe chez RMC lundi Matin, je vais essayer de passer à l'antenne, j'en ai une bonne pour elle,on va se marrer.
Vous croyez que cela va la déstabiliser :hehe: :hehe: :hehe:
Avec tout ce que l'on a tenté contre elle cela l'a rendu indestructible
Dans ce débat comme toujours elle va être confronter à 4 ou 5 individus agressifs et haineux contre le RN et elle même
Alors ce ne va être votre intervention haineuse si vous le pouvez qui va la gêner
Verrouillé

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