Juin 2024-Elections Européennes, les enjeux, les programmes et les campagnes, les résultats, le nouveau Parlement

[Corvo]

Brillant ? Vous parlez de ses cheveux gominés et de ses dents ultra brite ? Là ou je vois briller votre candidat accessoirement eurodéputé c'est essentiellement par son absence au Parlement Européen pour son manque de soutien à l'Ukraine et pour le manque de courage dont il fait preuve en refusant de débattre avec ses adversaires du moment sinon...

En ressassant la même rengaine vous n'y changerez rien
C'est l'actualité qui le font monter
et il semblerait que tous ( gouvernement , politiques , racailles , islamistes etc) se soient donner le mot pour faire monter le RN

Et après le RN qui une fois au pouvoir sera confronté au mur de la réalité et qui comme les autres se le prendra en pleine face ?...C'est facile d'être dans l'opposition on peut tout dire tout promettre ça ne mange pas de pain.

[Corvo]

L'est pas contente la vraie Présidente du RN.

Marine Le Pen à Mayotte: «L'AfD ferait mieux de s'occuper des problèmes de l'Allemagne»
Si dans les sondages d'intentions de vote pour les européennes, tout va bien pour le Rassemblement national, toujours largement en tête, le divorce semble proche entre le parti d'extrême droite et son homologue allemand AfD. Celui-ci a demandé cette semaine la restitution de Mayotte aux Comores, alors que Marine Le Pen s'apprêtait à se rendre ce week-end dans le département français.

Dès son arrivée à Mayotte, Marine Le Pen s'est lancée dans une diatribe à l'encontre de son partenaire au sein du groupe Identité et démocratie au Parlement européen.

« L'AfD ferait mieux de s'occuper des problèmes de l'Allemagne et je suis fâchée de cette situation », a cinglé la patronne du RN, s'insurgeant ensuite sur le parallèle fait par le parti allemand entre le vote des Mahorais pour rester dans le giron de la France et celui organisé par la Russie en Crimée.

Un écueil de plus dans une relation Rassemblement national-Alternative für Deutschland, qui s'est dégradée ces derniers mois : en février, Marine Le Pen avait fait pression sur son homologue Alice Weidel pour que son parti condamne l'idée de « remigration » des Allemands d'origine étrangère défendue lors d'une réunion ayant suscité le scandale outre-Rhin. La dirigeante allemande avait vaguement fait amende honorable, mais sans réellement accéder aux demandes du RN.

Ce nouvel incident ajoute à l'inconfort du Rassemblement national, qui espère d'un côté devenir le leader d'un groupe identitaire incontournable au Parlement européen, qui compterait des partis aussi radicaux que l'AfD, tout en n'effrayant pas son électorat français plus modéré en vue de la présidentielle 2027.

https://www.rfi.fr/fr/france/20240420-m ... ccuper-des

[vivarais]

Un p'tit café avec ce beau croissant au "beur" ?...

Beaucroissant, le ministre de l'agriculture à Jordan Bardella: "j'attends ces propositions"

Marc Fesneau a rencontré le public et les agriculteurs, ce samedi après-midi à la 53ème foire de printemps de Beaucroissant. Jordan Bardella y est attendu ce dimanche.

"J'attends toujours des propositions et pas des y'a qu'à ...faut qu'on " c'est le défi du ministre de l'agriculture, Marc Fesneau, à Jordan Bardella, tête de liste du Rassemblement Nationale aux prochaines élections européennes qui sera à la foire de Beaucroissant, ce dimanche.

Le Ministre est venu inaugurer la foire, ce samedi. C'était même la première fois qu'un ministre de l'agriculture la visitait. Elle se tient jusqu'à ce dimanche soir. Dans les discussions, il a beaucoup été question du projet de loi d'orientation agricole que Marc Fesneau a présenté le 3 avril et qui sera examiné à l'assemblée nationale dans les prochaines semaines.
Ce projet de loi est la conséquence de la crise agricole de janvier. Aussi Jérome Crozat, pdt de la FDSEA de l'Isère a lancé le défi d'être efficace en 100 jours. En réponse, le ministre a parlé de son bilan des 100 derniers jours.

Parmi les élus qui écoutaient le ministre, il y avait le député communiste André Chassaigne qui a fait le tour de la foire dans après midi.

https://www.francebleu.fr/infos/politiq ... ns-8182694

On ne donne pas ses tuyaux à la concurrence mais à ceux que cela concerne
Que je sache , il s'est réuni lors du salon de l'agriculture avec les responsables agricoles
Pas la peine de dire ce que l'on ferait tant quand ne gouverne pas pour le faire
Ni le dire alors qu'on ne l'a pas fait lorsque l'on a déjà gouverné et qu'on pouvait le faire
L'important c'est de s'enquérir de ce que les gens voudraient et non faire des débats stériles
Et on a vu que le RN a rencontré les syndicats agricoles , ceux du patronat et ceux non politisés des salariés
Et aussi les gens tout en faisant des selfies

[Corvo]

Un p'tit café avec ce beau croissant au "beur" ?...

Beaucroissant, le ministre de l'agriculture à Jordan Bardella: "j'attends ces propositions"

Marc Fesneau a rencontré le public et les agriculteurs, ce samedi après-midi à la 53ème foire de printemps de Beaucroissant. Jordan Bardella y est attendu ce dimanche.

"J'attends toujours des propositions et pas des y'a qu'à ...faut qu'on " c'est le défi du ministre de l'agriculture, Marc Fesneau, à Jordan Bardella, tête de liste du Rassemblement Nationale aux prochaines élections européennes qui sera à la foire de Beaucroissant, ce dimanche.

Le Ministre est venu inaugurer la foire, ce samedi. C'était même la première fois qu'un ministre de l'agriculture la visitait. Elle se tient jusqu'à ce dimanche soir. Dans les discussions, il a beaucoup été question du projet de loi d'orientation agricole que Marc Fesneau a présenté le 3 avril et qui sera examiné à l'assemblée nationale dans les prochaines semaines.
Ce projet de loi est la conséquence de la crise agricole de janvier. Aussi Jérome Crozat, pdt de la FDSEA de l'Isère a lancé le défi d'être efficace en 100 jours. En réponse, le ministre a parlé de son bilan des 100 derniers jours.

Parmi les élus qui écoutaient le ministre, il y avait le député communiste André Chassaigne qui a fait le tour de la foire dans après midi.

https://www.francebleu.fr/infos/politiq ... ns-8182694

On ne donne pas ses tuyaux à la concurrence mais à ceux que cela concerne
Que je sache , il s'est réuni lors du salon de l'agriculture avec les responsables agricoles
Pas la peine de dire ce que l'on ferait tant quand ne gouverne pas pour le faire
Ni le dire alors qu'on ne l'a pas fait lorsque l'on a déjà gouverné et qu'on pouvait le faire
L'important c'est de s'enquérir de ce que les gens voudraient et non faire des débats stériles
Et on a vu que le RN a rencontré les syndicats agricoles , ceux du patronat et ceux non politisés des salariés
Et aussi les gens tout en faisant des selfies

"Pas la peine de dire ce que l'on ferait tant quand ne gouverne pas pour le faire"
Même pas à ses électeurs ou surtout pas à ses électeurs ?...

[Yaroslav]

Ne pensez-vous pas que le PS est plus proche de Renaissance que de LFI sur l'Europe ? Il est plus pertinent d'additionner les voix des pro-UE et des anti-UE que d'additionner les voix de la gauche et de la droite.

J'en suis pas certain, parce que les motivations des électeurs resteront essentiellement nationales (même à ces élections) et parce que dans ce qu'on nomme les "anti-UE", certains ont beaucoup évolué sur la question à l'image du RN qui a abandonné l'idée de sortir de l'UE et de l'euro car il ont compris qu'électoralement ce n'était pas payant.

[Cépajuste]

Ne pensez-vous pas que le PS est plus proche de Renaissance que de LFI sur l'Europe ? Il est plus pertinent d'additionner les voix des pro-UE et des anti-UE que d'additionner les voix de la gauche et de la droite.

J'en suis pas certain, parce que les motivations des électeurs resteront essentiellement nationales (même à ces élections) et parce que dans ce qu'on nomme les "anti-UE", certains ont beaucoup évolué sur la question à l'image du RN qui a abandonné l'idée de sortir de l'UE et de l'euro car il ont compris qu'électoralement ce n'était pas payant.

À vrai dire, je n'ai jamais tellement cru à la sortie de l'euro du RN. C'était un discours vague dont on a pu mesurer la vacuité lors du débat de 2017 entre Macron et Marine Le Pen.

LFI avait mieux étudié le sujet il y a quelques années, avec un groupe de travail qui planchait sur les scénarios des plans A et B. Mais même eux ont abandonné l'idée et n'en parlent plus. Ça ne veut pas dire pour autant qu'il n'y a plus de clivage sur l'Europe entre les souverainistes et les européistes. Quant aux enjeux nationaux, ils sont de plus en plus liés aux politiques européennes : comment financer la transition énergétique, le réarmement, etc. tout en réduisant les déficits pour satisfaire aux critères du pacte de stabilité ? C'est de cela dont on devrait parler dans cette campagne.

[Yaroslav]

Quant aux enjeux nationaux, ils sont de plus en plus liés aux politiques européennes : comment financer la transition énergétique, le réarmement, etc. tout en réduisant les déficits pour satisfaire aux critères du pacte de stabilité ? C'est de cela dont on devrait parler dans cette campagne.

À mon avis, on en est plus là en France.
Déjà, le pacte de stabilité a rarement était respecté (3% de déficit...) et pourtant il n'y a jamais eu de réelles sanctions européennes à la clé.
Ensuite le pacte de stabilité pourrait gêner qui ? Un pays faiblement ou moyennement endetté qui ne pourrait par s'engager dans une politique de relance avec un déficit fort sur les premières années. Mais la France est dorénavant fortement endettée. Donc la question n'est pas tellement : "comment financer la transition énergétique, le réarmement, etc. tout en réduisant les déficits pour satisfaire aux critères du pacte de stabilité ?" mais plutôt "comment financer la transition énergétique, le réarmement, etc. tout en réduisant les déficits pour conserver des taux d'emprunt soutenables et éviter de se noyer dans la dette ?"

[Cépajuste]

À mon avis, on en est plus là en France.
Déjà, le pacte de stabilité a rarement était respecté (3% de déficit...) et pourtant il n'y a jamais eu de réelles sanctions européennes à la clé.
Ensuite le pacte de stabilité pourrait gêner qui ? Un pays faiblement ou moyennement endetté qui ne pourrait par s'engager dans une politique de relance avec un déficit fort sur les premières années. Mais la France est dorénavant fortement endettée. Donc la question n'est pas tellement : "comment financer la transition énergétique, le réarmement, etc. tout en réduisant les déficits pour satisfaire aux critères du pacte de stabilité ?" mais plutôt "comment financer la transition énergétique, le réarmement, etc. tout en réduisant les déficits pour conserver des taux d'emprunt soutenables et éviter de se noyer dans la dette ?"

La France ne respecte pas le pacte de stabilité, mais pourtant, elle en tient compte, car sans lui, nous aurions un déficit comme celui des USA, ou pire. Bruno Le Maire doit trouver des économies pour promettre que la France reviendra aux 3 % d'ici 2027. Donc le pacte de stabilité reste un cadre contraignant même si nous ne le respectons pas pour le moment.

Oui, vous avez raison sur les taux d'intérêt, mais ceux-ci dépendent de la BCE. Si la France était attaquée sur les marchés, il faudrait que la BCE intervienne. Or, elle ne le ferait qu'en échange d'un plan de redressement avec des réformes structurelles et une politique d'austérité comme on a pu le voir dans d'autres pays il y a quelques années.

[Yaroslav]

La France ne respecte pas le pacte de stabilité, mais pourtant, elle en tient compte, car sans lui, nous aurions un déficit comme celui des USA, ou pire. Bruno Le Maire doit trouver des économies pour promettre que la France reviendra aux 3 % d'ici 2027. Donc le pacte de stabilité reste un cadre contraignant même si nous ne le respectons pas pour le moment.

Est-ce à dire que s'il n'y avait pas le pacte de stabilité, nous serions déjà dans la situation de la Grèce ou de l'Argentine ?
Si le ministre de l'économie se soucie des finances publiques, c'est plus pour éviter la banqueroute aujourd'hui que pour respecter le pacte de stabilité.

Oui, vous avez raison sur les taux d'intérêt, mais ceux-ci dépendent de la BCE. Si la France était attaquée sur les marchés, il faudrait que la BCE intervienne. Or, elle ne le ferait que si la France acceptait des réformes structurelles et une politique d'austérité comme on a pu le voir dans d'autres pays il y a quelques années.

Il ne faut pas trop politiser la chose parce que l'économie est ce qu'elle est, donc il faut bien se dire qu'il n'y a pas d'argent magique.
Si un pays s'endette encore et toujours plus, les risques de ne pas rembourser la dette en totalité augmentent, donc pour compenser ce risque, les taux d'intérêt augmentent. Il faut admettre que c'est logique et il n'est pas réaliste de vouloir lutter totalement contre cette logique.
Vous ne pouvez pas forcer les gens à prêter de l'argent à une institution surendettée qui risque de ne pas vous rembourser tout de suite sans obtenir une contrepartie financière à la hauteur de ce risque. En gros, ce qui se passe pour un citoyen lambda chez le banquier vaut aussi pour l'État dans une certaine mesure.

Si un pays veut garder la main et être totalement libre de ses politiques, s'il veut conserver sa pleine "souveraineté économique", mieux vaut qu'il soit faiblement endetté et qu'il n'ait pas trop besoin d'emprunter. Donc plus nous parviendrons à nous désendetter, plus nous serons libres de nos politiques économiques à moyen / long terme.

[gare au gorille]

C'est dire si Bardella est un homme politique brillant au point de ne pas avoir besoin de baratiner les électeurs pour être en tête des intentions de votes. C'est juste la classe au dessus de la macronie et de la com d'enfer qui ne sert qu'à convaincre les imbéciles.

Brillant ? Vous parlez de ses cheveux gominés et de ses dents ultra brite ? Là ou je vois briller votre candidat accessoirement eurodéputé c'est essentiellement par son absence au Parlement Européen pour son manque de soutien à l'Ukraine et pour le manque de courage dont il fait preuve en refusant de débattre avec ses adversaires du moment sinon...

Sinon vous pouvez ressasser en boucle votre amertume, Monsieur Bardella fait un sans faute et se passera de vos précieux conseils. Il est le personnage politique qui arrive en tête et loin devant parmi tous ceux que les Français désignent pour aller défendre leurs intérêts au parlement européen.
Mais vous pouvez continuer à vous lamenter pages après page et nous rabâcher en boucle vos textes de propagandes anti RN, il y a longtemps que le citoyen informé et lucide a appris à faire la part des choses. Jetez donc un coup d'oeil sur les sondages pour vous rabougrir juste un peu plus si c'était nécessaire.

[Cépajuste]

Si un pays veut garder la main et être totalement libre de ses politiques, s'il veut conserver sa pleine "souveraineté économique", mieux vaut qu'il soit faiblement endetté et qu'il n'ait pas trop besoin d'emprunter. Donc plus nous parviendrons à nous désendetter, plus nous serons libres de nos politiques économiques à moyen / long terme.

Je suis bien d'accord, mais il faut avoir conscience que faire partie d'une zone monétaire avec d'autres pays, et avoir une banque centrale indépendante et transnationale, cela rend les choses plus compliquées en situation de crise. Si la France était attaquée sur les marchés, le gouvernement ne pourrait pas donner des ordres à la banque centrale, lui demander de dévaluer ou de racheter de la dette publique pour faire baisser les taux d'intérêt. Donc, qu'on le veuille ou non, nous dépendons de l'UE pour le pire et le meilleur. Et la BCE n'aidera pas la France sans lui imposer des contreparties politiques et budgétaires. Il faut juste le savoir. Nous n'avons jamais respecté le pacte de stabilité, mais en cas de crise, le réveil pourrait être brutal.

[Yaroslav]

Je suis bien d'accord, mais il faut avoir conscience que faire partie d'une zone monétaire avec d'autres pays, et avoir une banque centrale indépendante et transnationale, cela rend les choses plus compliquées en situation de crise. Si la France était attaquée sur les marchés, le gouvernement ne pourrait pas donner des ordres à la banque centrale, lui demander de dévaluer ou de racheter de la dette publique pour faire baisser les taux d'intérêt. Donc, qu'on le veuille ou non, nous dépendons de l'UE pour le pire et le meilleur. Et la BCE n'aidera pas la France sans lui imposer des contreparties politiques et budgétaires. Il faut juste le savoir. Nous n'avons jamais respecté le pacte de stabilité, mais en cas de crise, le réveil pourrait être brutal.

Alors oui, outre un endettement excessif, l'Europe (l'euro) nous empêche également de dévaluer.
Mais je redis qu'il n'existe pas de formule magique qui nous donnerait de l'argent qu'on a pas sans de lourdes conséquences.
En l'occurrence, la dévaluation est une arme à un seul coup. Une fois qu'on aura fait la nique à nos créanciers (parce que c'est ça au fond la dévaluation), il est bien évident qu'il ne faudra plus compter sur eux pour réemprunter derrière. Sont pas masos non plus.
Sans parler du coût des importations qui va faire un sacré bond. Ce sera plus 2€ le litre, mais plutôt 5...

Toujours dans l'idée qu'il n'existe pas d'argent magique, il n'existe pas de technique économique qui ferait disparaître la dette sans qu'on en subisse des contreparties très importantes. Tout n'est qu'un jeu de compensation au fond, ce qu'on gagne (beaucoup) d'un côté, on le paie (cher) de l'autre. Alors oui, l'Europe nous empêche de faire tout ça, mais ce n'est pas forcément un mal car les stratégies monétaires qui nous sont interdites sont loin d'être saines économiquement.

[Cépajuste]

Je suis bien d'accord, mais il faut avoir conscience que faire partie d'une zone monétaire avec d'autres pays, et avoir une banque centrale indépendante et transnationale, cela rend les choses plus compliquées en situation de crise. Si la France était attaquée sur les marchés, le gouvernement ne pourrait pas donner des ordres à la banque centrale, lui demander de dévaluer ou de racheter de la dette publique pour faire baisser les taux d'intérêt. Donc, qu'on le veuille ou non, nous dépendons de l'UE pour le pire et le meilleur. Et la BCE n'aidera pas la France sans lui imposer des contreparties politiques et budgétaires. Il faut juste le savoir. Nous n'avons jamais respecté le pacte de stabilité, mais en cas de crise, le réveil pourrait être brutal.

Alors oui, outre un endettement excessif, l'Europe (l'euro) nous empêche également de dévaluer.
Mais je redis qu'il n'existe pas de formule magique qui nous donnerait de l'argent qu'on a pas sans de lourdes conséquences.
En l'occurrence, la dévaluation est une arme à un seul coup. Une fois qu'on aura fait la nique à nos créanciers (parce que c'est ça au fond la dévaluation), il est bien évident qu'il ne faudra plus compter sur eux pour réemprunter derrière. Sont pas masos non plus.
Sans parler du coût des importations qui va faire un sacré bond. Ce sera plus 2€ le litre, mais plutôt 5...

Toujours dans l'idée qu'il n'existe pas d'argent magique, il n'existe pas de technique économique qui ferait disparaître la dette sans qu'on en subisse des contreparties très importantes. Tout n'est qu'un jeu de compensation au fond, ce qu'on gagne (beaucoup) d'un côté, on le paie (cher) de l'autre. Alors oui, l'Europe nous empêche de faire tout ça, mais ce n'est pas forcément un mal car les stratégies monétaires qui nous sont interdites sont loin d'être saines économiquement.

Mon but n'était pas de dire que l'euro ne comporte que des désavantages, j'ai bien dit que nous dépendons de la BCE pour le pire et le meilleur. Le pire étant que nous n'avons pas le choix des solutions et que nous devons respecter des règles, même si nous le faisons avec de la marge et un temps de retard, ce que nous ne pourrons peut-être pas nous permettre éternellement. Ceci pour dire que nos enjeux nationaux sont étroitement liés aux enjeux européens, c'est évident en économie, mais aussi dans d'autres domaines.

[Corvo]

Brillant ? Vous parlez de ses cheveux gominés et de ses dents ultra brite ? Là ou je vois briller votre candidat accessoirement eurodéputé c'est essentiellement par son absence au Parlement Européen pour son manque de soutien à l'Ukraine et pour le manque de courage dont il fait preuve en refusant de débattre avec ses adversaires du moment sinon...

Sinon vous pouvez ressasser en boucle votre amertume, Monsieur Bardella fait un sans faute et se passera de vos précieux conseils. Il est le personnage politique qui arrive en tête et loin devant parmi tous ceux que les Français désignent pour aller défendre leurs intérêts au parlement européen.
Mais vous pouvez continuer à vous lamenter pages après page et nous rabâcher en boucle vos textes de propagandes anti RN, il y a longtemps que le citoyen informé et lucide a appris à faire la part des choses. Jetez donc un coup d'oeil sur les sondages pour vous rabougrir juste un peu plus si c'était nécessaire.

Qu'a, depuis qu'il a été élu "eurodéputé" en 2019, fait Bardella pour défendre les intérêts de la France ? ben rien, nada, que dalle, que tche, peau de balle, peau de zob... Si j'étais cruel je republierai le bilan de votre "eurodéputé" ectoplasme inconnu même dans sa propre commission. Puis avant de triompher attendez que la compagne soit lancée et que les candidats exposent leur programme ensuite seulement vous pourrez vous la péter...ou pas.

[vivarais]

On ne donne pas ses tuyaux à la concurrence mais à ceux que cela concerne
Que je sache , il s'est réuni lors du salon de l'agriculture avec les responsables agricoles
Pas la peine de dire ce que l'on ferait tant quand ne gouverne pas pour le faire
Ni le dire alors qu'on ne l'a pas fait lorsque l'on a déjà gouverné et qu'on pouvait le faire
L'important c'est de s'enquérir de ce que les gens voudraient et non faire des débats stériles
Et on a vu que le RN a rencontré les syndicats agricoles , ceux du patronat et ceux non politisés des salariés
Et aussi les gens tout en faisant des selfies

"Pas la peine de dire ce que l'on ferait tant quand ne gouverne pas pour le faire"
Même pas à ses électeurs ou surtout pas à ses électeurs ?...

et c'est bien ce qu'il fait , il écoute les gens concerner pour savoir ce qu'il faudrait faire d'après eux
Qui connait mieux la chose que les gens concernés
En attendant selon certains politologues le RN le 9 juin sera plus prés du 40 % que du 30 %