Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
L’entreprise Vicat vient d’annoncer la mise en service du tout premier camion issu du projet “Oxygène”
Une première mondiale, rien que ça. Il s’agit d’un engin écoresponsable, aux hautes performances environnementales. « Moins 96 % d’émissions de CO 2 , moins 70 % d’oxyde d’azote et moins 92 % de particules fines. » Jean-Baptiste Pastor est fier d’évoquer les chiffres écologiques du camion toupie. Et pour cause, il est à l’origine de ce projet. Après trois ans d’études et de travaux, le premier engin est terminé. « On a voulu créer une véritable rupture technologique », lance-t-il.
Ce poids lourd “Oxygène” veut avant tout répondre à la problématique des villes et celle d’une circulation urbaine désormais contrôlée par des vignettes. « Au début, personne ne croyait en un véhicule de ce type-là », rappelle Jean-Baptiste Pastor. Il a tout de même réussi à entraîner trois partenaires avec lui pour monter ce projet.
Le camion contient un moteur au gaz naturel pour véhicule (GNV) bio méthane. On le doit à Iveco, conctructeur de véhicules industriels, et le transporteur Jacky Perrenot. « Le partage de nos expériences nous a permis de trouver des solutions pour les générations futures et le respect de notre planète », dit Thierry Kilidjean, directeur général d’Iveco France. « Cela permet également de faire évoluer l’image de cette profession et montrer par des actions concrètes que nous sommes capables d’être innovants et inventifs », souligne pour sa part Philippe Givone, le PDG de Jacky Perrenot.
Produit à partir de déchets organiques, ce biogaz permet de réduire de 80 % les émissions de gaz à effet de serre comparé à l’essence et au gazole.
Une première mondiale, rien que ça. Il s’agit d’un engin écoresponsable, aux hautes performances environnementales. « Moins 96 % d’émissions de CO 2 , moins 70 % d’oxyde d’azote et moins 92 % de particules fines. » Jean-Baptiste Pastor est fier d’évoquer les chiffres écologiques du camion toupie. Et pour cause, il est à l’origine de ce projet. Après trois ans d’études et de travaux, le premier engin est terminé. « On a voulu créer une véritable rupture technologique », lance-t-il.
Ce poids lourd “Oxygène” veut avant tout répondre à la problématique des villes et celle d’une circulation urbaine désormais contrôlée par des vignettes. « Au début, personne ne croyait en un véhicule de ce type-là », rappelle Jean-Baptiste Pastor. Il a tout de même réussi à entraîner trois partenaires avec lui pour monter ce projet.
Le camion contient un moteur au gaz naturel pour véhicule (GNV) bio méthane. On le doit à Iveco, conctructeur de véhicules industriels, et le transporteur Jacky Perrenot. « Le partage de nos expériences nous a permis de trouver des solutions pour les générations futures et le respect de notre planète », dit Thierry Kilidjean, directeur général d’Iveco France. « Cela permet également de faire évoluer l’image de cette profession et montrer par des actions concrètes que nous sommes capables d’être innovants et inventifs », souligne pour sa part Philippe Givone, le PDG de Jacky Perrenot.
Produit à partir de déchets organiques, ce biogaz permet de réduire de 80 % les émissions de gaz à effet de serre comparé à l’essence et au gazole.
- zylto
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
Je crois que tout est dit, rien de raciste dans mes propos , une simple constatationCrapulax a écrit : Un enfant de 10 ans et deux adolescents de 14 et 15 ans ont été interpellés alors qu’ils venaient de forcer la porte d’un bar.
Dans la nuit de dimanche à lundi, un enfant de 10 ans et deux adolescents de 14 et 15 ans ont été interpellés vers 3 heures du matin, à Rennes, alors qu’ils venaient de forcer la porte d’un bar, rapporte France 3 Bretagne.
Il s’agit de trois mineurs isolés étrangers, deux Marocains et un Algérien. Le plus jeune, a été placé en retenue judiciaire puis remis à un éducateur tandis que les deux autres ont été placés en garde à vue.
"Légalement, on ne peut rien faire"
Ce n’est pas la première fois ces derniers jours que la police interpelle de très jeunes cambrioleurs. Le 1er octobre dernier, appelés pour intervenir sur le cambriolage d’un bar tabac, les policiers sont tombés sur quatre jeunes prenant la fuite. Ils sont parvenus à arrêter d’eux d’entre eux, un adolescent de 16 ans et un enfant de neuf ans, là encore un mineur isolé. Remis à des éducateurs, celui-ci a pris la fuite, pour être de nouveau interpellé quelques jours plus tard lors du cambriolage d’un magasin de sport. Accompagné cette fois d’un autre enfant de 10 ans.
En juillet dernier, à Nantes, la police avait mis la main sur un jeune de 11 ans, mineur isolé lui aussi, qui, après avoir été arrêté trois fois en trois jours, avait frappé de nouveau et cambriolé une pharmacie.
"Ils sont vraiment très jeunes. Légalement, on ne peut rien faire. La seule action est éducative", souffle un policier, cité par Ouest France.
Source:Ouest-France
C'est quoi des mineurs isolés, comment peut on laisser passer ces jeunes??
Ils ont su passer les frontières et bien qu'on les aide à les repasser sans violence en sens inverse, ça coûterait déjà sans doute moins que de payer des éducateurs dont on peut voir ici et sans doute ailleurs qu'ils ne servent à rien
Vous pouvez vous construire un trône avec des baïonnettes, mais vous ne resterez pas assis longtemps dessus.
Boris Eltsine
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
Le ministère public de la Confédération a ouvert une procédure pénale à l'encontre de Jérôme Valcke et de Nasser al-Khelaïfi, soupçonnés pour des faits de corruption dans l'octroi des droits médias des Coupes du monde de Football 2018, 2022, 2026 et 2030.
La justice suisse a frappé fort. Jeudi 12 octobre, en collaboration avec les autorités françaises, espagnoles, italiennes et grecques, elle a mené des perquisitions dans plusieurs lieux, dont le siège de beIN Sports à Boulogne. Ces opérations ont eu lieu dans le cadre d'une enquête ouverte en mars 2017 pour des faits de corruption dans l'octroi des droits médias des Coupes du monde de Football 2018, 2022, 2026 et 2030.
Le ministère public de la Confédération a ouvert une procédure pénale à l'encontre de Jérôme
Valcke, ex-secrétaire général de la Fédération internationale de football association (Fifa, organisatrice des Coupes du monde de football), de Nasser al-Khelaïfi, directeur de la beIN Media Group (maison mère de beIN Sports), et d'un homme d'affaires non identifié.
Aucune détention préventive:
La justice suisse soupçonne Jérôme Valcke d'avoir accepté des avantages indus en lien avec l'octroi de droits médias dans certains pays de la part d'un homme d'affaires dans le domaine des droits sportifs en ce qui concerne les Coupes du monde de football de la Fifa de 2018, et de la part de Nasser al-Khelaïfi en ce qui concerne les Coupes du monde de la Fifa de 2026 et 2030.
Dans le cadre de la procédure pénale, Jérôme Valcke a été auditionné en Suisse, en qualité de prévenu, par des représentants du ministère public suisse, le 12 octobre 2017.
Dans son communiqué, la justice suisse précise qu'aucune personne ne se trouve en détention préventive.
Ancien journaliste sportif, Jérôme Valcke a rejoint la Fifa en 2003 et devient secrétaire général de l'organisme en 2007 sous la présidence de Sepp Blatter. En 2015, son nom est cité par leNew York Times dans le cadre de l'affaire de corruption de la Fifa et il doit quitter son poste en septembre 2015.
Source:Le Figaro.
La justice suisse a frappé fort. Jeudi 12 octobre, en collaboration avec les autorités françaises, espagnoles, italiennes et grecques, elle a mené des perquisitions dans plusieurs lieux, dont le siège de beIN Sports à Boulogne. Ces opérations ont eu lieu dans le cadre d'une enquête ouverte en mars 2017 pour des faits de corruption dans l'octroi des droits médias des Coupes du monde de Football 2018, 2022, 2026 et 2030.
Le ministère public de la Confédération a ouvert une procédure pénale à l'encontre de Jérôme
Valcke, ex-secrétaire général de la Fédération internationale de football association (Fifa, organisatrice des Coupes du monde de football), de Nasser al-Khelaïfi, directeur de la beIN Media Group (maison mère de beIN Sports), et d'un homme d'affaires non identifié.
Aucune détention préventive:
La justice suisse soupçonne Jérôme Valcke d'avoir accepté des avantages indus en lien avec l'octroi de droits médias dans certains pays de la part d'un homme d'affaires dans le domaine des droits sportifs en ce qui concerne les Coupes du monde de football de la Fifa de 2018, et de la part de Nasser al-Khelaïfi en ce qui concerne les Coupes du monde de la Fifa de 2026 et 2030.
Dans le cadre de la procédure pénale, Jérôme Valcke a été auditionné en Suisse, en qualité de prévenu, par des représentants du ministère public suisse, le 12 octobre 2017.
Dans son communiqué, la justice suisse précise qu'aucune personne ne se trouve en détention préventive.
Ancien journaliste sportif, Jérôme Valcke a rejoint la Fifa en 2003 et devient secrétaire général de l'organisme en 2007 sous la présidence de Sepp Blatter. En 2015, son nom est cité par leNew York Times dans le cadre de l'affaire de corruption de la Fifa et il doit quitter son poste en septembre 2015.
Source:Le Figaro.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
Crapulax a écrit : Un major de la Brigade de recherche et d'intervention (BRI) de Strasbourg a été touché par un tir mortel. La piste d'une erreur de manipulation est privilégiée.
Un policier a été tué accidentellement par un tir mercredi après-midi lors d'un exercice sur l'ancienne base aérienne de Francazal, près de Toulouse (Haute-Garonne). Ce policier, âgé de 46 ans, major de la Brigade de recherche et d'intervention (BRI) de Strasbourg, participait à un exercice regroupant une vingtaine de fonctionnaires de plusieurs BRI de France lorsqu'il a été mortellement touché par un tir.
Une enquête ouverte:
Une enquête de flagrance pour homicide involontaire a été ouverte par le parquet de Toulouse pour déterminer les circonstances de cet accident. L'IGPN a été saisie. Le site de l'ancienne base aérienne 101 de Francazal, à une dizaine de kilomètres de Toulouse, qui comporte de nombreux bâtiments, a été abandonné par l'armée de l'air en 2009. Il sert aujourd'hui régulièrement de terrain d'entraînement pour les forces de l'ordre.
D'après les premiers éléments de l'enquête, c'est lors d'une simulation de prise d'otage opposant deux groupes de policiers «arme à la main», que la victime a été touchée par un tir. Il existe plus d'une quinzaine de BRI en France, qui sont des unités d'enquête et d'intervention de la police judiciaire, avec notamment des compétences en matière d'intervention antiterroriste.
Source:Le Parisien.
Comment un policier s’est-il retrouvé à tirer à balles réelles après un exercice de tir se déroulant avec des balles à peinture ? C’est à cette question que doivent répondre le SRPJ de Toulouse et l’IGPN, la police des polices, saisies après le drame qui s’est noué mercredi aux alentours de 18 heures, sur la base militaire de Francazal à Cugnaux, en banlieue toulousaine.
Un policier âgé de 46 ans, a été tué accidentellement par balle par un de ses collègues stagiaire. Touché au thorax, ce major à la Brigade d’Intervention et de recherche, une unité d’élite, n’a pu être sauvé par les secours. L’instructeur officiait dans le cadre d’une formation pour les « primo-arrivants », selon le jargon policier pour appeler ces fonctionnaires aspirant à intégrer la BRI. C’est lors d’une simulation de prise d’otage opposant deux groupes de policiers arme à la main, que la victime a été touchée par un tir.
Une enquête pour homicide involontaire ouverte:
Selon nos informations, l’un des policiers stagiaires aurait fait une mauvaise manipulation en rechargeant son arme de balles réelles après avoir terminé son exercice réalisé avec des balles de peinture. Une entorse au protocole. Une enquête de flagrance pour homicide involontaire a été ouverte par le parquet de Toulouse pour déterminer les circonstances exactes du drame. Si l’hypothèse accidentelle ne fait aucun doute, les enquêteursse dirigent vers une faute individuelle de la part de ce policer stagiaire en état de choc après le drame.
Dans le cadre de cette formation, des policiers de toute la France étaient réunis à Francazal, notamment une vingtaine de fonctionnaires de plusieurs BRI. La victime était originaire de Strasbourg.
Source:Le Parisien.
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
Le fonctionnaire a envoyé à sa cible un SMS destiné à un autre agent.
C’est ce qu’on appelle une gaffe, et pas des moindres. Samedi soir dernier, un agent du service central de renseignement territorial a voulu envoyer un SMS à un collègue pour évoquer un islamiste prosélyte qu’il surveille. Il indiquait notamment qu’il réside en Île-de-France et qu’il est également pisté par la DGSI.
Sauf que ledit agent s’est trompé de destinataire. Il a envoyé son message… à sa cible. Qui l’a appelé dans la foulée pour souligner son incompétence. Et n’a pas manqué pas de raconter cette mégarde à tous ses interlocuteurs, pour les prévenir qu’ils sont peut-être eux aussi écoutés.
Selon M6, qui révèle l’information après se l’être fait confirmer par une source au ministère de l’Intérieur, cette boulette n’aurait que peu été appréciée du côté de la DGSI. Et on veut bien le croire…
Source:Sud-Ouest.
C’est ce qu’on appelle une gaffe, et pas des moindres. Samedi soir dernier, un agent du service central de renseignement territorial a voulu envoyer un SMS à un collègue pour évoquer un islamiste prosélyte qu’il surveille. Il indiquait notamment qu’il réside en Île-de-France et qu’il est également pisté par la DGSI.
Sauf que ledit agent s’est trompé de destinataire. Il a envoyé son message… à sa cible. Qui l’a appelé dans la foulée pour souligner son incompétence. Et n’a pas manqué pas de raconter cette mégarde à tous ses interlocuteurs, pour les prévenir qu’ils sont peut-être eux aussi écoutés.
Selon M6, qui révèle l’information après se l’être fait confirmer par une source au ministère de l’Intérieur, cette boulette n’aurait que peu été appréciée du côté de la DGSI. Et on veut bien le croire…
Source:Sud-Ouest.
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
« J’ai retenu la grille aussi longtemps que j’ai pu, mais c’était trop lourd. Je me suis écarté et je l’ai vue s’effondrer sur les gamins. C’était horrible ! » Lucien est encore sous le coup de l’émotion. Jeudi, la structure métallique de plusieurs centaines de kilos est tombée sur deux élèves de 14 ans, les blessant grièvement.
L’un « a la cheville en miettes » et la seconde souffre d’une « fracture du bassin ». Ce lundi, les enseignants de cet établissement de 750 élèves ont décidé d’exercer leur droit de retrait, pour dénoncer les malfaçons de l’établissement… pourtant quasi-neuf. Le département lui-même est en litige avec le constructeur Eiffage.
Jeudi dernier, il est 17 heures passé quand Lucien, surveillant de 30 ans, ouvre les grilles du collège, avec une collègue. « Entre 200 et 300 élèves » se précipitent alors pour sortir. « J’étais dos à la grille, qui s’ouvrait. Au bout de quelques secondes, elle a stoppé net. J’ai alors senti un gros poids dans mon dos. Les élèves ont commencé à crier, alors je me suis retourné et j’ai vu que le portail cédait », raconte Lucien.
Il essaie de faire barrage entre le portail et les élèves, mais ne peut que freiner sa chute. « Plusieurs personnes ont été touchées, mais surtout deux élèves de 3e, qui hurlaient », se souvient Lucien, qui fait écarter les curieux en attendant les secours, avant d’être lui-même pris en charge.
L’agent est depuis en accident du travail. « J’ai une grosse douleur à l’épaule, là où le portail a tapé. Et je dors mal, je repense aux enfants crier, pleurer… »
Reste une question : comment la grille d’un établissement sorti de terre il y a deux ans à peine a-t-elle pu céder ? « Une expertise est en cours », indique Emmanuel Constant, vice-président PS au département, chargé de l’éducation. L’élu rappelle qu’au sujet du collège Didier-Daurat, un contentieux « concernant plusieurs centaines de soucis de construction » existe entre Eiffage et le département.
« Mais le cas du portail n’avait pas été signalé », précise Emmanuel Constant. Qui assure : « Si l’expertise vient à prouver qu’il y avait un défaut sur la grille, nous nous retournerons contre Eiffage. »
Du côté des parents, dont beaucoup ont assisté à la scène, c’est la stupeur… et la colère. « J’emmenais mes enfants au sport quand j’ai vu plus de neuf policiers pour déplacer la grille, imaginez si c’était arrivé sur une enfant de 3 ans ! Ils s’y sont repris plusieurs fois pour la repousser », raconte ainsi une maman d’élève.
« Les enfants sont très en colère, parce qu’il y a déjà beaucoup de dysfonctionnements au collège », explique une autre, confirmant les dires du département, en listant une série de malfaçons — prises électriques apparentes, foyer inutilisable depuis l’ouverture ou encore casiers qui ne fonctionnent plus… Contacté ce week-end, le constructeur n’a pas pu répondre à nos appels.
Une cellule d’écoute a été mise en place au collège Didier Daurat, par l’Education nationale.
Source:Le Parisien.
L’un « a la cheville en miettes » et la seconde souffre d’une « fracture du bassin ». Ce lundi, les enseignants de cet établissement de 750 élèves ont décidé d’exercer leur droit de retrait, pour dénoncer les malfaçons de l’établissement… pourtant quasi-neuf. Le département lui-même est en litige avec le constructeur Eiffage.
Jeudi dernier, il est 17 heures passé quand Lucien, surveillant de 30 ans, ouvre les grilles du collège, avec une collègue. « Entre 200 et 300 élèves » se précipitent alors pour sortir. « J’étais dos à la grille, qui s’ouvrait. Au bout de quelques secondes, elle a stoppé net. J’ai alors senti un gros poids dans mon dos. Les élèves ont commencé à crier, alors je me suis retourné et j’ai vu que le portail cédait », raconte Lucien.
Il essaie de faire barrage entre le portail et les élèves, mais ne peut que freiner sa chute. « Plusieurs personnes ont été touchées, mais surtout deux élèves de 3e, qui hurlaient », se souvient Lucien, qui fait écarter les curieux en attendant les secours, avant d’être lui-même pris en charge.
L’agent est depuis en accident du travail. « J’ai une grosse douleur à l’épaule, là où le portail a tapé. Et je dors mal, je repense aux enfants crier, pleurer… »
Reste une question : comment la grille d’un établissement sorti de terre il y a deux ans à peine a-t-elle pu céder ? « Une expertise est en cours », indique Emmanuel Constant, vice-président PS au département, chargé de l’éducation. L’élu rappelle qu’au sujet du collège Didier-Daurat, un contentieux « concernant plusieurs centaines de soucis de construction » existe entre Eiffage et le département.
« Mais le cas du portail n’avait pas été signalé », précise Emmanuel Constant. Qui assure : « Si l’expertise vient à prouver qu’il y avait un défaut sur la grille, nous nous retournerons contre Eiffage. »
Du côté des parents, dont beaucoup ont assisté à la scène, c’est la stupeur… et la colère. « J’emmenais mes enfants au sport quand j’ai vu plus de neuf policiers pour déplacer la grille, imaginez si c’était arrivé sur une enfant de 3 ans ! Ils s’y sont repris plusieurs fois pour la repousser », raconte ainsi une maman d’élève.
« Les enfants sont très en colère, parce qu’il y a déjà beaucoup de dysfonctionnements au collège », explique une autre, confirmant les dires du département, en listant une série de malfaçons — prises électriques apparentes, foyer inutilisable depuis l’ouverture ou encore casiers qui ne fonctionnent plus… Contacté ce week-end, le constructeur n’a pas pu répondre à nos appels.
Une cellule d’écoute a été mise en place au collège Didier Daurat, par l’Education nationale.
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
Prise pour cible par un chasseur alors qu’elle se trouvait dans son jardin, une femme de 69 ans a été tuée samedi à Taussac, dans le nord de l’Aveyron.
L’homme, âgé de 47 ans, participait à une battue aux sangliers à Taussac (Aveyron) avec la société de chasse locale peu après 14 heures, samedi 14 octobre. Selon le procureur de Rodez, il croyait tirer sur un cerf. La haie sur laquelle il venait de tirer une balle masquait la victime du chasseur qui a lui-même appelé les secours.
Une information judiciaire pour homicide involontaire:
Le maire de la commune, René Pages a réagit avec émotion à cet accident dramatique. "On les connaît tous."
Une information judiciaire pour homicide involontaire devrait être ouverte lundi, mais de nombreuses auditions ont déjà été menées samedi par les gendarmes. L’auteur du tir mortel a été placé en garde à vue.
Source:Sud-Ouest.
L’homme, âgé de 47 ans, participait à une battue aux sangliers à Taussac (Aveyron) avec la société de chasse locale peu après 14 heures, samedi 14 octobre. Selon le procureur de Rodez, il croyait tirer sur un cerf. La haie sur laquelle il venait de tirer une balle masquait la victime du chasseur qui a lui-même appelé les secours.
Une information judiciaire pour homicide involontaire:
Le maire de la commune, René Pages a réagit avec émotion à cet accident dramatique. "On les connaît tous."
Une information judiciaire pour homicide involontaire devrait être ouverte lundi, mais de nombreuses auditions ont déjà été menées samedi par les gendarmes. L’auteur du tir mortel a été placé en garde à vue.
Source:Sud-Ouest.
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
Il y a de la misère sociale, parfois à notre porte. Et on n'est pas formé pour y faire face !» A Briatexte, l'heure est à l'abattement au lendemain de la terrible découverte effectuée par les pompiers de Graulhet au premier étage d'une maison située au croisement de la rue du Mourat et de la route des Cabannes. Vendredi à 18 h 40, des voisins donnent l'alerte. De la fumée s'échappe de la maison occupée depuis quelques mois par un nouvel habitant de la commune. Les soldats du feu arrivent très vite sur les lieux et préservent l'intégrité de la structure. Mais en inspectant l'intérieur de la maison, ils arrivent devant la chambre fermée.
À l'intérieur, le corps d'un homme de 49 ans. Les pompiers de Lavaur et le Smur arrivent en renfort tandis que les gendarmes sont eux aussi alertés, mais il est trop tard pour sauver le malheureux. La piste du suicide s'impose rapidement, des éléments matériels laissant penser qu'il pourrait s'agir d'une immolation. Autre détail troublant. La victime est connue des pompiers comme des gendarmes qui se sont déplacés quelques heures avant à son domicile.
Et pour cause, dans la nuit de jeudi à vendredi, cet homme de 49 ans a appelé les pompiers à 2 h 40 du matin pour signaler qu'une personne avait sauté dans le Dadou à partir du pont, sur la D631. Selon ses déclarations, il faisait un footing nocturne quand il a entendu quelqu'un tomber dans l'eau et a aperçu des bulles depuis le parapet. Il aurait alors sauté dans l'espoir de sauver cet inconnu. En vain. Et aurait appelé les pompiers en renfort, pompiers qui seraient arrivés avec des hommes-grenouilles, sans plus de succès. Cette intervention la nuit précédente a effectivement eu lieu (lire notre édition d'hier). L'homme suivi sur le plan psychiatrique a-t-il voulu tester avec quelques heures d'avance sur son geste fatal le temps d'intervention des pompiers pour être sûr de ne pas être sauvé ? Sa fausse déclaration sur l'inconnu du pont était-elle un appel au secours ? A-t-il été victime d'une hallucination annonciatrice d'un état perturbé ? Personne ne le saura jamais.
Une question se pose toutefois. Compte tenu des circonstances, ce quadragénaire aurait-il pu faire l'objet d'une hospitalisation d'office la nuit précédente ? C'est là que les élus se trouvent parfois démunis. Pourtant, la réponse est clairement non. Tout d'abord parce que les premiers faits se sont déroulés en pleine nuit et que la situation aurait exigé au regard de la loi plusieurs critères cumulatifs, à savoir des troubles mentaux manifestes compromettant la sûreté des personnes ou portant atteinte de façon grave à l'ordre public. Or, il ne mettait personne en danger.
Ensuite, parce qu'une éventuelle mesure prise par le maire en vertu de ses pouvoirs de police n'aurait pu l'être qu'à titre provisoire, à charge pour un médecin d'en confirmer la nécessité, puis pour le préfet de signer l'arrêté la validant. Restait l'option d'une hospitalisation à la demande d'un tiers, dans la famille. Mais le désespéré vivait seul. Un drame qui interroge notre société et nous laisse seul face à notre sentiment d'impuissance.
Source:La Dépêche du Midi.
À l'intérieur, le corps d'un homme de 49 ans. Les pompiers de Lavaur et le Smur arrivent en renfort tandis que les gendarmes sont eux aussi alertés, mais il est trop tard pour sauver le malheureux. La piste du suicide s'impose rapidement, des éléments matériels laissant penser qu'il pourrait s'agir d'une immolation. Autre détail troublant. La victime est connue des pompiers comme des gendarmes qui se sont déplacés quelques heures avant à son domicile.
Et pour cause, dans la nuit de jeudi à vendredi, cet homme de 49 ans a appelé les pompiers à 2 h 40 du matin pour signaler qu'une personne avait sauté dans le Dadou à partir du pont, sur la D631. Selon ses déclarations, il faisait un footing nocturne quand il a entendu quelqu'un tomber dans l'eau et a aperçu des bulles depuis le parapet. Il aurait alors sauté dans l'espoir de sauver cet inconnu. En vain. Et aurait appelé les pompiers en renfort, pompiers qui seraient arrivés avec des hommes-grenouilles, sans plus de succès. Cette intervention la nuit précédente a effectivement eu lieu (lire notre édition d'hier). L'homme suivi sur le plan psychiatrique a-t-il voulu tester avec quelques heures d'avance sur son geste fatal le temps d'intervention des pompiers pour être sûr de ne pas être sauvé ? Sa fausse déclaration sur l'inconnu du pont était-elle un appel au secours ? A-t-il été victime d'une hallucination annonciatrice d'un état perturbé ? Personne ne le saura jamais.
Une question se pose toutefois. Compte tenu des circonstances, ce quadragénaire aurait-il pu faire l'objet d'une hospitalisation d'office la nuit précédente ? C'est là que les élus se trouvent parfois démunis. Pourtant, la réponse est clairement non. Tout d'abord parce que les premiers faits se sont déroulés en pleine nuit et que la situation aurait exigé au regard de la loi plusieurs critères cumulatifs, à savoir des troubles mentaux manifestes compromettant la sûreté des personnes ou portant atteinte de façon grave à l'ordre public. Or, il ne mettait personne en danger.
Ensuite, parce qu'une éventuelle mesure prise par le maire en vertu de ses pouvoirs de police n'aurait pu l'être qu'à titre provisoire, à charge pour un médecin d'en confirmer la nécessité, puis pour le préfet de signer l'arrêté la validant. Restait l'option d'une hospitalisation à la demande d'un tiers, dans la famille. Mais le désespéré vivait seul. Un drame qui interroge notre société et nous laisse seul face à notre sentiment d'impuissance.
Source:La Dépêche du Midi.
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
« Un véritable prédateur ». C’est ainsi que des policiers décrivent un homme de 40 ans, interpellé samedi, en fin d’après-midi à Toulouse. Dans la nuit de mercredi, il a effectué un périple sanglant dans le centre de la Ville rose. Un périple inquiétant que les policiers ont pris très au sérieux au vu des événements récents à Marseille.
Il était aux alentours d’1 h 15 lorsque cet individu a suivi une femme qui regagnait son domicile des allées Jean-Jaurès, dans le hall de son immeuble. Menaçant, il lui a demandé de lui donner de l’argent mais celle-ci n’en avait pas. Il s’est énervé et a sorti un couteau de cuisine. Il a volé le portefeuille de sa victime et lui a sévèrement entaillé le bras avant de prendre la fuite. Cette femme s’est vue prescrire 45 jours d’ITT.
Un peu plus tard, toujours vers Jean-Jaurès, il a menacé deux personnes mais ne les a pas frappées. Il s’est ensuite dirigé rue de la Colombette où sa route a croisé celle d’un couple. Il est arrivé par-derrière, a simulé de vouloir faire un câlin puis il s’en est pris à l’homme qu’il a entaillé au niveau du cou, côté droit.
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Le travail acharné d’enquête de la brigade criminelle et de répression des atteintes aux personnes a permis de l’identifier. Repéré samedi, en fin d’après-midi, il a été interpellé par les forces de police. Placé en garde à vue, il a reconnu une partie des faits. A-t-il fait d’autres victimes cette nuit-là ? Possible.
Un appel à témoins et à victimes est lancé. Cet homme mesurant entre 1m60 et 1m70 portait un bandage au bras gauche. Il avait un sweat-shirt gris et était mal rasé. Toutes personne susceptible de fournir des informations doit se rapprocher des enquêteurs en appelant le 05 61 12 75 68 ou 05 61 12 75 71.
Source:La Dépêche du Midi.
Il était aux alentours d’1 h 15 lorsque cet individu a suivi une femme qui regagnait son domicile des allées Jean-Jaurès, dans le hall de son immeuble. Menaçant, il lui a demandé de lui donner de l’argent mais celle-ci n’en avait pas. Il s’est énervé et a sorti un couteau de cuisine. Il a volé le portefeuille de sa victime et lui a sévèrement entaillé le bras avant de prendre la fuite. Cette femme s’est vue prescrire 45 jours d’ITT.
Un peu plus tard, toujours vers Jean-Jaurès, il a menacé deux personnes mais ne les a pas frappées. Il s’est ensuite dirigé rue de la Colombette où sa route a croisé celle d’un couple. Il est arrivé par-derrière, a simulé de vouloir faire un câlin puis il s’en est pris à l’homme qu’il a entaillé au niveau du cou, côté droit.
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Le travail acharné d’enquête de la brigade criminelle et de répression des atteintes aux personnes a permis de l’identifier. Repéré samedi, en fin d’après-midi, il a été interpellé par les forces de police. Placé en garde à vue, il a reconnu une partie des faits. A-t-il fait d’autres victimes cette nuit-là ? Possible.
Un appel à témoins et à victimes est lancé. Cet homme mesurant entre 1m60 et 1m70 portait un bandage au bras gauche. Il avait un sweat-shirt gris et était mal rasé. Toutes personne susceptible de fournir des informations doit se rapprocher des enquêteurs en appelant le 05 61 12 75 68 ou 05 61 12 75 71.
Source:La Dépêche du Midi.
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Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
Le ton, les odeurs, les tas sur les trottoirs : ça monte, ça monte de tous les côtés au 2e jour de ce énième conflit des poubelles à Marseille... Au point qu'on pouvait se demander hier jusqu'où allait conduire cette escalade.
Ça monte sur les trottoirs d'abord, où les déchets s'amoncellent au pied des conteneurs qui débordent. Le résultat de la paralysie générale de la collecte des ordures ménagères, rendue impossible hier en raison du blocage des centres de transfert des résidus urbains des Aygalades (15e) et de La Capelette (10e). Comme indiqué dans notre édition d'hier, des salariés grévistes de l'entreprise Derichebourg, délégataire sur les 15e, 16e et 2e arrondissements, ont dégainé l'arme lourde dès leur premier jour de grève, en recourant au blocus stratégique de ces plates-formes, où la plus grosse partie de déchets collectés dans les 17 communes de l'ex-MPM est quotidiennement déchargée des camions-bennes, pour être évacuée, en train, vers l'incinérateur de Fos.
Le ton et les tas montent:
Depuis mercredi matin, ce circuit est donc coupé. Aux 8 000 tonnes d'ordures restées dans les bennes, s'ajoutent les 8 000 tonnes qui, n'ayant pu être collectées hier, s'amassent sur les trottoirs. Et le volume de ces tas de déchets risque fort d'augmenter.
Car le ton monte aussi entre les salariés grévistes et la direction de Derichebourg. Après l'échec de la réunion de mercredi soir, une deuxième tentative de négociation a avorté hier. Côté grévistes, on réclame "le maintien des avantages acquis comme le prévoit la loi" pour les salariés transférés début septembre des sociétés Veolia et Nicollin, précédents prestataires des marchés des 2e, 15e et 16e désormais confiés à Derichebourg.
Bernard Pizzo, délégué FO, insiste sur "les primes historiques de 80 € acquises par les salariés de Nicollin que Derichebourg veut supprimer, la nouvelle mutuelle bidon qu'on veut nous imposer, les jours fériés qui ne seront plus compensés". Dernier point d'achoppement et non des moindres, les jours de grève que la direction refuse de payer aux grévistes.
"En effet, Derichebourg ne paiera jamais des jours non travaillés", confirme Emmanuel Brun, directeur général de la société, qui dément en revanche une perte d'avantages pour les salariés. "Le système que nous voulons mettre en place va au contraire augmenter leur pouvoir d'achat", assure-t-il, regrettant qu'en termes de dialogue social, "à Marseille, les choses (soient) plus difficiles qu'ailleurs". Pour le directeur, ce conflit se résume à "unecourse à l'échalote entre plusieurs syndicats".
Hier, Emmanuel Brun ne cachait pas ses craintes de voir le conflit durer, sachant que, pour chaque jour de grève, "la société délégataire doit s'acquitter de pénalités financières très lourdes" auprès de la Métropole.
L'appel au préfet ?
Car si une partie des grévistes a tout de même repris le travail hier, ce qui a permis de réaliser le nettoyage urbain dans les 15e et 16e arrondissements, les blocages des centres de transfert se poursuivent, et pourraient même toucher aujourd'hui le centre des Cadeneaux aux Pennes-Mirabeau et de Val Sud à Septèmes.
En tant que maître d'ouvrage de la gestion des déchets, Aix-Marseille Métropole peut-elle intervenir pour siffler la fin de la partie ? Dès mercredi, au premier jour de la grève et du blocus, la collectivité a mis en demeure Derichebourg de "faire le nécessaire pour que les habitants ne soient pas pris en otages d'un conflit qui leur est étranger". Une requête au préfet pour une intervention des forces de l'ordre est-elle envisagée ? Sollicitée hier, la Métropole est restée mutique sur ce conflit.
Une certitude toutefois : après le ton, les odeurs, les tas sur les trottoirs, c'est la mauvaise humeur des administrés marseillais qui va rapidement monter.
Source:La Provence.
Ça monte sur les trottoirs d'abord, où les déchets s'amoncellent au pied des conteneurs qui débordent. Le résultat de la paralysie générale de la collecte des ordures ménagères, rendue impossible hier en raison du blocage des centres de transfert des résidus urbains des Aygalades (15e) et de La Capelette (10e). Comme indiqué dans notre édition d'hier, des salariés grévistes de l'entreprise Derichebourg, délégataire sur les 15e, 16e et 2e arrondissements, ont dégainé l'arme lourde dès leur premier jour de grève, en recourant au blocus stratégique de ces plates-formes, où la plus grosse partie de déchets collectés dans les 17 communes de l'ex-MPM est quotidiennement déchargée des camions-bennes, pour être évacuée, en train, vers l'incinérateur de Fos.
Le ton et les tas montent:
Depuis mercredi matin, ce circuit est donc coupé. Aux 8 000 tonnes d'ordures restées dans les bennes, s'ajoutent les 8 000 tonnes qui, n'ayant pu être collectées hier, s'amassent sur les trottoirs. Et le volume de ces tas de déchets risque fort d'augmenter.
Car le ton monte aussi entre les salariés grévistes et la direction de Derichebourg. Après l'échec de la réunion de mercredi soir, une deuxième tentative de négociation a avorté hier. Côté grévistes, on réclame "le maintien des avantages acquis comme le prévoit la loi" pour les salariés transférés début septembre des sociétés Veolia et Nicollin, précédents prestataires des marchés des 2e, 15e et 16e désormais confiés à Derichebourg.
Bernard Pizzo, délégué FO, insiste sur "les primes historiques de 80 € acquises par les salariés de Nicollin que Derichebourg veut supprimer, la nouvelle mutuelle bidon qu'on veut nous imposer, les jours fériés qui ne seront plus compensés". Dernier point d'achoppement et non des moindres, les jours de grève que la direction refuse de payer aux grévistes.
"En effet, Derichebourg ne paiera jamais des jours non travaillés", confirme Emmanuel Brun, directeur général de la société, qui dément en revanche une perte d'avantages pour les salariés. "Le système que nous voulons mettre en place va au contraire augmenter leur pouvoir d'achat", assure-t-il, regrettant qu'en termes de dialogue social, "à Marseille, les choses (soient) plus difficiles qu'ailleurs". Pour le directeur, ce conflit se résume à "unecourse à l'échalote entre plusieurs syndicats".
Hier, Emmanuel Brun ne cachait pas ses craintes de voir le conflit durer, sachant que, pour chaque jour de grève, "la société délégataire doit s'acquitter de pénalités financières très lourdes" auprès de la Métropole.
L'appel au préfet ?
Car si une partie des grévistes a tout de même repris le travail hier, ce qui a permis de réaliser le nettoyage urbain dans les 15e et 16e arrondissements, les blocages des centres de transfert se poursuivent, et pourraient même toucher aujourd'hui le centre des Cadeneaux aux Pennes-Mirabeau et de Val Sud à Septèmes.
En tant que maître d'ouvrage de la gestion des déchets, Aix-Marseille Métropole peut-elle intervenir pour siffler la fin de la partie ? Dès mercredi, au premier jour de la grève et du blocus, la collectivité a mis en demeure Derichebourg de "faire le nécessaire pour que les habitants ne soient pas pris en otages d'un conflit qui leur est étranger". Une requête au préfet pour une intervention des forces de l'ordre est-elle envisagée ? Sollicitée hier, la Métropole est restée mutique sur ce conflit.
Une certitude toutefois : après le ton, les odeurs, les tas sur les trottoirs, c'est la mauvaise humeur des administrés marseillais qui va rapidement monter.
Source:La Provence.
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
C'est la faute de cette dame, il ne faut pas oublier de mettre son gilet rouge même pour aller dans son jardinCrapulax a écrit : Prise pour cible par un chasseur alors qu’elle se trouvait dans son jardin, une femme de 69 ans a été tuée samedi à Taussac, dans le nord de l’Aveyron.
L’homme, âgé de 47 ans, participait à une battue aux sangliers à Taussac (Aveyron) avec la société de chasse locale peu après 14 heures, samedi 14 octobre. Selon le procureur de Rodez, il croyait tirer sur un cerf. La haie sur laquelle il venait de tirer une balle masquait la victime du chasseur qui a lui-même appelé les secours.
Une information judiciaire pour homicide involontaire:
Le maire de la commune, René Pages a réagit avec émotion à cet accident dramatique. "On les connaît tous."
Une information judiciaire pour homicide involontaire devrait être ouverte lundi, mais de nombreuses auditions ont déjà été menées samedi par les gendarmes. L’auteur du tir mortel a été placé en garde à vue.
Source:Sud-Ouest.
Vous pouvez vous construire un trône avec des baïonnettes, mais vous ne resterez pas assis longtemps dessus.
Boris Eltsine
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
Une histoire dramatique s’est nouée sur les bords d’une petite gravière le long de la route de Fronton à Labastide-Saint-Pierre, dans le Tarn-et-Garonne, entre dimanche 18 heures et ce lundi matin 10 heures. Un témoin a découvert sur la berge, une femme âgée totalement prostrée.
Cette femme de 80 ans parvient à expliquer aux secours et aux gendarmes dépêchés sur les lieux, l’enchaînement extraordinaire et dramatique des faits. La veille au soir vers 18 heures, ce couple de Montalbanais promenait son chien au bord de ce petit plan d’eau peu fréquenté quand l’épouse tombe dans le lac. Son mari, âgé de 81 ans, se met immédiatement à l’eau pour remonter son épouse sur la berge. Ce qu’il parvient à faire.
Tétanisée toute la nuit sur la berge:
Malheureusement, il glisse à son tour dans les eaux de la gravière et coule immédiatement. Il pourrait avoir succombé à un arrêt cardiaque. Son épouse, pétrifiée par la situation, ne peut et ne sait que faire. Elle ne dispose pas de téléphone portable. Elle resta ainsi tétanisée toute la nuit et une partie de la matinée sur la berge jusqu’à ce que le témoin ne donne l’alerte.
Ce matin, elle a été prise en charge dans un état de grande détresse physique et morale par le Samu et les pompiers. Le corps de son époux a été transporté à l’institut médico-légal de Toulouse pour une autopsie. Une enquête a été ouverte et confiée aux gendarmes de la COB (Communauté de brigades) de Grisolles.
Source:La Dépêche du Midi.
Cette femme de 80 ans parvient à expliquer aux secours et aux gendarmes dépêchés sur les lieux, l’enchaînement extraordinaire et dramatique des faits. La veille au soir vers 18 heures, ce couple de Montalbanais promenait son chien au bord de ce petit plan d’eau peu fréquenté quand l’épouse tombe dans le lac. Son mari, âgé de 81 ans, se met immédiatement à l’eau pour remonter son épouse sur la berge. Ce qu’il parvient à faire.
Tétanisée toute la nuit sur la berge:
Malheureusement, il glisse à son tour dans les eaux de la gravière et coule immédiatement. Il pourrait avoir succombé à un arrêt cardiaque. Son épouse, pétrifiée par la situation, ne peut et ne sait que faire. Elle ne dispose pas de téléphone portable. Elle resta ainsi tétanisée toute la nuit et une partie de la matinée sur la berge jusqu’à ce que le témoin ne donne l’alerte.
Ce matin, elle a été prise en charge dans un état de grande détresse physique et morale par le Samu et les pompiers. Le corps de son époux a été transporté à l’institut médico-légal de Toulouse pour une autopsie. Une enquête a été ouverte et confiée aux gendarmes de la COB (Communauté de brigades) de Grisolles.
Source:La Dépêche du Midi.
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
Une des figures de proue du négationnisme allemand, Ursula Haverbeck, 88 ans, surnommée par la presse "mamie nazie", a été condamnée hier à six mois de prison ferme pour des propos niant l'Holocauste.
Déjà condamnée à plusieurs reprises dans le passé pour des propos similaires, Ursula Haverbeck a été sanctionnée cette fois devant un tribunal de Berlin pour avoir publiquement déclaré en janvier 2016 dans un restaurant de la capitale que le génocide des juifs par les nazis n'avait jamais existé et qu'il n'y avait jamais eu de chambres à gaz à Auschwitz. Elle avait aussi contesté le fait que "des millions" de personnes y aient été exterminées.
A la barre, Mme Haverbeck a contesté les faits, arguant qu'elle n'avait fait que citer les extraits d'un livre. L'octogénaire, qui a immédiatement annoncé son intention de faire appel, avait été filmée en train de tenir ces propos.
Ursula Haverbeck a déjà été condamnée à quatre reprises pour des propos similaires, notamment à 10 mois de prison ferme en 2015 pour avoir déclaré que l'Holocauste était "le plus grand mensonge" de l'Histoire. Elle n'a toutefois jamais été à ce jour derrière les barreaux : elle a interjeté systématiquement appel de toutes ses condamnations et aucune des procédures n'a atteint le stade de la condamnation irrévocable. En 2009, elle avait écopé d'une amende de 2.700 euros pour avoir menacé la présidente de l'époque du Conseil central des juifs d'Allemagne "d'un nouveau pogrom".
Sur son site internet, Ursula Haverbeck se présente comme "une représente du révisionnisme historique" et se targue d'être une "combattante intrépide pour la vérité". Elle était l'épouse de Werner Georg Haverbeck, un militant d'extrême droite décédé en 1999 avec lequel elle avait fondé en 1963 à Vlotho (centre) le Collegium Humanum, présenté comme un établissement d'enseignement mais réputé pour être un nid de négationnistes. Il a été interdit en 2008.
Selon les travaux des historiens les plus sérieux, quelque 1,1 million de personnes, dont un million de juifs, ont péri entre 1940 et 1945 dans le seul camp d'Auschwitz-Birkenau. Et au total, six millions de juifs ont été exterminés par les nazis.
Source:Le Figaro.
Déjà condamnée à plusieurs reprises dans le passé pour des propos similaires, Ursula Haverbeck a été sanctionnée cette fois devant un tribunal de Berlin pour avoir publiquement déclaré en janvier 2016 dans un restaurant de la capitale que le génocide des juifs par les nazis n'avait jamais existé et qu'il n'y avait jamais eu de chambres à gaz à Auschwitz. Elle avait aussi contesté le fait que "des millions" de personnes y aient été exterminées.
A la barre, Mme Haverbeck a contesté les faits, arguant qu'elle n'avait fait que citer les extraits d'un livre. L'octogénaire, qui a immédiatement annoncé son intention de faire appel, avait été filmée en train de tenir ces propos.
Ursula Haverbeck a déjà été condamnée à quatre reprises pour des propos similaires, notamment à 10 mois de prison ferme en 2015 pour avoir déclaré que l'Holocauste était "le plus grand mensonge" de l'Histoire. Elle n'a toutefois jamais été à ce jour derrière les barreaux : elle a interjeté systématiquement appel de toutes ses condamnations et aucune des procédures n'a atteint le stade de la condamnation irrévocable. En 2009, elle avait écopé d'une amende de 2.700 euros pour avoir menacé la présidente de l'époque du Conseil central des juifs d'Allemagne "d'un nouveau pogrom".
Sur son site internet, Ursula Haverbeck se présente comme "une représente du révisionnisme historique" et se targue d'être une "combattante intrépide pour la vérité". Elle était l'épouse de Werner Georg Haverbeck, un militant d'extrême droite décédé en 1999 avec lequel elle avait fondé en 1963 à Vlotho (centre) le Collegium Humanum, présenté comme un établissement d'enseignement mais réputé pour être un nid de négationnistes. Il a été interdit en 2008.
Selon les travaux des historiens les plus sérieux, quelque 1,1 million de personnes, dont un million de juifs, ont péri entre 1940 et 1945 dans le seul camp d'Auschwitz-Birkenau. Et au total, six millions de juifs ont été exterminés par les nazis.
Source:Le Figaro.
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
Crapulax a écrit : Une des figures de proue du négationnisme allemand, Ursula Haverbeck, 88 ans, surnommée par la presse "mamie nazie", a été condamnée hier à six mois de prison ferme pour des propos niant l'Holocauste.
Déjà condamnée à plusieurs reprises dans le passé pour des propos similaires, Ursula Haverbeck a été sanctionnée cette fois devant un tribunal de Berlin pour avoir publiquement déclaré en janvier 2016 dans un restaurant de la capitale que le génocide des juifs par les nazis n'avait jamais existé et qu'il n'y avait jamais eu de chambres à gaz à Auschwitz. Elle avait aussi contesté le fait que "des millions" de personnes y aient été exterminées.
A la barre, Mme Haverbeck a contesté les faits, arguant qu'elle n'avait fait que citer les extraits d'un livre. L'octogénaire, qui a immédiatement annoncé son intention de faire appel, avait été filmée en train de tenir ces propos.
Ursula Haverbeck a déjà été condamnée à quatre reprises pour des propos similaires, notamment à 10 mois de prison ferme en 2015 pour avoir déclaré que l'Holocauste était "le plus grand mensonge" de l'Histoire. Elle n'a toutefois jamais été à ce jour derrière les barreaux : elle a interjeté systématiquement appel de toutes ses condamnations et aucune des procédures n'a atteint le stade de la condamnation irrévocable. En 2009, elle avait écopé d'une amende de 2.700 euros pour avoir menacé la présidente de l'époque du Conseil central des juifs d'Allemagne "d'un nouveau pogrom".
Sur son site internet, Ursula Haverbeck se présente comme "une représente du révisionnisme historique" et se targue d'être une "combattante intrépide pour la vérité". Elle était l'épouse de Werner Georg Haverbeck, un militant d'extrême droite décédé en 1999 avec lequel elle avait fondé en 1963 à Vlotho (centre) le Collegium Humanum, présenté comme un établissement d'enseignement mais réputé pour être un nid de négationnistes. Il a été interdit en 2008.
Selon les travaux des historiens les plus sérieux, quelque 1,1 million de personnes, dont un million de juifs, ont péri entre 1940 et 1945 dans le seul camp d'Auschwitz-Birkenau. Et au total, six millions de juifs ont été exterminés par les nazis.
Source:Le Figaro.
Qu'attends t'on pour faire griller cette dame dans un four ..
Ensuite on posera la question à ses cendres …..C'est toujours un rumeur ? `
Je ne vois rien de plus facile…j'ai un bidon de 200 litres ..vide..
La tolérance c'est quand on connait des cons- et qu'on ne dit pas les noms
- Crapulax
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
Même s’il n’a aucun lien avec l’organisation terroriste Daesh, ce trentenaire a été condamné pour avoir notamment proférer des menaces à l’encontre des forces de l’ordre.
Le Villeneuvois de 32 ans qui, s’en revenant, samedi au petit matin, d’une discothèque sur le Gravier, et découvrant que sa voiture fort mal garée (elle était stationnée sur l’emplacement du marché Jasmin) était partie en fourrière, a été jugé en comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité, lundi matin, au palais de justice.
Il faut dire que, passablement énervé, il s’en était pris aux forces de l’ordre, invoquant même des liens avec Daesh et promettant d’explosives représailles. Le genre de menaces qu’en ces temps sauvages, d’état d’urgence et d’attentats terroristes, il vaut mieux se garder de proférer.
Déjà connu de la justice :
Le Villeneuvois devrait s’en souvenir, puisqu’après avoir dessaoulé, et quand bien même il a assuré n’avoir aucun lien avec Daesh, il a été condamné à six mois de prison, dont deux assortis du sursis avec mise à l’épreuve.
Sous le coup de deux autres condamnations, les révocations successives du sursis l’ont fait partir aussi sec en prison pour quatorze mois.
Source:Sud-Ouest.
Le Villeneuvois de 32 ans qui, s’en revenant, samedi au petit matin, d’une discothèque sur le Gravier, et découvrant que sa voiture fort mal garée (elle était stationnée sur l’emplacement du marché Jasmin) était partie en fourrière, a été jugé en comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité, lundi matin, au palais de justice.
Il faut dire que, passablement énervé, il s’en était pris aux forces de l’ordre, invoquant même des liens avec Daesh et promettant d’explosives représailles. Le genre de menaces qu’en ces temps sauvages, d’état d’urgence et d’attentats terroristes, il vaut mieux se garder de proférer.
Déjà connu de la justice :
Le Villeneuvois devrait s’en souvenir, puisqu’après avoir dessaoulé, et quand bien même il a assuré n’avoir aucun lien avec Daesh, il a été condamné à six mois de prison, dont deux assortis du sursis avec mise à l’épreuve.
Sous le coup de deux autres condamnations, les révocations successives du sursis l’ont fait partir aussi sec en prison pour quatorze mois.
Source:Sud-Ouest.
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