allons , allons "Beré" avait qque chose qu'aucun n'aura jamais , en particulier votre "****supprimé************, c'était un honnête homme..... lui
Ce que je cherche : Jordan Bardella publiera son premier livre chez Fayard le 9 novembre
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Re: Ce que je cherche : Jordan Bardella publiera son premier livre chez Fayard le 9 novembre
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Re: Ce que je cherche : Jordan Bardella publiera son premier livre chez Fayard le 9 novembre
Et plutôt que de tenter de noyer le poisson sur le sujet du fil vous avez quelque chose à dire ?gare au gorille a écrit : ↑10 novembre 2024 18:58
Ben surtout on a surtout un aperçu de ce que donne la France gérée par des technocrates bardés de leurs diplômes.
Le Mozart de la finance laissera surtout derrière lui un pays en déconstruction, une immigration en délire, un déficit budgétaire hors de contrôle des plans sociaux qui tombent les uns après les autres comme des rangées de dominos et des milliers de milliards de dettes supplémentaires.
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Re: Ce que je cherche : Jordan Bardella publiera son premier livre chez Fayard le 9 novembre
Pas plus que vous puisque ni vous ni moi n'avons lu le bouquin en question.Corvo a écrit : ↑10 novembre 2024 19:06Et plutôt que de tenter de noyer le poisson sur le sujet du fil vous avez quelque chose à dire ?gare au gorille a écrit : ↑10 novembre 2024 18:58
Ben surtout on a surtout un aperçu de ce que donne la France gérée par des technocrates bardés de leurs diplômes.
Le Mozart de la finance laissera surtout derrière lui un pays en déconstruction, une immigration en délire, un déficit budgétaire hors de contrôle des plans sociaux qui tombent les uns après les autres comme des rangées de dominos et des milliers de milliards de dettes supplémentaires.
* il pleut doucement sur la ville *
* Et le poète soul engueulait l' Univers *
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Re: Ce que je cherche : Jordan Bardella publiera son premier livre chez Fayard le 9 novembre
N'est-ce pas vous qui écriviez l'avoir réservé ? Quant à moi à part les "bonnes feuilles"...gare au gorille a écrit : ↑10 novembre 2024 19:13Pas plus que vous puisque ni vous ni moi n'avons lu le bouquin en question.
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Re: Ce que je cherche : Jordan Bardella publiera son premier livre chez Fayard le 9 novembre
Les neuneus gauchistes ont réussi à faire une formidable pub gratuite à Bardella.
“Dieu se rit des hommes qui se plaignent des conséquences alors qu'ils en chérissent les causes." Jacques-Bénigne Bossuet.
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Re: Ce que je cherche : Jordan Bardella publiera son premier livre chez Fayard le 9 novembre
Quelle panique à gauche à l'idée qu'un membre de RN écrive un livre.
On verra les critiques ..quand il aura été "vraiment" lu.
En attendant ,calmos.
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Re: Ce que je cherche : Jordan Bardella publiera son premier livre chez Fayard le 9 novembre
Tiens, rien que pour toi et les addicts du RN. Ca sort de LIBERATION
https://www.liberation.fr/politique/ele ... XCT4OKHSM/Critique
On a lu «Ce que je cherche» de Jordan Bardella et voilà tout ce qu’on y a trouvé (à part l’ennui)
«On n’a pas coutume d’écrire ses mémoires à trente ans», écrivait Brasillach dans Notre avant-guerre, en 1941. A 29 ans pas plus, et à raison, a-t-on envie d’ajouter après avoir refermé la très poussive autobiographie de Jordan Bardella, qui sort samedi 9 novembre chez Fayard. Avec l’écrivain fasciste, le leader d’extrême droite a en commun le jeune âge. Pas le talent. Dans son livre au style si mauvais qu’on finit par penser qu’il l’a vraiment écrit tout seul, le dauphin de Marine Le Pen ne parvient guère à «se découvrir», comme le vend le Figaro Magazine, qui en a publié les bonnes feuilles vendredi, et ne réussit qu’à conforter le lecteur dans l’opinion que tout le monde a déjà de lui : formidable machine politique, solide porte-parole et bon débatteur, Bardella n’a ni pensée propre ni culture politique profonde, ce qui le rend parfaitement adapté à son office d’objet marketing destiné à séduire l’électeur de droite moyen.
Avalanche de lieux communs et de formules creuses dont il a le secret, son bouquin mélange l’autosatisfaction bourgeoise d’un Homais et la conversation d’un Charles Bovary, dont Flaubert écrit qu’elle «était plate comme un trottoir de rue et [que] les idées de tout le monde y défilaient dans leur costume ordinaire, sans exciter d’émotion, de rire ou de rêverie». Florilège : «C’est la vie que j’ai choisie. A vrai dire, la politique m’a choisi» ; «En vous racontant d’où je viens, vous comprendrez ce que je cherche.» Cela se décline aussi pour les idées : «L’école n’est plus un sanctuaire», pontifie celui qui pense hardiment qu’il ne faut pas opposer «pouvoir d’achat et protection des salariés à la liberté et à la prospérité des entreprises». Poncif droitier qui ne fâcherait pas le patron tout en n’effrayant pas l’employé. A la tête d’un parti d’extrême droite, Bardella multiplie les professions de foi de modérantistes. «Pour rassembler, il faut rassurer sur le bien-fondé de notre projet et afficher notre volonté d’unir tous les Français, de réorienter les politiques sécuritaires et migratoires sans attenter aux libertés individuelles», écrit notre Homais-Bovary qui pourrait aussi préconiser d’être souple et solide à la fois, ferme mais pas trop, respectueux des traditions mais tourné vers la modernité.
Origines algériennes diluées
A vrai dire, le fond de sauce extrême droitier vient rendre à intervalles réguliers un peu de goût à ce fade bouillon. S’il évoque les stigmates que lui a valus son prénom – «la carte d’identité de ma classe sociale» –, il en veut encore à Eric Zemmour de l’avoir amalgamé à ces descendants d’immigrés dont le prénom ne figure pas dans le calendrier chrétien. «Si Mohamed, Adam ou Ibrahim – prénoms masculins les plus donnés en Seine-Saint-Denis en 2022, selon l’Insee – s’apparentent souvent à des marqueurs culturels, il en va différemment pour Jordan et Kévin, qui sont des marqueurs sociaux», écrit-il. Vexé comme un pou, le voilà qui continue : «S’il faut le préciser, le prénom Jordan est d’origine hébraïque, inspiré du fleuve Jourdain qui traverse Israël et la Jordanie, là où Jésus-Christ fut baptisé. Il apparaît en France au Moyen-Age avec les croisades, puis tombe dans l’oubli avant de reparaître à l’aube des années 1990.» Merci de ne pas me mettre dans le même sac que les musulmans ! Certes, le magazine Jeune Afrique a bien sorti une enquête narrant les origines algériennes d’une partie de la famille de Bardella. Hors de question pour lui de s’attarder sur cet arrière-grand-père paternel qui a fui la pauvreté de son village pour travailler dans le bâtiment en France. Sa grand-mère Réjane est expédiée par le curieux néologisme «kabylo-alsacienne», qui a l’avantage de diluer son côté nord-africain.
Le côté italien, lui, est raconté avec force détails et fierté. Qu’elle est belle, la terre natale de Iolanda et de Severino, contraints d’aller chercher en France la prospérité qui leur manquait dans leur Piémont. Comme l’aïeule kabyle, ils sont devenus ouvriers. Mais eux sont devenus de vrais Français. Plus tard, Bardella se rendra compte «à quel point il était difficile de concilier des univers culturels qui semblaient si éloignés. Si l’intégration de Iolanda et Severino a bien fonctionné, c’est qu’elle était européenne.» Peu porté aux grandes théories qui l’ennuient – il dit qu’il vaut mieux avoir du «caractère», ce qui fournit un bon prétexte pour ne pas lire –, le patron du RN n’en est pas moins imbibé de l’idéologie identitaire de la Nouvelle Droite, qui voit le monde comme une série d’ensembles civilisationnels aux soubassements ethniques, en lutte les uns avec les autres. Dans ce contexte, l’intégration d’un immigré issu de l’ensemble africain ou arabo-musulman en Europe est quasiment impossible.
Auréole de martyr
Calqué sur le modèle du premier ouvrage de Marine Le Pen, A contre flots (2006), le livre de Bardella en reprend plusieurs artifices narratifs. Citons le principal, la découverte de la violence : Marine Le Pen a vécu enfant l’attentat de la villa Poirier ; Bardella raconte l’assaut donné par les forces du Raid contre les derniers terroristes du 13 novembre, réfugiés dans un appartement à quelques centaines de mètres de chez lui, le 18 novembre 2015. Chez l’une comme chez l’autre, l’épreuve correspond à la perte de l’innocence et décerne surtout l’auréole de martyr nécessaire à la conduite d’un parti d’extrême droite. Marine Le Pen chouine beaucoup, Bardella l’imite avec zèle. Mais là où la première a quelque raison de se plaindre – attentat, divorce de ses parents ultra-médiatisé, sévérité de ses professeurs hostiles aux idées de son père –, le second, enfant de la classe moyenne, peine à convaincre que sa jeunesse fut une vallée de larmes. Certes, sa mère ne vivait pas dans l’abondance, raconte-t-il. Mais la vie était douce en famille et les souvenirs sont qualifiés de «proustiens». La Seine-Saint-Denis, en revanche, est décrite comme une sombre zone de deal où les règlements de compte éclaboussent de sang le bas de son immeuble. Persécuté, Bardella l’est surtout par la méchante presse qui le traquerait et userait de méthodes déloyales contre lui. Une certaine presse, au moins, car les médias amis qui vont se charger de la promotion du bouquin sont lustrés comme il se doit.
La critique des médias a l’avantage d’épargner le soin de toute forme d’autocritique. Dans la très longue première partie, récit sans saveur ni scène piquante, et encore moins sans information qui justifierait de débourser 22,90 euros, des mois de juin et juillet derniers, Bardella balaie d’un revers nonchalant de la main les erreurs qui lui ont coûté son siège à Matignon. L’affaire de la double nationalité, qui a empoisonné toute la campagne ? «Une polémique malheureuse» déclenchée par une erreur bête de Sébastien Chenu qui a injustement déchaîné «la Sainte Inquisition médiatique», ricane Bardella, qui ne cite pas les propos racistes de deux députés sortants du RN sur le même sujet. Comme si la perspective pour plusieurs millions de binationaux de perdre un de leurs passeports ou a minima de se voir discriminé pour cette raison n’était pas une source légitime d’inquiétude. Quant au troupeau des «brebis galeuses» racistes, antisémites, complotistes ou toute autre tare du même acabit, elles sont ravalées au niveau de «quelques candidats hasardeux», soit «une dizaine de candidats investis». Un nombre évidemment minoré, alors que, d’après les informations de Libération, au moins une trentaine d’ex-candidats sont passés entre septembre et octobre en commission de discipline du parti.
D’un ennui mortel, l’ouvrage contient tout de même une petite information piquante : en cas de victoire aux législatives de juillet, Eric Ciotti, le nouvel allié du RN, se serait vu proposer le ministère des Armées. Une information qui ne manque pas de sel quand on sait que le député de Nice avait réussi à sécher son service militaire, au début des années 1990.
Grâce à Libé, on aura "ni Les mains sales, ni La nausée!"
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Re: Ce que je cherche : Jordan Bardella publiera son premier livre chez Fayard le 9 novembre
La diabolisation du FN à cause de simples «maladresses» ? Jordan Bardella assume encore Jean-Marie Le Pen
Dans une interview ultra complaisante au «JDD», le jeune président du Rassemblement national évoque de simple «maladresses» pour expliquer la «diabolisation» dont a fait preuve son parti fondé notamment par d’anciens nostalgiques du Troisième Reich.
Dans un exercice d’économie circulaire de la bollosphère, le jeune prodige de l’extrême droite française a répondu, à l’occasion de la sortie de son livre Ce que je cherche (éd. Fayard-Bolloré), au feu roulant des questions des publireporters du Journal du dimanche-Bolloré. Questions que l’on pourrait résumer, en substance, ainsi : «Comment faites-vous pour avoir à ce point toujours raison ?» L’interview publicitaire est truffée de formules ciselées certainement – ces choses-là se voient – de concert entre les journalistes et le politique.
Bodybuilder
Jugez plutôt cette phrase extraordinaire d’un homme qui souffre mais qui se sacrifie pour son pays : «Parler de moi et me livrer sont des exercices difficiles, je suis naturellement réservé», dit le tiktokeur frénétique. On dirait un bodybuilder qui dirait «franchement, je ne me soucie pas de mon aspect physique». Mais, dans cet entretien-pommade dans lequel (soulignons au passage qu’aucune question sur l’élection de Donald Trump n’y figure) se trouve une phrase qui répond de façon limpide à la question qui taraude tous les observateurs du Rassemblement national, s’agissant de la réalité de la rupture du parti avec ses origines pétainistes, racistes, antisémites et la sincérité de son évolution vers les valeurs de la République. La respectabilité que Marine Le Pen veut, depuis qu’elle a remplacé son père comme figure de proue de l’extrême droite française, est mise à mal par cette réponse de Jordan Bardella : «Certes, il y a eu des maladresses de notre part, mais nos idées ont été diabolisées durant quatre décennies.»
Les chambres à gaz, «détails de l’histoire» pour Jean-Marie Le Pen, une simple «maladresse» ? «Durafour crématoire» et autres «pulpeuse charcutière casher» du journal frontiste Présent en 1986, une simple «maladresse» ? Le «je crois en l’inégalité des races» de Jean-Marie Le Pen en 1996, une simple «maladresse» ? «Nos idées ont été diabolisées», affirme Jordan Bardella dans cette même interview au JDD, démentant par là même toute la stratégie de «rupture» avec le passé brun du parti créé par une poignée d’anciens collabos, d’antigaullistes Algérie française et de néofascistes, dirigé pendant plus de trente ans par Jean-Marie Le Pen.
Marine Le Pen empêtrée dans le procès
Jordan Bardella reprend à son compte une analyse assez répandue, bien au-delà de la sphère du RN, selon laquelle la «diabolisation» du parti d’extrême droite était une stratégie de ses adversaires politiques, de la presse de gauche ou des universitaires qui scrutaient les programmes, les discours et la littérature produite par les dirigeants lepénistes (version Jean-Marie, puis Marine). Etait-ce de la diabolisation de souligner que les propositions du FN, puis du RN, étaient souvent inconstitutionnelles parce qu’elles ne respectaient pas les canons fixés en préambule de la Constitution de 1958 par la Déclaration des droits de l’homme ou décrire une réalité politique ? Etait-ce diaboliser le FN, du temps de la fête annuelle Bleu Blanc Rouge d’évoquer les stands-librairies de cette «fête de l’Huma nationaliste» qui proposait toute la littérature fascisante, tous les auteurs pétainistes, les ouvrages de Bernard Lugan à la gloire de l’apartheid ou des sudistes de la guerre de sécession ? Le FN a été un vrai parti d’extrême droite hors du «champ républicain» au sens de la définition de ce terme au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Le RN le reste notamment car il ne rompt pas avec le FN.
Pendant que Marine Le Pen est empêtrée dans le procès des assistants parlementaire et risque une peine d’inéligibilité qui pourrait la disqualifier pour la présidentielle de 2027, Jordan Bardella (stratégie ou maladresse, pour le coup ?) opère un revirement, un de plus dans l’opération normalisation du RN en refusant la rupture idéologique d’avec le FN de Jean-Marie Le Pen. Mais est-ce si surprenant ?
https://www.liberation.fr/politique/la- ... GWU6UJBFY/
Dans une interview ultra complaisante au «JDD», le jeune président du Rassemblement national évoque de simple «maladresses» pour expliquer la «diabolisation» dont a fait preuve son parti fondé notamment par d’anciens nostalgiques du Troisième Reich.
Dans un exercice d’économie circulaire de la bollosphère, le jeune prodige de l’extrême droite française a répondu, à l’occasion de la sortie de son livre Ce que je cherche (éd. Fayard-Bolloré), au feu roulant des questions des publireporters du Journal du dimanche-Bolloré. Questions que l’on pourrait résumer, en substance, ainsi : «Comment faites-vous pour avoir à ce point toujours raison ?» L’interview publicitaire est truffée de formules ciselées certainement – ces choses-là se voient – de concert entre les journalistes et le politique.
Bodybuilder
Jugez plutôt cette phrase extraordinaire d’un homme qui souffre mais qui se sacrifie pour son pays : «Parler de moi et me livrer sont des exercices difficiles, je suis naturellement réservé», dit le tiktokeur frénétique. On dirait un bodybuilder qui dirait «franchement, je ne me soucie pas de mon aspect physique». Mais, dans cet entretien-pommade dans lequel (soulignons au passage qu’aucune question sur l’élection de Donald Trump n’y figure) se trouve une phrase qui répond de façon limpide à la question qui taraude tous les observateurs du Rassemblement national, s’agissant de la réalité de la rupture du parti avec ses origines pétainistes, racistes, antisémites et la sincérité de son évolution vers les valeurs de la République. La respectabilité que Marine Le Pen veut, depuis qu’elle a remplacé son père comme figure de proue de l’extrême droite française, est mise à mal par cette réponse de Jordan Bardella : «Certes, il y a eu des maladresses de notre part, mais nos idées ont été diabolisées durant quatre décennies.»
Les chambres à gaz, «détails de l’histoire» pour Jean-Marie Le Pen, une simple «maladresse» ? «Durafour crématoire» et autres «pulpeuse charcutière casher» du journal frontiste Présent en 1986, une simple «maladresse» ? Le «je crois en l’inégalité des races» de Jean-Marie Le Pen en 1996, une simple «maladresse» ? «Nos idées ont été diabolisées», affirme Jordan Bardella dans cette même interview au JDD, démentant par là même toute la stratégie de «rupture» avec le passé brun du parti créé par une poignée d’anciens collabos, d’antigaullistes Algérie française et de néofascistes, dirigé pendant plus de trente ans par Jean-Marie Le Pen.
Marine Le Pen empêtrée dans le procès
Jordan Bardella reprend à son compte une analyse assez répandue, bien au-delà de la sphère du RN, selon laquelle la «diabolisation» du parti d’extrême droite était une stratégie de ses adversaires politiques, de la presse de gauche ou des universitaires qui scrutaient les programmes, les discours et la littérature produite par les dirigeants lepénistes (version Jean-Marie, puis Marine). Etait-ce de la diabolisation de souligner que les propositions du FN, puis du RN, étaient souvent inconstitutionnelles parce qu’elles ne respectaient pas les canons fixés en préambule de la Constitution de 1958 par la Déclaration des droits de l’homme ou décrire une réalité politique ? Etait-ce diaboliser le FN, du temps de la fête annuelle Bleu Blanc Rouge d’évoquer les stands-librairies de cette «fête de l’Huma nationaliste» qui proposait toute la littérature fascisante, tous les auteurs pétainistes, les ouvrages de Bernard Lugan à la gloire de l’apartheid ou des sudistes de la guerre de sécession ? Le FN a été un vrai parti d’extrême droite hors du «champ républicain» au sens de la définition de ce terme au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Le RN le reste notamment car il ne rompt pas avec le FN.
Pendant que Marine Le Pen est empêtrée dans le procès des assistants parlementaire et risque une peine d’inéligibilité qui pourrait la disqualifier pour la présidentielle de 2027, Jordan Bardella (stratégie ou maladresse, pour le coup ?) opère un revirement, un de plus dans l’opération normalisation du RN en refusant la rupture idéologique d’avec le FN de Jean-Marie Le Pen. Mais est-ce si surprenant ?
https://www.liberation.fr/politique/la- ... GWU6UJBFY/
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Re: Ce que je cherche : Jordan Bardella publiera son premier livre chez Fayard le 9 novembre
Ben non c'est pas ça.gare au gorille a écrit : ↑10 novembre 2024 12:30jeandu53 a écrit : ↑07 novembre 2024 14:10
Donc un livre de mémoire écrit par l'ancien président de la République Nicolas Sarkozy, ça passe.
Un livre de mémoire écrit par Ségolène Royal (ancienne présidente de la République, comme chacun sait), ça passe.
Mais un livre de mémoire écrit par Jordan Bardella, ça ne passe pas.
Ai-je bien compris ?
Oui c'est tout à fait ça. Il est important de maintenir un deux poids deux mesures, c'est le gauchisme dans toute sa splendeur totalitaire.
"Contacté par CheckNews à propos des autres exemples donnés par Jordan Bardella, Mediatransports explique que «dans le cas des ouvrages cités, et à la différence de l’ouvrage de M. Bardella, il s’agissait soit d’ouvrages émanant de personnalités politiques n’exerçant plus de mandat électif au moment de la parution de l’ouvrage et de la campagne publicitaire, et pour certains consistant en des mémoires, soit d’ouvrages à traitement journalistique. C’est la raison pour laquelle ces visuels ont pu être acceptés en conformité avec nos Conditions générales de vente ».
https://www.liberation.fr/checknews/pou ... MWKBTZI24/
Mais comme au RN on ne peut pas s'empêcher de se victimiser...
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Re: Ce que je cherche : Jordan Bardella publiera son premier livre chez Fayard le 9 novembre
Et toc !...
Inoxtag recadre Jordan Bardella, après un message de soutien suite à son cambriolage
Les voleurs ont subtilisé environ 10 000 euros de matériel informatique au domicile du créateur du documentaire « Kaizen » le 6 novembre dernier.
Le youtubeur de 22 ans Inoxtag n’a semble-t-il pas apprécié le message de Jordan Bardella suite au cambriolage de sa maison, le 6 novembre dernier.
YOUTUBE - Tout soutien n’est pas bon à prendre. Alors qu’Inoxtag a été victime d’un cambriolage le 6 novembre dans son logement des Yvelines, et que du matériel informatique lui a été subtilisé, le président du Rassemblement National lui avait apporté son soutien dans un message sur X ce samedi. Mais cette intervention n’a pas du tout été du goût du youtubeur aux plus de 8 millions d’abonnés.
« Tout mon soutien à Inoxtag, victime d’un cambriolage comme cela arrive à des milliers de Français chaque année », a écrit Jordan Bardella. Avant de poursuivre : « triste réalité de la France en 2024 : plus personne n’est à l’abri d’une insécurité devenue hors de contrôle. Honte aux militants d’extrême gauche qui osent s’en réjouir avec la bassesse qui les caractérise ».
La réponse ne s’est pas fait attendre. Dans un tweet publié dans la nuit du 9 au 10 novembre et relayé par BFMTV, le créateur de contenus a dénoncé la « récupération politique » du député européen. « Soutiens plutôt le vrai peuple français qui en a vraiment besoin… », a-t-il ajouté.
En parallèle des réactions liées à ce cambriolage, Inoxtag a partagé une nouvelle plus positive avec ses fans dans une vidéo publiée samedi soir sur sa chaîne Youtube. Le jeune homme de 22 ans s’apprête à sortir son tout premier manga, Instinct. « L’écriture du manga a duré 2 ans et s’est faite en parallèle de mon projet d’ascension du Mont Everest », explique-t-il à ses abonnés.
« Le manga suit l’histoire de Haki, un jeune homme de 19 ans doté de la capacité de percevoir l’aura et les intentions des personnes qui l’entourent », décrit Inoxtag. Un projet en collaboration avec Charles Compain et Basile Monnot qui sortira le 21 novembre prochain, deux mois seulement après la sortie de « Kaizen », qui a déjà été vu par 37 millions de personnes sur Youtube.
https://www.huffingtonpost.fr/people/ar ... 42050.html
Inoxtag recadre Jordan Bardella, après un message de soutien suite à son cambriolage
Les voleurs ont subtilisé environ 10 000 euros de matériel informatique au domicile du créateur du documentaire « Kaizen » le 6 novembre dernier.
Le youtubeur de 22 ans Inoxtag n’a semble-t-il pas apprécié le message de Jordan Bardella suite au cambriolage de sa maison, le 6 novembre dernier.
YOUTUBE - Tout soutien n’est pas bon à prendre. Alors qu’Inoxtag a été victime d’un cambriolage le 6 novembre dans son logement des Yvelines, et que du matériel informatique lui a été subtilisé, le président du Rassemblement National lui avait apporté son soutien dans un message sur X ce samedi. Mais cette intervention n’a pas du tout été du goût du youtubeur aux plus de 8 millions d’abonnés.
« Tout mon soutien à Inoxtag, victime d’un cambriolage comme cela arrive à des milliers de Français chaque année », a écrit Jordan Bardella. Avant de poursuivre : « triste réalité de la France en 2024 : plus personne n’est à l’abri d’une insécurité devenue hors de contrôle. Honte aux militants d’extrême gauche qui osent s’en réjouir avec la bassesse qui les caractérise ».
La réponse ne s’est pas fait attendre. Dans un tweet publié dans la nuit du 9 au 10 novembre et relayé par BFMTV, le créateur de contenus a dénoncé la « récupération politique » du député européen. « Soutiens plutôt le vrai peuple français qui en a vraiment besoin… », a-t-il ajouté.
En parallèle des réactions liées à ce cambriolage, Inoxtag a partagé une nouvelle plus positive avec ses fans dans une vidéo publiée samedi soir sur sa chaîne Youtube. Le jeune homme de 22 ans s’apprête à sortir son tout premier manga, Instinct. « L’écriture du manga a duré 2 ans et s’est faite en parallèle de mon projet d’ascension du Mont Everest », explique-t-il à ses abonnés.
« Le manga suit l’histoire de Haki, un jeune homme de 19 ans doté de la capacité de percevoir l’aura et les intentions des personnes qui l’entourent », décrit Inoxtag. Un projet en collaboration avec Charles Compain et Basile Monnot qui sortira le 21 novembre prochain, deux mois seulement après la sortie de « Kaizen », qui a déjà été vu par 37 millions de personnes sur Youtube.
https://www.huffingtonpost.fr/people/ar ... 42050.html
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Re: Ce que je cherche : Jordan Bardella publiera son premier livre chez Fayard le 9 novembre
rassurez vous, il ne l'a sûrement pas écrit.
il n'y a qu'à voir comment il remplit les agendas
et IL A ÉTÉ lu, et la critique est effective, et sans appel.
De toute manière Bardella, ça n'a toujours été que du paraître.
Vous l'avez vu proposer des lois?
jamais.
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« Ainsi s'éteint la liberté, sous une pluie d'applaudissements. » Star Wars, épisode III
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Re: Ce que je cherche : Jordan Bardella publiera son premier livre chez Fayard le 9 novembre
On dirait que le livre ce vend bien, malgré la censure dont il fait l'objet, de la part de la SNCF ou des libraires.
Moi, je vais bientôt l'acheter, exprès pour faire les pieds à tous ces censeurs.
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Re: Ce que je cherche : Jordan Bardella publiera son premier livre chez Fayard le 9 novembre
Jordan n'a été retenu que pour son look de gendre idéal , histoire de racoler la ménagère quadra ou plus , c'est le mannequin du RNFonck1 a écrit : ↑11 novembre 2024 08:59rassurez vous, il ne l'a sûrement pas écrit.
il n'y a qu'à voir comment il remplit les agendas
et IL A ÉTÉ lu, et la critique est effective, et sans appel.
De toute manière Bardella, ça n'a toujours été que du paraître.
Vous l'avez vu proposer des lois?
jamais.
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Re: Ce que je cherche : Jordan Bardella publiera son premier livre chez Fayard le 9 novembre
"Moi, je vais bientôt l'acheter, exprès pour faire les pieds à tous ces censeurs."
Vous allez l'acheter parce que vous votez RN pas la peine d'inventer un prétexte bidon.