PascalL a écrit :
blablabla moi aussi je peux broder jusqu'à plus soif. Mais comme on dit chez moi, les plus courte sont les meilleurs:
1-Les tanks de Poutine roulent en territoire Ukrainiens (point barre)
2-le territoire Ukrainien à été amputé de la Crimée (point barre)
3-Poutine gère ses intérêts du mieux qu'il peut (point barre)
4-le reste c'est de la mixture pour faire passer la pilule!
Au lieu de déblatérer cherche dans la presse tout y est écrit.
1-Encore une fois en Ukraine de l'est à l'ouest le seul fournisseur d'armes était la Russie. Donc 1 gamin de 5 ans comprendrais que les armes soient les mêmes des deux côtés.
2-La Crimée a toujours été Russe, C'est l'histoire qui le dis Berceau de la Russie 200 d'appartenance à l'URSS et 20 à l'Ukraine.
3-Poutine défends son pays mieux que nos brelles qui lèchent sans cesse les boules des USA.
4-Le reste sont des faits que tu peux vérifier et les faits sont têtus.
Suite des faits "irréfutables" eux.
La preuve d’un coup d’État
En revanche, il existe des preuves substantielles que de hauts responsables étasuniens voulaient provoquer un « changement de régime » à Kiev, dont un appel intercepté et plusieurs déclarations publiques.
En décembre 2013, la secrétaire d’État adjointe Victoria Nuland, une relique du néoconservatisme, rappelait aux dirigeants d’entreprises ukrainiens que les États-Unis. avaient investi 5 milliards de dollars dans leurs « aspirations européennes ». Début février, elle discutait avec l’ambassadeur étasunien Geoffrey Pyatt de ceux qui devraient prochainement diriger l’Ukraine. « Iats est le bon », a-t-elle déclaré, en parlant de Arseni Iatseniouk.
Le soulèvement du Maïdan prit de l’ampleur le 20 février 2014, quand des tireurs d’élite ouvrirent le feu sur des policiers et des manifestants. Ils mirent ainsi le feu aux poudres, causant la mort de dizaines de personnes, policiers et manifestants. Après les tirs des tireurs d’élite, les policiers battirent en retraite, transportant leurs blessés, et les manifestants avancèrent ; des policiers auraient alors réagi en tirant sur la foule.
Cependant, les preuves qui s’accumulent indiquent que les premiers à tirer, les tireurs d’élite, étaient situés dans une zone contrôlée par le "Secteur droit" (Pravyï sektor), des extrémistes associés au commandant néonazi d’autodéfense du Maïdan, Andriy Paroubiy. Même si le gouvernement ukrainien traînait les pieds pour mener une investigation à ce sujet, des rapports de terrain indépendants, dont un récent de la BBC, indiquent que les tireurs d’élite étaient associés aux manifestants et non au gouvernement Ianoukovitch, comme les médias étasuniens l’ont largement rapporté.
Le 21 février, Ianoukovitch conclut une entente garantie par trois pays européens suite à la montée des violences. Il concédait ainsi certains pouvoirs et acceptait de déclencher des élections plus tôt que prévu, pour y être battu. Toutefois, au lieu de laisser ce processus suivre son cours, les néonazis et autres forces du Maïdan prirent d’assaut les édifices gouvernementaux le 22 février, forçant ainsi Ianoukovitch et ses fonctionnaires à s’enfuir.
Le département d’État des États-Unis confirma rapidement la légitimité de ce coup d’État, tandis que Iatseniouk, le favori de Nuland, devenait premier ministre avec Paroubiy comme responsable de la sécurité nationale. En d’autres termes, il existe de nombreuses preuves que les États-Unis ont déclenché la crise ukrainienne en malmenant l’accord d’association. Le gouvernement étasunien a ensuite mis de l’huile sur le feu par l’intérim de Nuland, de Pyatt et d’autres fonctionnaires, puis a couronné le tout avec l’aide des néonazis et d’autres extrémistes en réalisant le coup d’État.
"Les batailles de la vie ne sont jamais gagnées par les plus forts, ni par les plus rapides, mais par ceux qui n'abandonnent jamais."