Juin 2024-Elections Européennes, les enjeux, les programmes et les campagnes, les résultats, le nouveau Parlement

[Corvo]

"Pas la peine de dire ce que l'on ferait tant quand ne gouverne pas pour le faire"
Même pas à ses électeurs ou surtout pas à ses électeurs ?...

et c'est bien ce qu'il fait , il écoute les gens concerner pour savoir ce qu'il faudrait faire d'après eux
Qui connait mieux la chose que les gens concernés
En attendant selon certains politologues le RN le 9 juin sera plus prés du 40 % que du 30 %

Vous pouvez nous donner le nom de ces politologues ?... ETt arrêtez de me faire rire en tentant de me faire croire que Bardella est à l'écoute des gens.

[gare au gorille]

Sinon vous pouvez ressasser en boucle votre amertume, Monsieur Bardella fait un sans faute et se passera de vos précieux conseils. Il est le personnage politique qui arrive en tête et loin devant parmi tous ceux que les Français désignent pour aller défendre leurs intérêts au parlement européen.
Mais vous pouvez continuer à vous lamenter pages après page et nous rabâcher en boucle vos textes de propagandes anti RN, il y a longtemps que le citoyen informé et lucide a appris à faire la part des choses. Jetez donc un coup d'oeil sur les sondages pour vous rabougrir juste un peu plus si c'était nécessaire.

Qu'a, depuis qu'il a été élu "eurodéputé" en 2019, fait Bardella pour défendre les intérêts de la France ? ben rien, nada, que dalle, que tche, peau de balle, peau de zob... Si j'étais cruel je republierai le bilan de votre "eurodéputé" ectoplasme inconnu même dans sa propre commission. Puis avant de triompher attendez que la compagne soit lancée et que les candidats exposent leur programme ensuite seulement vous pourrez vous la péter...ou pas.

Personne n'est triomphal, il y a simplement des sondages qui placent Bardella en tête des intentions de votes pour ces européennes. Votre amertume est palpable, elle se mesure au nombre de vos efforts désespérés pour essayer de discréditer l'euro député RN, mais Il semble que tout le monde ne partage pas vos opinions puisqu'il est toujours en tête et loin devant les macronistes dans tous les sondages.

[Yaroslav]

Mon but n'était pas de dire que l'euro ne comporte que des désavantages, j'ai bien dit que nous dépendons de la BCE pour le pire et le meilleur. Le pire étant que nous n'avons pas le choix des solutions et que nous devons respecter des règles, même si nous le faisons avec de la marge et un temps de retard, ce que nous ne pourrons peut-être pas nous permettre éternellement. Ceci pour dire que nos enjeux nationaux sont étroitement liés aux enjeux européens, c'est évident en économie, mais aussi dans d'autres domaines.

Pour moi le pire, c'est surtout le rejet de toute politique protectionniste (interdite au niveau national mais aussi globalement rejetée au niveau européen, ce qui est préjudiciable).
Mais pouvoir s'endetter beaucoup plus que nous le sommes déjà..., Dieu nous en garde (l'Europe aussi).

[UBUROI]

Remettons la cabane sur le chien (seuls les accrocs au rugby- la classe!- peuvent saisir)!
Oui le RN est dangereux, comme l'AFD et les autres

« Les élections européennes doivent permettre de faire tomber le masque de l’extrême droite »
TRIBUNE
Hector de Rivoire Maître de conférences à Sciences Po Paris

Arthur de Liedekerke Directeur des affaires européennes chez Rasmussen Global

Les chercheurs Hector de Rivoire et Arthur de Liedekerke rappellent, dans une tribune au « Monde », que, derrière une mue idéologique de façade, les partis d’extrême droite, en position favorable pour le scrutin européen de juin, restent profondément dangereux, notamment du fait de leurs sympathies à l’égard de la Russie.

https://www.lemonde.fr/idees/article/20 ... _3232.html

...Enfin et surtout, le conflit porté par la Russie à nos frontières doit susciter une prise de conscience. Les atermoiements du Congrès américain, qui hésite au moment de débloquer des fonds pour Kiev, illustrent plus que jamais la nécessité pour les Européens de s’unir autour du soutien à nos voisins ukrainiens, tant pour la crédibilité de notre posture stratégique que pour la garantie de l’intangibilité des frontières baltes et roumaines.

Il y a encore deux ans, le RN faisait de l’alliance militaire avec la Russie un fer de lance de son programme en matière de défense. Aujourd’hui, le Parti de la liberté d’Autriche (Freiheitliche Partei Österreichs) et l’Alternative pour l’Allemagne affichent ouvertement leurs sympathies pro-Kremlin, et si les priorités de ces formations ne sont pas dictées par la Russie, leurs intérêts illibéraux convergent.

Ne nous trompons pas sur les enjeux lors des prochaines élections. En dépit d’une apparente refondation programmatique qui a conquis une partie des opinions, ces formations politiques sont une vraie menace pour les principes fondateurs de l’UE et demeurent – dans leur majorité – porteuses d’une dangereuse affinité idéologique avec le Kremlin.

Ne soyons pas dupes des changements cosmétiques des partis radicaux.
Le leader des SD. Michel Barnier, ancien commissaire européen et négociateur en chef chargé du Brexit ne s’est d’ailleurs pas trompé en désignant, le 20 février, ces partis comme souhaitant transformer l’UE en « un simple syndicat international ». Voilà la réalité du concept d’Europe à la carte voulue par la tête de liste du RN au scrutin du 9 juin, Jordan Bardella.

[Cépajuste]

Pour moi le pire, c'est surtout le rejet de toute politique protectionniste (interdite au niveau national mais aussi globalement rejetée au niveau européen, ce qui est préjudiciable).
Mais pouvoir s'endetter beaucoup plus que nous le sommes déjà..., Dieu nous en garde (l'Europe aussi).

Sur le manque de protectionnisme européen, il y a peut-être un timide début de changement dans les mentalités...

Sur l'endettement, il est certain que l'euro nous a permis de nous endetter davantage et d'accumuler des déficits commerciaux sans sanctions immédiates des marchés. Sans l'euro, il est aussi probable que le quoi qu'il en coûte aurait été plus raisonnable. Finalement, l'euro nous a rendu de mauvais services, comme un antidouleur qui masque la maladie.

[Corvo]

La preuve avec son eurodéputé fantôme inconnu dans sa propre commission qui fuit le débat avec ses adversaires qui n'arbore dans ses meetings aucun drapeau Européen que le RN se fout des élections Européennes. Lui est déjà en course pour 2027...

Elections européennes: Jordan Bardella confond confiance et arrogance
Après avoir clamé, ces dernières semaines, qu’il ne fallait surtout pas pécher par optimisme, le président du RN se voit déjà en 2027 et dit se préparer avec beaucoup (trop ?) d’assurance à «exercer» le pouvoir

Chômage en hausse, comptes publics extrêmement dégradés, cote de popularité qui se maintient à un faible niveau, liste Renaissance à la peine dans les sondages des européennes... C’est un Emmanuel Macron en bien moins bonne posture qu’il ne l’était en 2019 qui, à l’occasion d’un discours de la Sorbonne II, va entrer en scène cette semaine, en vue du vote du 9 juin. Une intervention qui, croise-t-on les doigts dans la majorité, sera de nature à inverser la tendance face à un Rassemblement National caracolant en tête des intentions de vote.

L’une des raisons d’espérer, dans le camp présidentiel, ne résiderait-elle pas aussi dans l’excès de confiance affichée par la tête de liste RN, Jordan Bardella ? Après avoir clamé, ces dernières semaines, qu’il ne fallait surtout pas pécher par optimisme, ce dernier, fort d’une indéniable dynamique en sa faveur, ne confondrait-il pourtant pas confiance et arrogance en déclarant au Journal du Dimanche, avec beaucoup (trop ?) d’assurance se préparer à « exercer » le pouvoir ?

Le jeune président du RN veut croire en un vote utile « contre » Emmanuel Macron dont il serait le principal bénéficiaire et qui le propulserait, Marine Le Pen et lui, un peu plus vers 2027. Certes, les élections de juin revêtiront un enjeu national. Mais c’est un scrutin de second rang qui n’a jamais déplacé les foules et semble susciter encore moins d’intérêt qu’en 2019.

A crier victoire un peu trop vite, le RN ne risque-t-il pas de démobiliser une partie de son électorat – en mars, l’entourage de Jordan Bardella redoutait l’abstention des catégories populaires – et, à l’inverse motiver celui des autres listes ? D’autant qu’Emmanuel Macron, qui joue là la seconde partie de son quinquennat, semble déterminé à miser à plein sur le clivage des progressistes contre les nationalistes, des pro-européens versus les eurosceptiques.

https://www.lopinion.fr/politique/elect ... -arrogance

[Corvo]

Long et bon.

Le RN et l’Europe : « Tout doit disparaître »

Le RN vient de lancer sa campagne pour les élections européennes. L’occasion d’explorer ses principaux axes stratégiques en attendant un programme en bonne et due forme. Et de débusquer quelques-unes des fake news que Jordan Bardella et ses amis ne manqueront pas de colporter dans les semaines qui viennent.

onférence de presse de Jordan Bardella, tribune de Marine Le Pen dans Les Echos, grand meeting à Marseille, 20h de TF1… : le RN a lancé sa campagne pour les élections européennes. Galvanisés par un mouvement agricole durant lequel leurs amis de la Coordination rurale ont marqué leur territoire et affaibli le gouvernement, les responsables du RN ont commencé à abattre leurs cartes. C’est l’occasion d’explorer les axes principaux de la stratégie de Jordan Bardella et de Marine Le Pen d’ici le 9 juin prochain.

Première certitude, les élections européennes sont considérées comme des « élections de mi-mandat », c’est-à-dire par référence au mandat présidentiel. Il s’agira donc d’abord et avant tout d’accabler l’exécutif en place pour « mettre un terme à la dérive présidentielle » d’Emmanuel Macron, comme le dit Jordan Bardella. La campagne du RN sera en conséquence centrée sur la mise en scène d’un duel exclusif entre le RN et le chef de l’Etat.

Plus nouveau est le retournement des accusations habituellement portées contre le RN : le « complotisme », les « mensonges » et les « fake news » seraient désormais le fait d’une Macronie acculée, et le « fanatisme », celui d’une Commission européenne ivre de son pouvoir. L’accusation de « Frexit caché » relèverait en particulier de l’imagination paranoïaque du Président de la République. Tout à sa stratégie de normalisation, le RN voudrait se placer désormais du côté de la modération et de la raison.

Pourtant, on va le voir, la falsification et le complotisme demeurent la marque de fabrique du RN sur de nombreux dossiers. Son narratif de la « déconstruction » de la France en porte témoignage, qui suggère que, dans l’ombre des cabinets ministériels et des couloirs de la Commission, des technocrates sans âme conspirent à « l’effacement » méthodique de notre pays, de son industrie, de son agriculture et de sa culture. Tant et si bien que Marine Le Pen propose de changer la devise de l’Union : non plus « Unis dans la diversité » mais « Tout doit disparaître » ! En réalité, ce « Tout doit disparaître » conviendrait beaucoup mieux à qualifier son intention à l’égard de l’Union.


...

Les craintes du RN sur ce chapitre s’expliquent toutefois par ses positions et analyses sur les enjeux géopolitiques de la période, lesquelles méritent d’être rappelées brièvement ici. Pendant la campagne présidentielle de 2022, alors même que Vladimir Poutine avait commencé à mettre l’Ukraine à feu et à sang, c’est avec le maître du Kremlin que Marine Le Pen proposait de passer une « alliance » (en p. 10 du chapitre de son programme consacré à la défense) : « Parallèlement et sans crainte des sanctions américaines, il sera recherché une alliance avec la Russie sur certains sujets de fond : la sécurité européenne qui ne peut exister sans elle, la lutte contre le terrorisme qu’elle a assurée avec plus de constance que toute autre puissance, la convergence dans le traitement des grands dossiers régionaux impactant la France (Méditerranée orientale, Afrique du Nord & centrale, Golfe/Proche-Orient et Asie notamment). » Ce projet d’alliance avec la Russie justifiait une certaine mansuétude à l’égard de Moscou. Ainsi, le 16 février 2022, quelques jours avant l’invasion russe, les élus du RN au Parlement européen votaient tous contre le projet d’assistance financière à l’Ukraine. Deux semaines plus tôt, Marine Le Pen avait refusé de signer la déclaration de solidarité avec l’Ukraine de ses partenaires nationalistes et souverainistes européens (Pologne, Hongrie, etc.) réunis à Madrid. Et le 1er mars, alors que le pilonnage des villes ukrainiennes avait débuté depuis 8 jours, elle se déclarait « très réservée » sur les livraisons d’armes à l’Ukraine au motif que « cela ferait de nous des cobelligérants » ; la suite a montré que ce n’était nullement le cas.

En dépit de l’inflexion de leur discours depuis février 2022, les élus RN au Parlement européen ont continué à freiner la solidarité avec Kiev et les mesures de rétorsion à l’égard de la Russie. Ils ont voté contre la résolution réclamant la création d’une seconde commission spéciale sur la désinformation et les ingérences étrangères, notamment de la Russie (10 mars 2022), contre la résolution pour accorder une libéralisation temporaire des échanges entre l’UE et l’Ukraine (le 19 mai 2022) et contre la résolution visant à faire reconnaître la Fédération de Russie comme État soutenant le terrorisme (le 23 novembre 2022). Ils se sont abstenus sur la résolution condamnant l’escalade de la Russie dans sa guerre d’agression contre l’Ukraine (le 6 octobre 2022), sur la résolution visant à établir un instrument de soutien financier à l’Ukraine pour 2023 (le 24 novembre 2022), sur la résolution visant à mettre en place un tribunal sur le crime d’agression commis par la Russie contre l’Ukraine (le 19 janvier 2023), sur la résolution sur la préparation du sommet UE-Ukraine (le 2 février 2023), sur la résolution condamnant les conditions de détention d’Alexeï Navalny et d’autres prisonniers politiques russes (le 16 février 2023), sur la résolution à l’occasion des 1 an de l’invasion et de la guerre d’agression lancée par la Russie contre l’Ukraine (le 16 février 2023). Et ils se sont organisés pour être absents lors des votes sur la résolution appelant à renforcer les sanctions contre la Russie (le 7 avril 2022) et sur la résolution condamnant la répression accrue du régime russe ainsi que la condamnation d’Alexeï Navalny (le 7 avril 2022).


https://www.lagrandeconversation.com/po ... sparaitre/

Bon en même temps que le RN mente ou pas ses électeurs s'en foutent.

[Corvo]

Européennes : "Tous ceux qui prétendent qu'on n'a pas besoin de l'Europe sont des menteurs", tacle François Bayrou
Selon François Bayrou, à quelques semaines des élections européennes, l'UE est en danger et la France "ne peut pas faire toute seule".

"Je croirai jusqu'à la dernière seconde qu'on peut faire entendre raison". Invité du Grand Jury RTL, Le Figaro, M6, Paris Première, François Bayrou a alerté sur les dangers qui menacent l'Union Européenne à un mois et demi des élections européennes. Alors que la liste de Jordan Bardella caracole toujours en tête des sondages, le président du MoDem a affirmé que "la France est absolument dépendante. Toute seule elle ne peut pas".

"Tous ceux qui prétendent qu'on peut faire tout seul et qu'on n'a pas besoin de l'Europe sont des menteurs", dit-il, évoquant Jordan Bardella, "mais c'est vrai aussi pour LFI. "Tous ceux dont la thèse est 'séparons nous de cette Europe' sont des menteurs pour ne pas dire des escrocs", insiste le Haut-commissaire au Plan.

Pour l'édile, "l'Union Européenne est en danger", et nous n'en avons "pas encore pris conscience". Et d'évoquer le "mouvement déclenché par Poutine, qui s'étend sur toute la planète", celui du "retour au temps où c'est la violence qui fait la loi". "On est sortis du temps dans lequel il y avait une loi internationale, comme 'on ne touche pas aux frontières' (...) et tout d'un coup (...) on a basculé du côté de la violence", ajoute l'ancien ministre.

https://www.rtl.fr/actu/politique/invit ... 7900376443

[Patchouli38]

La preuve avec son eurodéputé fantôme inconnu dans sa propre commission qui fuit le débat avec ses adversaires qui n'arbore dans ses meetings aucun drapeau Européen que le RN se fout des élections Européennes. Lui est déjà en course pour 2027...

Elections européennes: Jordan Bardella confond confiance et arrogance
Après avoir clamé, ces dernières semaines, qu’il ne fallait surtout pas pécher par optimisme, le président du RN se voit déjà en 2027 et dit se préparer avec beaucoup (trop ?) d’assurance à «exercer» le pouvoir

Chômage en hausse, comptes publics extrêmement dégradés, cote de popularité qui se maintient à un faible niveau, liste Renaissance à la peine dans les sondages des européennes... C’est un Emmanuel Macron en bien moins bonne posture qu’il ne l’était en 2019 qui, à l’occasion d’un discours de la Sorbonne II, va entrer en scène cette semaine, en vue du vote du 9 juin. Une intervention qui, croise-t-on les doigts dans la majorité, sera de nature à inverser la tendance face à un Rassemblement National caracolant en tête des intentions de vote.

L’une des raisons d’espérer, dans le camp présidentiel, ne résiderait-elle pas aussi dans l’excès de confiance affichée par la tête de liste RN, Jordan Bardella ? Après avoir clamé, ces dernières semaines, qu’il ne fallait surtout pas pécher par optimisme, ce dernier, fort d’une indéniable dynamique en sa faveur, ne confondrait-il pourtant pas confiance et arrogance en déclarant au Journal du Dimanche, avec beaucoup (trop ?) d’assurance se préparer à « exercer » le pouvoir ?

Le jeune président du RN veut croire en un vote utile « contre » Emmanuel Macron dont il serait le principal bénéficiaire et qui le propulserait, Marine Le Pen et lui, un peu plus vers 2027. Certes, les élections de juin revêtiront un enjeu national. Mais c’est un scrutin de second rang qui n’a jamais déplacé les foules et semble susciter encore moins d’intérêt qu’en 2019.

A crier victoire un peu trop vite, le RN ne risque-t-il pas de démobiliser une partie de son électorat – en mars, l’entourage de Jordan Bardella redoutait l’abstention des catégories populaires – et, à l’inverse motiver celui des autres listes ? D’autant qu’Emmanuel Macron, qui joue là la seconde partie de son quinquennat, semble déterminé à miser à plein sur le clivage des progressistes contre les nationalistes, des pro-européens versus les eurosceptiques.

https://www.lopinion.fr/politique/elect ... -arrogance

On a un exemple criant de son optimiste arrogante : celui de vouloir la dissolution de l'assemblée nationale. Il s'imagine déjà avoir les pleins pouvoirs.
A crier victoire trop vite, il risque surtout de se casser la figure et la déception sera aussi grande que son assurance.
Il se prend déjà pour une star des mettings ou tout est mis sur l'image, le selfies.
Attendons la lancée officielle des européennes : son incompétence sera vite mise à nue car il ne pourra pas, éternellement, évité les débats à plusieurs.

[Corvo]

La preuve avec son eurodéputé fantôme inconnu dans sa propre commission qui fuit le débat avec ses adversaires qui n'arbore dans ses meetings aucun drapeau Européen que le RN se fout des élections Européennes. Lui est déjà en course pour 2027...

Elections européennes: Jordan Bardella confond confiance et arrogance
Après avoir clamé, ces dernières semaines, qu’il ne fallait surtout pas pécher par optimisme, le président du RN se voit déjà en 2027 et dit se préparer avec beaucoup (trop ?) d’assurance à «exercer» le pouvoir

Chômage en hausse, comptes publics extrêmement dégradés, cote de popularité qui se maintient à un faible niveau, liste Renaissance à la peine dans les sondages des européennes... C’est un Emmanuel Macron en bien moins bonne posture qu’il ne l’était en 2019 qui, à l’occasion d’un discours de la Sorbonne II, va entrer en scène cette semaine, en vue du vote du 9 juin. Une intervention qui, croise-t-on les doigts dans la majorité, sera de nature à inverser la tendance face à un Rassemblement National caracolant en tête des intentions de vote.

L’une des raisons d’espérer, dans le camp présidentiel, ne résiderait-elle pas aussi dans l’excès de confiance affichée par la tête de liste RN, Jordan Bardella ? Après avoir clamé, ces dernières semaines, qu’il ne fallait surtout pas pécher par optimisme, ce dernier, fort d’une indéniable dynamique en sa faveur, ne confondrait-il pourtant pas confiance et arrogance en déclarant au Journal du Dimanche, avec beaucoup (trop ?) d’assurance se préparer à « exercer » le pouvoir ?

Le jeune président du RN veut croire en un vote utile « contre » Emmanuel Macron dont il serait le principal bénéficiaire et qui le propulserait, Marine Le Pen et lui, un peu plus vers 2027. Certes, les élections de juin revêtiront un enjeu national. Mais c’est un scrutin de second rang qui n’a jamais déplacé les foules et semble susciter encore moins d’intérêt qu’en 2019.

A crier victoire un peu trop vite, le RN ne risque-t-il pas de démobiliser une partie de son électorat – en mars, l’entourage de Jordan Bardella redoutait l’abstention des catégories populaires – et, à l’inverse motiver celui des autres listes ? D’autant qu’Emmanuel Macron, qui joue là la seconde partie de son quinquennat, semble déterminé à miser à plein sur le clivage des progressistes contre les nationalistes, des pro-européens versus les eurosceptiques.

https://www.lopinion.fr/politique/elect ... -arrogance

On a un exemple criant de son optimiste arrogante : celui de vouloir la dissolution de l'assemblée nationale. Il s'imagine déjà avoir les pleins pouvoirs.
A crier victoire trop vite, il risque surtout de se casser la figure et la déception sera aussi grande que son assurance.
Il se prend déjà pour une star des mettings ou tout est mis sur l'image, le selfies.
Attendons la lancée officielle des européennes : son incompétence sera vite mise à nue car il ne pourra pas, éternellement, évité les débats à plusieurs.

Ne pas face à ses adversaires vouloir débattre lui laisse un peu de temps pour réviser. En même temps potasser 5 ans de dossiers Européens en quelques jours...

[Corvo]

C'est toujours ça l'extrême droite.

[Patchouli38]

"Élections européennes : la stratégie de radicalisation de Jean-Luc Mélenchon pour incarner un vote "antisystème"

"Le leader de la France insoumise multiplie les déclarations polémiques et assume complètement l'isolement dont il fait l'objet sur la scène politique."

https://www.francetvinfo.fr/replay-radi ... 72928.html

Il cherche à créer un vote anti-système afin de finir sur la première place du podium. Mais pour l'instant, sa tactique fait flop, re-flop et re-reflop.
Serait-ce le dernier chant du cygne avant sa mort (politique) ?

[gare au gorille]

C'est toujours ça l'extrême droite.

Encore un nostalgique des années 30. Il faut vous faire une raison monsieur Corvo nous sommes en 2024. Vos larmes et vos regrets n'y feront rien.
Les seuls fachos d'aujourd'hui sont vos potes les islamistes. Au RN et chez Reconquêtes nous sommes tous des démocrates et contrairement à vous, nous nous battons pour que ça dure.

[Corvo]

C'est toujours ça l'extrême droite.

Encore un nostalgique des années 30. Il faut vous faire une raison monsieur Corvo nous sommes en 2024. Vos larmes et vos regrets n'y feront rien.
Les seuls fachos d'aujourd'hui sont vos potes les islamistes. Au RN et chez Reconquêtes nous sommes tous des démocrates et contrairement à vous, nous nous battons pour que ça dure.

L'origine "mon vieux"...l'origine. Et désolé de vous décevoir mais je n'ai ni potes islamistes ni, contrairement à vous...potes d'extrême droite.

[Kelenner]

"Élections européennes : la stratégie de radicalisation de Jean-Luc Mélenchon pour incarner un vote "antisystème"

"Le leader de la France insoumise multiplie les déclarations polémiques et assume complètement l'isolement dont il fait l'objet sur la scène politique."

https://www.francetvinfo.fr/replay-radi ... 72928.html

Il cherche à créer un vote anti-système afin de finir sur la première place du podium. Mais pour l'instant, sa tactique fait flop, re-flop et re-reflop.
Serait-ce le dernier chant du cygne avant sa mort (politique) ?

Je n'aime pas du tout, mais ça marche très bien, au contraire. D'un groupuscule à l'origine, il a fait le parti dominant à gauche et a atteint 22% des voix à la dernière présidentielle. On peut le déplorer mais c'est factuel.