La RUSSIE sous POUTINE- Guerre contre l'UKRAINE suite 5

[Mickey]

Une fois le cessez-le-feu obtenu, il suffira à l'ONU d'organiser un référendum dans les 4 oblast, pour une fois que cette organisation servira à quelque chose.
Si la volonté de rattachement à la Russie ne fait aucun doute pour les deux régions du Donbass, on verra si il en sera de même pour les deux autres. Dans le cas contraire, Poutine devra bien accepter le résultat et retirer ses troupes.
L' Ukraine pourrait bien s'en sortir ainsi débarrassé de ses séparatistes.

[papibilou]

Une fois le cessez-le-feu obtenu, il suffira à l'ONU d'organiser un référendum dans les 4 oblast, pour une fois que cette organisation servira à quelque chose.
Si la volonté de rattachement à la Russie ne fait aucun doute pour les deux régions du Donbass, on verra si il en sera de même pour les deux autres. Dans le cas contraire, Poutine devra bien accepter le résultat et retirer ses troupes.
L' Ukraine pourrait bien s'en sortir ainsi débarrassé de ses séparatistes.

Vous pouvez même compter sur Poutine pour faire un référendum parfaitement transparent.

[scorpion3917]

Je viens de lire "le discours final du dictateur" de C Chaplin.

Un texte magnifique qui fait comprendre la main mise des puissants de ce monde sur l esprit des peuples.

A méditer........

[mic43121]

https://www.francetvinfo.fr/monde/europ ... htmlGuerre en Ukraine : "L'affaire est jouée, il faut la terminer le mieux possible", estime le général Vincent Desportes
L’Ukraine a essuyé dans la nuit "l'une des plus grandes" attaques aériennes lancées par la Russie. Le général Vincent Desportes estime, dimanche sur franceinfo, que les "négociations" de paix doivent désormais être "conduites correctement."

franceinfole 17/11/2024 12:00
Le général Vincent Desportes, ancien directeur de l'École de guerre, professeur de stratégie militaire à Sciences Po et HEC, le 9 novembre 2022 sur franceinfo. (FRANCEINFO / RADIO FRANCE)
Le général Vincent Desportes, ancien directeur de l'École de guerre, professeur de stratégie militaire à Sciences Po et HEC, le 9 novembre 2022 sur franceinfo. (FRANCEINFO / RADIO FRANCE)
L'opérateur énergétique ukrainien annonce des coupures de courant dimanche 17 novembre autour de la capitale et dans deux régions de l'est du pays après une attaque aérienne russe de grande ampleur. Il s'agit même de l’"une des plus grandes" depuis le début de l'invasion, selon le président ukrainien Volodymyr Zelenski. Face à ces attaques, pour se protéger, la Pologne voisine a fait décoller ses avions de chasse. Faut-il y voir une nouvelle escalade dans ce conflit ? "C'est une affaire de communication", répond dimanche 17 novembre sur franceinfo le général Vincent Desportes.

"S'il y a un pays qui est concerné par l'avancée de la Russie, c'est bien la Pologne. Et le Premier ministre Tusk dit non : 'Même si j'étais seul, je continuerai.' Évidemment, il a parfaitement raison", estime l'ancien directeur de l’École de Guerre et spécialiste des affaires stratégique et militaire.

"Le destin des Ukrainiens ne leur appartient plus depuis longtemps"

Selon le général, "il est temps que les pays européens admettent qu'effectivement le Donbass ne peut pas être reconquis. Il faut absolument être fort au moment où nous allons entrer à la table de négociations. Elles partiront des positions acquises sur le terrain et des positions de force psychologique qu'auront les intervenants."

"Nous devrons y être parce que si nous ne sommes pas autour de la table, nous savons que nous serons au menu."

Général Vincent Desportesnone
à franceinfo

"Ce n'est pas une affaire Trump-Poutine, c'est une affaire Europe", insiste le général Vincent Desportes. Selon le stratège, "aucun scénario plausible ne permettrait à l'Ukraine de regagner les territoires qu'elle a perdus". Le président Zelensky l'a compris, assure Vincent Desportes : "Cela fait longtemps qu'il prépare sa population". "La réalité, c'est que le destin des Ukrainiens ne leur appartient plus depuis longtemps. Il appartient à Monsieur Poutine et aussi aux Occidentaux", selon l’expert.

"Ce ne sont pas les armes occidentales qui vont défendre l'Ukraine, ni les soldats ukrainiens. L'Ukraine, c'est 28 millions d'habitants contre un pays de 130 millions d'habitants qui va encore chercher des troupes en Corée du Nord", rappelle-t-il. "L'affaire est jouée, maintenant, il faut la terminer le mieux possible. L'important, c'est que ces négociations soient conduites correctement. Quelles concessions doivent être faites en termes de territoire ? Par rapport à quelle garantie de sécurité ? C'est ça qu'il faut jouer. C'est là où le bras de fer doit être fort", expose Vincent Desportes.

[gare au gorille]

Je viens de lire "le discours final du dictateur" de C Chaplin.

Un texte magnifique qui fait comprendre la main mise des puissants de ce monde sur l esprit des peuples.

A méditer........

Effectivement un discours génial prononcé sur le même ton belliqueux qu'un discours d'Hitler, c'est assez renversant. Et il faut se souvenir que ce film qui caricature le personnage d'Hitler est sorti dans une période ou il était au fait de sa puissance. Chapeau bas à monsieur Chaplin pour cet acte et pour son génie.

[scorpion3917]

Je viens de lire "le discours final du dictateur" de C Chaplin.

Un texte magnifique qui fait comprendre la main mise des puissants de ce monde sur l esprit des peuples.

A méditer........

Effectivement un discours génial prononcé sur le même ton belliqueux qu'un discours d'Hitler, c'est assez renversant. Et il faut se souvenir que ce film qui caricature le personnage d'Hitler est sorti dans une période ou il était au fait de sa puissance. Chapeau bas à monsieur Chaplin pour cet acte et pour son génie.

[gare au gorille]

https://www.francetvinfo.fr/monde/europ ... htmlGuerre en Ukraine : "L'affaire est jouée, il faut la terminer le mieux possible", estime le général Vincent Desportes
L’Ukraine a essuyé dans la nuit "l'une des plus grandes" attaques aériennes lancées par la Russie. Le général Vincent Desportes estime, dimanche sur franceinfo, que les "négociations" de paix doivent désormais être "conduites correctement."

franceinfole 17/11/2024 12:00
Le général Vincent Desportes, ancien directeur de l'École de guerre, professeur de stratégie militaire à Sciences Po et HEC, le 9 novembre 2022 sur franceinfo. (FRANCEINFO / RADIO FRANCE)
Le général Vincent Desportes, ancien directeur de l'École de guerre, professeur de stratégie militaire à Sciences Po et HEC, le 9 novembre 2022 sur franceinfo. (FRANCEINFO / RADIO FRANCE)
L'opérateur énergétique ukrainien annonce des coupures de courant dimanche 17 novembre autour de la capitale et dans deux régions de l'est du pays après une attaque aérienne russe de grande ampleur. Il s'agit même de l’"une des plus grandes" depuis le début de l'invasion, selon le président ukrainien Volodymyr Zelenski. Face à ces attaques, pour se protéger, la Pologne voisine a fait décoller ses avions de chasse. Faut-il y voir une nouvelle escalade dans ce conflit ? "C'est une affaire de communication", répond dimanche 17 novembre sur franceinfo le général Vincent Desportes.

"S'il y a un pays qui est concerné par l'avancée de la Russie, c'est bien la Pologne. Et le Premier ministre Tusk dit non : 'Même si j'étais seul, je continuerai.' Évidemment, il a parfaitement raison", estime l'ancien directeur de l’École de Guerre et spécialiste des affaires stratégique et militaire.

"Le destin des Ukrainiens ne leur appartient plus depuis longtemps"

Selon le général, "il est temps que les pays européens admettent qu'effectivement le Donbass ne peut pas être reconquis. Il faut absolument être fort au moment où nous allons entrer à la table de négociations. Elles partiront des positions acquises sur le terrain et des positions de force psychologique qu'auront les intervenants."

"Nous devrons y être parce que si nous ne sommes pas autour de la table, nous savons que nous serons au menu."

Général Vincent Desportesnone
à franceinfo

"Ce n'est pas une affaire Trump-Poutine, c'est une affaire Europe", insiste le général Vincent Desportes. Selon le stratège, "aucun scénario plausible ne permettrait à l'Ukraine de regagner les territoires qu'elle a perdus". Le président Zelensky l'a compris, assure Vincent Desportes : "Cela fait longtemps qu'il prépare sa population". "La réalité, c'est que le destin des Ukrainiens ne leur appartient plus depuis longtemps. Il appartient à Monsieur Poutine et aussi aux Occidentaux", selon l’expert.

"Ce ne sont pas les armes occidentales qui vont défendre l'Ukraine, ni les soldats ukrainiens. L'Ukraine, c'est 28 millions d'habitants contre un pays de 130 millions d'habitants qui va encore chercher des troupes en Corée du Nord", rappelle-t-il. "L'affaire est jouée, maintenant, il faut la terminer le mieux possible. L'important, c'est que ces négociations soient conduites correctement. Quelles concessions doivent être faites en termes de territoire ? Par rapport à quelle garantie de sécurité ? C'est ça qu'il faut jouer. C'est là où le bras de fer doit être fort", expose Vincent Desportes.

Ca résume un peu ce que j'exprime, à savoir que l'Ukraine n'est pas en position de force et qu'elle ne pourra éternellement résister à la Russie.
Que personne ne s'engagera vraiment comme l'on fait les alliés en 40 pour voler au secours de l'Ukraine et qu'il reste soit la négociation et l'Ukraine y laissera énormément de plumes car Poutine à besoin d'une petite victoire pour mettre fin à ce bourbier sans perdre la face, soit la poursuite de cette boucherie et à terme l'écrasement de l'armée Ukrainienne.
Ce n'est que la triste réalité qui semble se dessiner depuis pas mal de temps et le président Ukrainien qui ne se fait plus beaucoup d'illusions en appelle lui même aux négociations pour essayer de sauver ce qui peut encore être sauvé.

[scorpion3917]

https://www.francetvinfo.fr/monde/europ ... htmlGuerre en Ukraine : "L'affaire est jouée, il faut la terminer le mieux possible", estime le général Vincent Desportes
L’Ukraine a essuyé dans la nuit "l'une des plus grandes" attaques aériennes lancées par la Russie. Le général Vincent Desportes estime, dimanche sur franceinfo, que les "négociations" de paix doivent désormais être "conduites correctement."

franceinfole 17/11/2024 12:00
Le général Vincent Desportes, ancien directeur de l'École de guerre, professeur de stratégie militaire à Sciences Po et HEC, le 9 novembre 2022 sur franceinfo. (FRANCEINFO / RADIO FRANCE)
Le général Vincent Desportes, ancien directeur de l'École de guerre, professeur de stratégie militaire à Sciences Po et HEC, le 9 novembre 2022 sur franceinfo. (FRANCEINFO / RADIO FRANCE)
L'opérateur énergétique ukrainien annonce des coupures de courant dimanche 17 novembre autour de la capitale et dans deux régions de l'est du pays après une attaque aérienne russe de grande ampleur. Il s'agit même de l’"une des plus grandes" depuis le début de l'invasion, selon le président ukrainien Volodymyr Zelenski. Face à ces attaques, pour se protéger, la Pologne voisine a fait décoller ses avions de chasse. Faut-il y voir une nouvelle escalade dans ce conflit ? "C'est une affaire de communication", répond dimanche 17 novembre sur franceinfo le général Vincent Desportes.

"S'il y a un pays qui est concerné par l'avancée de la Russie, c'est bien la Pologne. Et le Premier ministre Tusk dit non : 'Même si j'étais seul, je continuerai.' Évidemment, il a parfaitement raison", estime l'ancien directeur de l’École de Guerre et spécialiste des affaires stratégique et militaire.

"Le destin des Ukrainiens ne leur appartient plus depuis longtemps"

Selon le général, "il est temps que les pays européens admettent qu'effectivement le Donbass ne peut pas être reconquis. Il faut absolument être fort au moment où nous allons entrer à la table de négociations. Elles partiront des positions acquises sur le terrain et des positions de force psychologique qu'auront les intervenants."

"Nous devrons y être parce que si nous ne sommes pas autour de la table, nous savons que nous serons au menu."

Général Vincent Desportesnone
à franceinfo

"Ce n'est pas une affaire Trump-Poutine, c'est une affaire Europe", insiste le général Vincent Desportes. Selon le stratège, "aucun scénario plausible ne permettrait à l'Ukraine de regagner les territoires qu'elle a perdus". Le président Zelensky l'a compris, assure Vincent Desportes : "Cela fait longtemps qu'il prépare sa population". "La réalité, c'est que le destin des Ukrainiens ne leur appartient plus depuis longtemps. Il appartient à Monsieur Poutine et aussi aux Occidentaux", selon l’expert.

"Ce ne sont pas les armes occidentales qui vont défendre l'Ukraine, ni les soldats ukrainiens. L'Ukraine, c'est 28 millions d'habitants contre un pays de 130 millions d'habitants qui va encore chercher des troupes en Corée du Nord", rappelle-t-il. "L'affaire est jouée, maintenant, il faut la terminer le mieux possible. L'important, c'est que ces négociations soient conduites correctement. Quelles concessions doivent être faites en termes de territoire ? Par rapport à quelle garantie de sécurité ? C'est ça qu'il faut jouer. C'est là où le bras de fer doit être fort", expose Vincent Desportes.

Ca résume un peu ce que j'exprime, à savoir que l'Ukraine n'est pas en position de force et qu'elle ne pourra éternellement résister à la Russie.
Que personne ne s'engagera vraiment comme l'on fait les alliés en 40 pour voler au secours de l'Ukraine et qu'il reste soit la négociation et l'Ukraine y laissera énormément de plumes car Poutine à besoin d'une petite victoire pour mettre fin à ce bourbier sans perdre la face, soit la poursuite de cette boucherie et à terme l'écrasement de l'armée Ukrainienne.
Ce n'est que la triste réalité qui semble se dessiner depuis pas mal de temps et le président Ukrainien qui ne se fait plus beaucoup d'illusions en appelle lui même aux négociations pour essayer de sauver ce qui peut encore être sauvé.

C est ainsi que s achevent les guerres, sous une pluie d applaudissement pietinant les cadavres encore chauds !

[UBUROI]

Y a des capitulards en France, en Europe et ici. Mais en Ukraine " outragée, brisée, martyrisée", ils restent debout et ce sont ces Ukrainiens qui nous diront ce qu'ils veulent

[Yaroslav]

Une fois le cessez-le-feu obtenu, il suffira à l'ONU d'organiser un référendum dans les 4 oblast, pour une fois que cette organisation servira à quelque chose.
Si la volonté de rattachement à la Russie ne fait aucun doute pour les deux régions du Donbass, on verra si il en sera de même pour les deux autres. Dans le cas contraire, Poutine devra bien accepter le résultat et retirer ses troupes.
L' Ukraine pourrait bien s'en sortir ainsi débarrassé de ses séparatistes.

Vous pouvez même compter sur Poutine pour faire un référendum parfaitement transparent.

En effet, les référendums organisés dans les dictatures ou leurs dépendances, sous la surveillance des milices armées ou des militaires, ont une crédibilité quasi nulle. Quand bien même elles seraient organisées par l'ONU ! Il faudrait imaginer que les militaires russes (et ukrainiens à la limite) sortent de ces territoires le temps de l'élection, bref inimaginable...

[Yaroslav]

Ca résume un peu ce que j'exprime, à savoir que l'Ukraine n'est pas en position de force et qu'elle ne pourra éternellement résister à la Russie.
Que personne ne s'engagera vraiment comme l'on fait les alliés en 40 pour voler au secours de l'Ukraine et qu'il reste soit la négociation et l'Ukraine y laissera énormément de plumes car Poutine à besoin d'une petite victoire pour mettre fin à ce bourbier sans perdre la face, soit la poursuite de cette boucherie et à terme l'écrasement de l'armée Ukrainienne.
Ce n'est que la triste réalité qui semble se dessiner depuis pas mal de temps et le président Ukrainien qui ne se fait plus beaucoup d'illusions en appelle lui même aux négociations pour essayer de sauver ce qui peut encore être sauvé.

Dans votre défaitisme pro-russe (parce que c'est de ça qu'il s'agit), vous oubliez ce passage essentiel du général : "Il faut absolument être fort au moment où nous allons entrer à la table de négociations."

[scorpion3917]

Ca résume un peu ce que j'exprime, à savoir que l'Ukraine n'est pas en position de force et qu'elle ne pourra éternellement résister à la Russie.
Que personne ne s'engagera vraiment comme l'on fait les alliés en 40 pour voler au secours de l'Ukraine et qu'il reste soit la négociation et l'Ukraine y laissera énormément de plumes car Poutine à besoin d'une petite victoire pour mettre fin à ce bourbier sans perdre la face, soit la poursuite de cette boucherie et à terme l'écrasement de l'armée Ukrainienne.
Ce n'est que la triste réalité qui semble se dessiner depuis pas mal de temps et le président Ukrainien qui ne se fait plus beaucoup d'illusions en appelle lui même aux négociations pour essayer de sauver ce qui peut encore être sauvé.

Dans votre défaitisme pro-russe (parce que c'est de ça qu'il s'agit), vous oubliez ce passage essentiel du général : "Il faut absolument être fort au moment où nous allons entrer à la table de négociations."

Et oui les guerres se terminent toujours par des négociations......
Les guerres sont une extension de la politique par d'autres moyens.

[Once]

Les États Unis viennent d'autoriser l'Ukraine à frapper la Russie avec des missiles à longue portée. ( Info à confirmer).

[Once]

Confirmé. Mais c'est un peu tard. Ça fait longtemps que Zelensky attendait ça.

En attendant les missiles russes pleuvent sur le sol ukrainien et tuent des civils.

[Yaroslav]

Confirmé. Mais c'est un peu tard. Ça fait longtemps que Zelensky attendait ça.

En attendant les missiles russes pleuvent sur le sol ukrainien et tuent des civils.

C'est ce que j'allais dire.
Il aura fallu attendre plus d'une dizaine de morts civils aujourd'hui et des dégâts importants sur l'infrastructure énergétique ukrainienne pour obtenir cet "accord".