Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
- Crapulax
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
.....................Les Galeries Lafayette prêtent à franchiser 22 de ses magasins en Province..........
Un projet de cession de 22 magasins, employant plus de 900 salariés, a été annoncé aux représentants du personnel. Trois repreneurs sont sur les rangs.
Si les grands magasins parisiens du boulevard Haussmann affichent une santé florissante grâce aux touristes friands d'achats de luxe, ceux de province éprouvent plus de difficultés. Galeries Lafayette, leader du secteur devant le Printemps, a pris le taureau par les cornes afin d'assurer l'avenir de son réseau, qui compte 56 grands magasins en France en plus de son vaisseau amiral parisien.
La direction a informé les représentants syndicaux de son projet d'en faire exploiter 22 en franchise: ceux d'Agen, Amiens, Angoulême, Beauvais, Bayonne, Belfort, Besançon, Caen, Cannes, Chalon-sur-Saône, Chambéry, Dax, La Roche-sur-Yon, La Rochelle, Libourne, Lorient, Montauban, Niort, Rouen, Saintes, Tarbes et Toulon. Ils emploient 900 personnes (sur 14.000) et réalisent une part minime du chiffre d'affaires du groupe (propriétaire du BHV, Guérin Joaillerie et Louis Pion), qui s'est élevé à 3,8 milliards d'euros en 2016.
Évolution du réseau
Ce projet s'inscrit dans la réflexion sur l'évolution du réseau engagée par la direction. Elle a déjà déplacé le magasin d'Évry à Carré Sénart et ouvert 9 outlets dédiés au déstockage. Elle veut redonner une dynamique commerciale à ses magasins situés dans des petites villes, grâce à des partenaires plus impliqués localement. Trois franchisés potentiels seraient déjà sur les rangs. Cinq Galeries Lafayette sont actuellement exploités en franchise: à Rennes, Perpignan, Menton, Langon et Béziers. En 2015, la direction voulait fermer ce dernier magasin (avec ceux de Lille et Thiais), mais la mairie a préempté les murs et trouvé un franchisé. Le groupe se donne jusqu'à mi-2018 pour finaliser le nouveau projet, qui pourrait ne concerner qu'une partie des 22 magasins.
Source:Le Figaro.
Un projet de cession de 22 magasins, employant plus de 900 salariés, a été annoncé aux représentants du personnel. Trois repreneurs sont sur les rangs.
Si les grands magasins parisiens du boulevard Haussmann affichent une santé florissante grâce aux touristes friands d'achats de luxe, ceux de province éprouvent plus de difficultés. Galeries Lafayette, leader du secteur devant le Printemps, a pris le taureau par les cornes afin d'assurer l'avenir de son réseau, qui compte 56 grands magasins en France en plus de son vaisseau amiral parisien.
La direction a informé les représentants syndicaux de son projet d'en faire exploiter 22 en franchise: ceux d'Agen, Amiens, Angoulême, Beauvais, Bayonne, Belfort, Besançon, Caen, Cannes, Chalon-sur-Saône, Chambéry, Dax, La Roche-sur-Yon, La Rochelle, Libourne, Lorient, Montauban, Niort, Rouen, Saintes, Tarbes et Toulon. Ils emploient 900 personnes (sur 14.000) et réalisent une part minime du chiffre d'affaires du groupe (propriétaire du BHV, Guérin Joaillerie et Louis Pion), qui s'est élevé à 3,8 milliards d'euros en 2016.
Évolution du réseau
Ce projet s'inscrit dans la réflexion sur l'évolution du réseau engagée par la direction. Elle a déjà déplacé le magasin d'Évry à Carré Sénart et ouvert 9 outlets dédiés au déstockage. Elle veut redonner une dynamique commerciale à ses magasins situés dans des petites villes, grâce à des partenaires plus impliqués localement. Trois franchisés potentiels seraient déjà sur les rangs. Cinq Galeries Lafayette sont actuellement exploités en franchise: à Rennes, Perpignan, Menton, Langon et Béziers. En 2015, la direction voulait fermer ce dernier magasin (avec ceux de Lille et Thiais), mais la mairie a préempté les murs et trouvé un franchisé. Le groupe se donne jusqu'à mi-2018 pour finaliser le nouveau projet, qui pourrait ne concerner qu'une partie des 22 magasins.
Source:Le Figaro.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
.................PSA et la SNCF reconnus coupables d'homicide involontaire...........
Un employé de l’usine Peugeot, âgé de 36 ans et domicilié à Gisors (Eure), avait perdu la vie en septembre 2011 écrasé par un train.
Le groupe PSA et la SNCF ont été reconnus coupables d’homicide involontaire ce lundi par le tribunal correctionnel de Versailles (Yvelines), à la suite du décès accidentel d’un ouvrier sur le site de l’usine Peugeot de Poissy le 30 septembre 2011. Ils ont été condamnés à une amende de 50 000 € chacun.
« Cette condamnation est une satisfaction, même si malheureusement cela ne fera pas revenir Emmanuel, décédé tragiquement à son poste de travail, explique Farid Borsali, secrétaire CGT de l’usine. Cette condamnation nous renforce dans notre combat pour qu’un tel drame ne se renouvelle jamais ».
Employé sur la plate-forme ferroviaire de l’usine, le salarié de 36 ans avait perdu la vie, écrasé par le wagon d’un train qui avait déraillé. Lors de l’accident, il était installé sur le marchepied du dernier des quatorze wagons chargés de véhicules neufs. Il tenait un talkie-walkie et renseignait le conducteur du train au fur à mesure des rotations entre la gare et l’usine. Un taquet de sécurité ayant été levé sur la voie de chemin de fer alors qu’il n’aurait pas dû l’être avait provoqué le déraillement, projetant la victime sous les roues du wagon. L’Inspection du travail avait estimé que « la réalisation de manœuvres ferroviaires par PSA sans la supervision de la SNCF constituait un danger ».
L’avocat de PSA a évoqué « l’interdiction formelle de monter sur le marchepied du wagon pour accompagner la manœuvre du train ». « À supposer qu’il y ait eu erreur d’inattention de la part de ce salarié, il n’y a rien dans le dispositif de sécurité qui peut s’enclencher », a insisté le procureur.
En plus de l’amende, le groupe PSA et la SNCF ont été condamnés à verser la somme de 30 000 € au titre du préjudice moral à la veuve du défunt, ainsi que 15 000 € à chacun de leurs trois enfants.
Source:Le Parisien.
Un employé de l’usine Peugeot, âgé de 36 ans et domicilié à Gisors (Eure), avait perdu la vie en septembre 2011 écrasé par un train.
Le groupe PSA et la SNCF ont été reconnus coupables d’homicide involontaire ce lundi par le tribunal correctionnel de Versailles (Yvelines), à la suite du décès accidentel d’un ouvrier sur le site de l’usine Peugeot de Poissy le 30 septembre 2011. Ils ont été condamnés à une amende de 50 000 € chacun.
« Cette condamnation est une satisfaction, même si malheureusement cela ne fera pas revenir Emmanuel, décédé tragiquement à son poste de travail, explique Farid Borsali, secrétaire CGT de l’usine. Cette condamnation nous renforce dans notre combat pour qu’un tel drame ne se renouvelle jamais ».
Employé sur la plate-forme ferroviaire de l’usine, le salarié de 36 ans avait perdu la vie, écrasé par le wagon d’un train qui avait déraillé. Lors de l’accident, il était installé sur le marchepied du dernier des quatorze wagons chargés de véhicules neufs. Il tenait un talkie-walkie et renseignait le conducteur du train au fur à mesure des rotations entre la gare et l’usine. Un taquet de sécurité ayant été levé sur la voie de chemin de fer alors qu’il n’aurait pas dû l’être avait provoqué le déraillement, projetant la victime sous les roues du wagon. L’Inspection du travail avait estimé que « la réalisation de manœuvres ferroviaires par PSA sans la supervision de la SNCF constituait un danger ».
L’avocat de PSA a évoqué « l’interdiction formelle de monter sur le marchepied du wagon pour accompagner la manœuvre du train ». « À supposer qu’il y ait eu erreur d’inattention de la part de ce salarié, il n’y a rien dans le dispositif de sécurité qui peut s’enclencher », a insisté le procureur.
En plus de l’amende, le groupe PSA et la SNCF ont été condamnés à verser la somme de 30 000 € au titre du préjudice moral à la veuve du défunt, ainsi que 15 000 € à chacun de leurs trois enfants.
Source:Le Parisien.
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
...................4 hommes arrêtés pour 50 délits commis..........
Une équipe "à tiroirs" particulièrement violente, qui sévissait "à la nuit tombée et de manière opportuniste" aux alentours du parc de Font Obscure (14e). Armée de couteaux, matraques et de pistolets de petits calibres, cette bande multicarte dépouillait indifféremment promeneurs, joggeurs, passants... "parfois frappés et choqués", se désole une source policière.
Mercredi dernier, c'est avec un certain soulagement que la brigade des vols à main armée (VMA) de la Sûreté départementale a finalement procédé à l'arrestation de quatre individus de 18 à 34 ans, mis en cause dans 11 agressions. Un cinquième, déjà incarcéré dans une autre affaire, a été extrait de cellule pour être entendu... Ces délinquants en série sont, par ailleurs, soupçonnés d'être à l'origine d'une cinquantaine d'autres délits : recels, braquages à main armée de commerces de proximité, car-jackings... "Des éléments et des témoignages confondants pour les uns et les autres ont été retrouvés. Ils sont en cours d'analyses", glisse un enquêteur. Qui revient à la genèse de ce coup de filet : "Depuis septembre,nous avions constaté une recrudescence de vols avec violence dans le secteur, raconte-t-il. Des individus dont les victimes faisaient toutes le même signalement. Parallèlement, nous avions, à proximité du parc Corot, une augmentation des vols à main armée et des car-jackings. Nos investigations ont permis de faire le lien et de mettre un coup d'arrêt à cette équipe qui montait en puissance", se félicite-t-il.
D'autant plus inquiétante qu'à la mi-octobre, une perquisition menée chez un de ses membres présumés, arrêté par la division Nord pour le vol du vélo électrique d'un postier, avait permis de découvrir un véritable arsenal : des pistolets, des fusils à pompe et d'assaut, des cartouches, des cartes SIM, des cagoules... "C'était certainement leur base arrière", avance un gradé. Les suspects ont été déférés, jeudi, devant le parquet et ont reconnu une partie des faits.
Source:La Provence.
Une équipe "à tiroirs" particulièrement violente, qui sévissait "à la nuit tombée et de manière opportuniste" aux alentours du parc de Font Obscure (14e). Armée de couteaux, matraques et de pistolets de petits calibres, cette bande multicarte dépouillait indifféremment promeneurs, joggeurs, passants... "parfois frappés et choqués", se désole une source policière.
Mercredi dernier, c'est avec un certain soulagement que la brigade des vols à main armée (VMA) de la Sûreté départementale a finalement procédé à l'arrestation de quatre individus de 18 à 34 ans, mis en cause dans 11 agressions. Un cinquième, déjà incarcéré dans une autre affaire, a été extrait de cellule pour être entendu... Ces délinquants en série sont, par ailleurs, soupçonnés d'être à l'origine d'une cinquantaine d'autres délits : recels, braquages à main armée de commerces de proximité, car-jackings... "Des éléments et des témoignages confondants pour les uns et les autres ont été retrouvés. Ils sont en cours d'analyses", glisse un enquêteur. Qui revient à la genèse de ce coup de filet : "Depuis septembre,nous avions constaté une recrudescence de vols avec violence dans le secteur, raconte-t-il. Des individus dont les victimes faisaient toutes le même signalement. Parallèlement, nous avions, à proximité du parc Corot, une augmentation des vols à main armée et des car-jackings. Nos investigations ont permis de faire le lien et de mettre un coup d'arrêt à cette équipe qui montait en puissance", se félicite-t-il.
D'autant plus inquiétante qu'à la mi-octobre, une perquisition menée chez un de ses membres présumés, arrêté par la division Nord pour le vol du vélo électrique d'un postier, avait permis de découvrir un véritable arsenal : des pistolets, des fusils à pompe et d'assaut, des cartouches, des cartes SIM, des cagoules... "C'était certainement leur base arrière", avance un gradé. Les suspects ont été déférés, jeudi, devant le parquet et ont reconnu une partie des faits.
Source:La Provence.
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
.....................Mis à pied d'un collégien pour avoir amener un space cake(gâteau au cannabis) en classe...............
Mennecy, ce mardi. Jeudi dernier, un élève du collège Parc de Villeroy a apporté un space cake en classe. Sept de ses camarades et son professeur de sport en ont mangé. LP/M.-C. D.
Profitant d’un goûter organisé par son professeur de sport vendredi dernier dans un collège de Mennecy, un élève de 3e a servi un gâteau au cannabis à ses camarades sans leur dire. Il a été mis à pied huit jours. Plusieurs parents ont porté plainte contre lui.
A la sortie du collège Parc de Villeroy, à Mennecy, les élèves n’ont que cette histoire à la bouche. « Ça s’est passé dans la classe de mon frère, je suis au courant de tout, fanfaronne Léo*, 11 ans. Quelqu’un a mis de la drogue dans un gâteau. » « Après, les élèves étaient tout bizarres, il y en a même qui faisaient l’avion dans la cour », renchérit Matéo*.
Jeudi dernier, alors qu’un professeur de sport organisait un goûter avec l’une de ses classes de 3e, un élève a servi un « space cake » à ses camarades. Sept d’entre eux ainsi que l’enseignant ont consommé de ce gâteau, sans savoir qu’il contenant du cannabis.
Parmi eux, Chloé*, 14 ans. « Visuellement, il était normal. Au chocolat, basique, raconte-t-elle. Le goût, lui, était un peu bizarre, mais on l’a mangé quand même, parce que ce n’était pas dégueu, pas au point de vomir. »
Très vite, les premiers effets du THC, le principe actif du cannabis, se font sentir : rétrécissement du champ de vision, jambes en coton, maux de tête… « « Le prof avait de gros cernes sous les yeux, il transpirait, poursuit Chloé. Nous sommes quelques-uns à être allés voir les infirmières, mais elles nous ont dit qu’on manquait de sucre alors qu’on venait juste de goûter et nous ont envoyés au self. »
« Je suis partie dans un tel fou rire que je ne pouvais plus m’arrêter »
Pour Chloé et ses camarades, l’après-midi est long et la concentration difficile. « Les effets étaient de pire en pire. A un moment, je suis partie dans un tel fou rire que je ne pouvais plus m’arrêter et que j’en pleurais. Plus tard, je me suis endormie sur ma table pendant un contrôle de géographie. »
Le pâtissier en herbe, lui, a d’abord nié avoir mis de la drogue dans son gâteau. Puis est rentré chez lui, en emportant les restes. « C’était ça, le pire. Ne pas savoir ce qui nous arrivait, et pourquoi nous étions dans cet état », avoue Chloé, qui n’avait jamais consommé de cannabis auparavant.
A la fin des cours, sa mère, Elodie*, vient la chercher, et s’aperçoit vite que quelque chose cloche. « Elle voulait aller se coucher, à 17 heures, explique-t-elle. Elle avait très faim, très soif, et ses pupilles étaient dilatées. Mon mari est dans la police, alors on s’est dit qu’elle avait dû ingérer du shit [NDLR : résine de cannabis], d’une manière ou d’une autre. »
Les analyses d’urine effectuées sur l’une des élèves ayant goûté aux gâteaux sont formelles. DR.
L’élève qui a cuisiné le gâteau a été mis à pied:
Le lendemain matin, mère et fille se rendent au laboratoire pour y faire analyser les urines de Chloé. « Une autre maman avait emmené sa fille aux urgences parce qu’elle avait vomi dans la soirée, souligne Elodie. Les tests effectués par les médecins ayant révélé la présence de cannabis dans son organisme, je voulais savoir ce qu’il en était pour ma fille. Ses résultats, que j’ai reçus le lendemain, étaient eux aussi positifs. »
Furieuse, la maman se rend à la gendarmerie de Mennecy pour y déposer une plainte contre l’élève qui a fabriqué et apporté le fameux gâteau au collège. « Plusieurs parents en ont fait autant », confirme une source proche de l’enquête. Mis à pied durant huit jours, cet adolescent de 15 ans, inconnu des services de police, fera l’objet d’un conseil de discipline à son retour.
« Vous savez, ce sont des choses qui arrivent assez souvent », soupire un membre de l’équipe pédagogique, sous couvert d’anonymat. Jointe par téléphone, la direction du collège refuse de commenter cette affaire. L’inspection académique indique quant à elle ne pas être au courant.
Source:Le Parisien.
Mennecy, ce mardi. Jeudi dernier, un élève du collège Parc de Villeroy a apporté un space cake en classe. Sept de ses camarades et son professeur de sport en ont mangé. LP/M.-C. D.
Profitant d’un goûter organisé par son professeur de sport vendredi dernier dans un collège de Mennecy, un élève de 3e a servi un gâteau au cannabis à ses camarades sans leur dire. Il a été mis à pied huit jours. Plusieurs parents ont porté plainte contre lui.
A la sortie du collège Parc de Villeroy, à Mennecy, les élèves n’ont que cette histoire à la bouche. « Ça s’est passé dans la classe de mon frère, je suis au courant de tout, fanfaronne Léo*, 11 ans. Quelqu’un a mis de la drogue dans un gâteau. » « Après, les élèves étaient tout bizarres, il y en a même qui faisaient l’avion dans la cour », renchérit Matéo*.
Jeudi dernier, alors qu’un professeur de sport organisait un goûter avec l’une de ses classes de 3e, un élève a servi un « space cake » à ses camarades. Sept d’entre eux ainsi que l’enseignant ont consommé de ce gâteau, sans savoir qu’il contenant du cannabis.
Parmi eux, Chloé*, 14 ans. « Visuellement, il était normal. Au chocolat, basique, raconte-t-elle. Le goût, lui, était un peu bizarre, mais on l’a mangé quand même, parce que ce n’était pas dégueu, pas au point de vomir. »
Très vite, les premiers effets du THC, le principe actif du cannabis, se font sentir : rétrécissement du champ de vision, jambes en coton, maux de tête… « « Le prof avait de gros cernes sous les yeux, il transpirait, poursuit Chloé. Nous sommes quelques-uns à être allés voir les infirmières, mais elles nous ont dit qu’on manquait de sucre alors qu’on venait juste de goûter et nous ont envoyés au self. »
« Je suis partie dans un tel fou rire que je ne pouvais plus m’arrêter »
Pour Chloé et ses camarades, l’après-midi est long et la concentration difficile. « Les effets étaient de pire en pire. A un moment, je suis partie dans un tel fou rire que je ne pouvais plus m’arrêter et que j’en pleurais. Plus tard, je me suis endormie sur ma table pendant un contrôle de géographie. »
Le pâtissier en herbe, lui, a d’abord nié avoir mis de la drogue dans son gâteau. Puis est rentré chez lui, en emportant les restes. « C’était ça, le pire. Ne pas savoir ce qui nous arrivait, et pourquoi nous étions dans cet état », avoue Chloé, qui n’avait jamais consommé de cannabis auparavant.
A la fin des cours, sa mère, Elodie*, vient la chercher, et s’aperçoit vite que quelque chose cloche. « Elle voulait aller se coucher, à 17 heures, explique-t-elle. Elle avait très faim, très soif, et ses pupilles étaient dilatées. Mon mari est dans la police, alors on s’est dit qu’elle avait dû ingérer du shit [NDLR : résine de cannabis], d’une manière ou d’une autre. »
Les analyses d’urine effectuées sur l’une des élèves ayant goûté aux gâteaux sont formelles. DR.
L’élève qui a cuisiné le gâteau a été mis à pied:
Le lendemain matin, mère et fille se rendent au laboratoire pour y faire analyser les urines de Chloé. « Une autre maman avait emmené sa fille aux urgences parce qu’elle avait vomi dans la soirée, souligne Elodie. Les tests effectués par les médecins ayant révélé la présence de cannabis dans son organisme, je voulais savoir ce qu’il en était pour ma fille. Ses résultats, que j’ai reçus le lendemain, étaient eux aussi positifs. »
Furieuse, la maman se rend à la gendarmerie de Mennecy pour y déposer une plainte contre l’élève qui a fabriqué et apporté le fameux gâteau au collège. « Plusieurs parents en ont fait autant », confirme une source proche de l’enquête. Mis à pied durant huit jours, cet adolescent de 15 ans, inconnu des services de police, fera l’objet d’un conseil de discipline à son retour.
« Vous savez, ce sont des choses qui arrivent assez souvent », soupire un membre de l’équipe pédagogique, sous couvert d’anonymat. Jointe par téléphone, la direction du collège refuse de commenter cette affaire. L’inspection académique indique quant à elle ne pas être au courant.
Source:Le Parisien.
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
et son professeur de sport en ont mangé.
J'en chiale de rire......« « Le prof avait de gros cernes sous les yeux, il transpirait, poursuit Chloé. »
C'est pas bien je sais mais je ne peux pas m'en empêcher....
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
Bordeaux : le poinçonneur de pneus interpellé, 6 000 véhicules concernés....
http://www.sudouest.fr/2017/11/29/borde ... e-3990058-Il sévissait depuis février 2011 dans l’agglomération bordelaise. Il se serait attaqué à 6 000 véhicules.
Les policiers de la sûreté urbaine étaient sur le dossier depuis de longs mois. Un Bordelais de 45 ans soupçonné d’être le poinçonneur de pneus qui sévissait dans l’agglomération bordelaise depuis février 2011 a été interpellé la nuit dernière par la brigade anti criminalité alors qu’il sortait de son domicile.
Placé en garde à vue au commissariat central, il aurait reconnu les faits, indiquant avoir agi "pour se venger de la société" et attirer l’attention sur son mal-être.
Il procédait toujours de la même façon, utilisant une pointe fine pour crever, toujours côté trottoir pour plus de discrétion, les pneus avant et arrière. Il se serait ainsi attaqué à 6 000 véhicules.
Ce sont les policiers qui sont chargés de contacter les victimes dont ils ont déjà les coordonnées.
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
.......................Le condamné à mort en cavale utilisé comme sujet de reconversion professionnelle par TF1............
Pour illustrer un sujet sur la reconversion professionnelle hier et aujourd’hui, TF1 a utilisé sans le savoir une archive de Pierre Conty, un condamné à mort en cavale.
C’est une boulette passée presque inaperçue dans le 20 heures de TF1 ! Jeudi 22 novembre, Gilles Bouleau lance un reportage sur les cadres de la génération Y qui ont choisi une reconversion professionnelle. « Chaque année, des milliers de Français décident de changer radicalement de métier pour se tourner vers l’artisanat », précise le présentateur vedette de la Une, en introduction.
Pour expliquer que le phénomène ne date pas d’hier, la chaîne a pioché dans des images d’archives de l’INA (Institut national de l’audiovisuel), datant des années 1970. Y apparaît un certain Pierre, présenté comme un Grenoblois parti élever des moutons en Ardèche. « Travailler à la chaîne, ce n’est pas forcément agréable, témoigne-t-il. Ici, on s’y retrouve, on est bien. C’est tout simplement la vie. Ca nous fait vivre, ça fait vivre nos bêtes. On a un équilibre à travers ça. »
Un tueur en cavale:
Sauf que le Pierre en question n’est autre que Pierre Conty, condamné à mort par contumace en 1980 ! L’homme qui, s’il est toujours vivant, a 71 ans, et a été surnommé le « tueur fou de l’Ardèche ». En 1977, après un braquage avec des complices, il avait assassiné trois personnes, un père de famille, son fils, et un gendarme. Depuis, il est en cavale.
La diffusion de son témoignage vieux de quatre décennies, et filmé avant la tragédie, a choqué des téléspectateurs au courant de l’affaire. A l’image de Martin, un lecteur du Parisien/Aujourd’hui-en-France, qui nous a prévenus.
Contacté, TF1 assure avoir « utilisé cette séquence, tournée trois ans avant l’affaire, parce qu’elle est emblématique de ce retour à la terre ». La chaîne admet cependant s’être rendue compte, après la diffusion du reportage, de la vraie identité de « Pierre », et ajoute : « Désormais, on va être très vigilant ».
Source:Le Parisien.
Pour illustrer un sujet sur la reconversion professionnelle hier et aujourd’hui, TF1 a utilisé sans le savoir une archive de Pierre Conty, un condamné à mort en cavale.
C’est une boulette passée presque inaperçue dans le 20 heures de TF1 ! Jeudi 22 novembre, Gilles Bouleau lance un reportage sur les cadres de la génération Y qui ont choisi une reconversion professionnelle. « Chaque année, des milliers de Français décident de changer radicalement de métier pour se tourner vers l’artisanat », précise le présentateur vedette de la Une, en introduction.
Pour expliquer que le phénomène ne date pas d’hier, la chaîne a pioché dans des images d’archives de l’INA (Institut national de l’audiovisuel), datant des années 1970. Y apparaît un certain Pierre, présenté comme un Grenoblois parti élever des moutons en Ardèche. « Travailler à la chaîne, ce n’est pas forcément agréable, témoigne-t-il. Ici, on s’y retrouve, on est bien. C’est tout simplement la vie. Ca nous fait vivre, ça fait vivre nos bêtes. On a un équilibre à travers ça. »
Un tueur en cavale:
Sauf que le Pierre en question n’est autre que Pierre Conty, condamné à mort par contumace en 1980 ! L’homme qui, s’il est toujours vivant, a 71 ans, et a été surnommé le « tueur fou de l’Ardèche ». En 1977, après un braquage avec des complices, il avait assassiné trois personnes, un père de famille, son fils, et un gendarme. Depuis, il est en cavale.
La diffusion de son témoignage vieux de quatre décennies, et filmé avant la tragédie, a choqué des téléspectateurs au courant de l’affaire. A l’image de Martin, un lecteur du Parisien/Aujourd’hui-en-France, qui nous a prévenus.
Contacté, TF1 assure avoir « utilisé cette séquence, tournée trois ans avant l’affaire, parce qu’elle est emblématique de ce retour à la terre ». La chaîne admet cependant s’être rendue compte, après la diffusion du reportage, de la vraie identité de « Pierre », et ajoute : « Désormais, on va être très vigilant ».
Source:Le Parisien.
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
.........................Le "magot" de Madame la Marquise.....................
La gestion de la fortune de la marquise de Moratalla, décédée ce mercredi 29 novembre est au cœur d’une enquête. Derrière, il y a toute une histoire restée secrète.
De Soledad Cabeza de Vaca, marquise de Moratalla, on ne connaissait que sa passion sans limite pour les chevaux, sa vista autour des tables de bridge où elle rata d’un souffle le titre de championne du monde en 1982 et les parties mémorables de pelote disputées dans les années 70 au trinquet de la Négresse, à Biarritz, lorsqu’avec quelques pionnières, elle défiait les hommes sur les canchas sans rien perdre de sa grâce et de son élégance naturelles.
Fragilisée par le grand âge, cette aristocrate, née à Londres en 1930, ne sort plus guère. On ne l’aperçoit plus sur les champs de course où ses apparitions fugaces éteignaient comme par magie les bavardages. Retirée dans son domaine de Coumères sur les hauteurs de Bayonne, elle vit loin du tumulte dans la discrétion qu’elle a toujours cultivée comme une fleur rare.
Au mois de juillet, le voile de mystère qui l’entourait s’est en partie déchiré (lire nos éditions du 16 et du 26 août). Une enquête judiciaire a été ouverte à la suite de la plainte pour séquestration et abus de confiance déposée par le fils aîné contre son frère adoptif et le financier suisse qui gère la fortune de sa mère, legs d’une histoire familiale mouvementée et tragique qui s’est déployée des bords de la Tamise à Chicago, de Lausanne à Madrid, avant de s’enraciner au Pays basque.
Trois mariages…
La marquise qui a conservé la nationalité espagnole descend d’une grande famille d’aristocrates andalous. Son ancêtre, Álvar Núñez, fut l’un des quatre conquistadors survivants de la dramatique expédition de 600 hommes partie coloniser la Floride et qui fit naufrage en 1528 dans les Caraïbes. Un temps réduit en esclavage, il marchera ensuite pendant huit ans traversant l’Amérique, de l’Atlantique au Pacifique.
Quatre siècles plus tard, le Nouveau monde qui a fait la célébrité de l’aïeul va asseoir indirectement la fortune des Cabeza de Vaca. La mère de la future marquise, Olga Leighton, une infirmière d’origine irlandaise, épouse en premières noces Frank Jay Mackey, un banquier milliardaire de Chicago, de 37 ans son aîné. Le financier a été l’un des premiers à distribuer des prêts à la consommation dont le remboursement ne s’effectuait plus à une date fixe mais s’échelonnait sur plusieurs mois ou plusieurs années en contrepartie de taux d’intérêt très élevés.
Après le suicide de ce dernier en 1927, Olga Leighton, veuve et sans enfant, hérite et retourne, cousue d’or sur le Vieux continent. Quelques mois plus tard, elle convole avec Antonio Cabeza de Vaca, marquis de Moratalla y de Portago, un proche du roi d’Espagne Alfonso XIII. Nageur émérite, ce noble qui ne roule pas carrosse conserve une place de choix dans la panthéon franquiste. Pendant la guerre civile, il a posé des mines sous deux sous- marins républicains qui couleront dans le port de Bayonne.
L’aristocrate connaît la côte basque comme sa poche. Aujourd’hui détruit, le château du Pelican à Biarritz accueille souvent sa famille. Lorsqu’il meurt subitement en 1941 en prenant une douche froide après une partie de polo, son mariage n’est plus qu’un lointain souvenir. Soupçonnée d’être une espionne anglaise, Olga Leighton se réfugie aux États-Unis avec celui qui sera son troisième mari et les deux enfants qu’elle a donnés au descendant du conquistador, Soledad et Alfonso.
La mort aux trousses:
La paix de retour, l’héritière détentrice de trois nationalités – anglaise, américaine et espagnole – n’a que l’embarras du choix pour poser ses valises. En gestionnaire avisée, elle rapatrie ses capitaux en Suisse, qui deviendra le refuge fiscal des membres de la famille. Un site de généalogie américain évalue à plus de 500 millions de dollars son patrimoine de l’époque. Autant dire que l’achat d’une villa quelques années plus tôt à Biarritz, la station balnéaire la plus chic de l’époque, ne l’a guère écorné.
Beau comme un Dieu et riche à millions, son fils Alfonso brûle sa vie tel James Dean entre conquêtes féminimes et exploits sportifs. C’est sur les circuits automobiles, où son éternel blouson de cuir est légendaire, que le marquis de Portago donne sa pleine démesure. Jusqu’a ce jour tragique de 1957 où il trouve la mort et tue une dizaine de spectateurs, dont cinq enfants, lorsque sa Ferrari engagée dans la course des Mille Miglia sort de la piste.
Sportive accomplie, sa sœur, la marquise Soledad a fait partie des meilleurs tenniswomen junior américaines. Mais elle ne vit que pour l’équitation. Mariée à 20 ans avec l’éleveur landais Maurice Labrouche qui lui offre son premier cheval, elle crève l’écran une décennie plus tard. La jument, donnée par son frère a enfanté un crack, Blacklock. En 1965, le pur-sang remporte le prix du Président de la République.
C’est le début d’une formidable histoire qui verra cette femme secrète fonder l’une des plus grandes écuries de courses au monde, assortie du palmarès, qui va avec et rivaliser avec l’Aga Kahn ou l’émir de DubaÏ. Que ce soit en trot, en plat ou en obstacles, ses chevaux, issus le plus souvent de ses poulinières et placés chez les plus grands entraîneurs, ont fait briller pendant un demi-siècle la casaque rouge à toque vert clair, cédée par son mari dont elle s’était pourtant rapidement séparée.
Les écuries se dépeuplent
La marquise n’a pas réussi à inoculer le virus à son fils aîné, Forester, élevé en Suisse par sa mère. Le cadet à qui elle pensait avoir mis le pied à l’étrier succombera à ses blessures à la fleur de l’âge à la suite d’une chute sur l’hippodrome du Bouscat. Et le dernier, un orphelin colombien recueilli dans les années 80 à Bayonne, lâchera lui aussi la bride.
Les haras de Normandie et d’Angleterre ont été vendus, les écuries se dépeuplent. La passion qui a consumé celle que ses amis appellent toujours « Sol » s’éteint tout doucement comme une bougie pendant que ses vieux chevaux, qu’elle ne s’est jamais résolue à envoyer à la boucherie ou à faire tournicoter dans un club hippique, finissent tranquillement leurs jours dans les prés de sa propriété de Saint-Vincent-de-Tyrosse.
Source:Sud-Ouest.
La gestion de la fortune de la marquise de Moratalla, décédée ce mercredi 29 novembre est au cœur d’une enquête. Derrière, il y a toute une histoire restée secrète.
De Soledad Cabeza de Vaca, marquise de Moratalla, on ne connaissait que sa passion sans limite pour les chevaux, sa vista autour des tables de bridge où elle rata d’un souffle le titre de championne du monde en 1982 et les parties mémorables de pelote disputées dans les années 70 au trinquet de la Négresse, à Biarritz, lorsqu’avec quelques pionnières, elle défiait les hommes sur les canchas sans rien perdre de sa grâce et de son élégance naturelles.
Fragilisée par le grand âge, cette aristocrate, née à Londres en 1930, ne sort plus guère. On ne l’aperçoit plus sur les champs de course où ses apparitions fugaces éteignaient comme par magie les bavardages. Retirée dans son domaine de Coumères sur les hauteurs de Bayonne, elle vit loin du tumulte dans la discrétion qu’elle a toujours cultivée comme une fleur rare.
Au mois de juillet, le voile de mystère qui l’entourait s’est en partie déchiré (lire nos éditions du 16 et du 26 août). Une enquête judiciaire a été ouverte à la suite de la plainte pour séquestration et abus de confiance déposée par le fils aîné contre son frère adoptif et le financier suisse qui gère la fortune de sa mère, legs d’une histoire familiale mouvementée et tragique qui s’est déployée des bords de la Tamise à Chicago, de Lausanne à Madrid, avant de s’enraciner au Pays basque.
Trois mariages…
La marquise qui a conservé la nationalité espagnole descend d’une grande famille d’aristocrates andalous. Son ancêtre, Álvar Núñez, fut l’un des quatre conquistadors survivants de la dramatique expédition de 600 hommes partie coloniser la Floride et qui fit naufrage en 1528 dans les Caraïbes. Un temps réduit en esclavage, il marchera ensuite pendant huit ans traversant l’Amérique, de l’Atlantique au Pacifique.
Quatre siècles plus tard, le Nouveau monde qui a fait la célébrité de l’aïeul va asseoir indirectement la fortune des Cabeza de Vaca. La mère de la future marquise, Olga Leighton, une infirmière d’origine irlandaise, épouse en premières noces Frank Jay Mackey, un banquier milliardaire de Chicago, de 37 ans son aîné. Le financier a été l’un des premiers à distribuer des prêts à la consommation dont le remboursement ne s’effectuait plus à une date fixe mais s’échelonnait sur plusieurs mois ou plusieurs années en contrepartie de taux d’intérêt très élevés.
Après le suicide de ce dernier en 1927, Olga Leighton, veuve et sans enfant, hérite et retourne, cousue d’or sur le Vieux continent. Quelques mois plus tard, elle convole avec Antonio Cabeza de Vaca, marquis de Moratalla y de Portago, un proche du roi d’Espagne Alfonso XIII. Nageur émérite, ce noble qui ne roule pas carrosse conserve une place de choix dans la panthéon franquiste. Pendant la guerre civile, il a posé des mines sous deux sous- marins républicains qui couleront dans le port de Bayonne.
L’aristocrate connaît la côte basque comme sa poche. Aujourd’hui détruit, le château du Pelican à Biarritz accueille souvent sa famille. Lorsqu’il meurt subitement en 1941 en prenant une douche froide après une partie de polo, son mariage n’est plus qu’un lointain souvenir. Soupçonnée d’être une espionne anglaise, Olga Leighton se réfugie aux États-Unis avec celui qui sera son troisième mari et les deux enfants qu’elle a donnés au descendant du conquistador, Soledad et Alfonso.
La mort aux trousses:
La paix de retour, l’héritière détentrice de trois nationalités – anglaise, américaine et espagnole – n’a que l’embarras du choix pour poser ses valises. En gestionnaire avisée, elle rapatrie ses capitaux en Suisse, qui deviendra le refuge fiscal des membres de la famille. Un site de généalogie américain évalue à plus de 500 millions de dollars son patrimoine de l’époque. Autant dire que l’achat d’une villa quelques années plus tôt à Biarritz, la station balnéaire la plus chic de l’époque, ne l’a guère écorné.
Beau comme un Dieu et riche à millions, son fils Alfonso brûle sa vie tel James Dean entre conquêtes féminimes et exploits sportifs. C’est sur les circuits automobiles, où son éternel blouson de cuir est légendaire, que le marquis de Portago donne sa pleine démesure. Jusqu’a ce jour tragique de 1957 où il trouve la mort et tue une dizaine de spectateurs, dont cinq enfants, lorsque sa Ferrari engagée dans la course des Mille Miglia sort de la piste.
Sportive accomplie, sa sœur, la marquise Soledad a fait partie des meilleurs tenniswomen junior américaines. Mais elle ne vit que pour l’équitation. Mariée à 20 ans avec l’éleveur landais Maurice Labrouche qui lui offre son premier cheval, elle crève l’écran une décennie plus tard. La jument, donnée par son frère a enfanté un crack, Blacklock. En 1965, le pur-sang remporte le prix du Président de la République.
C’est le début d’une formidable histoire qui verra cette femme secrète fonder l’une des plus grandes écuries de courses au monde, assortie du palmarès, qui va avec et rivaliser avec l’Aga Kahn ou l’émir de DubaÏ. Que ce soit en trot, en plat ou en obstacles, ses chevaux, issus le plus souvent de ses poulinières et placés chez les plus grands entraîneurs, ont fait briller pendant un demi-siècle la casaque rouge à toque vert clair, cédée par son mari dont elle s’était pourtant rapidement séparée.
Les écuries se dépeuplent
La marquise n’a pas réussi à inoculer le virus à son fils aîné, Forester, élevé en Suisse par sa mère. Le cadet à qui elle pensait avoir mis le pied à l’étrier succombera à ses blessures à la fleur de l’âge à la suite d’une chute sur l’hippodrome du Bouscat. Et le dernier, un orphelin colombien recueilli dans les années 80 à Bayonne, lâchera lui aussi la bride.
Les haras de Normandie et d’Angleterre ont été vendus, les écuries se dépeuplent. La passion qui a consumé celle que ses amis appellent toujours « Sol » s’éteint tout doucement comme une bougie pendant que ses vieux chevaux, qu’elle ne s’est jamais résolue à envoyer à la boucherie ou à faire tournicoter dans un club hippique, finissent tranquillement leurs jours dans les prés de sa propriété de Saint-Vincent-de-Tyrosse.
Source:Sud-Ouest.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
...La mort avant le déshonneur!
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
...........Le baby-Sitter incarcéré pour agressions sexuelles sur les enfants qu'il gardait...........
Un homme de 31 ans a été mis en examen pour « agressions sexuelles sur mineurs de moins de 15 ans » avant d'être incarcéré. A l'issue de 48 heures de garde à vue, il aurait reconnu les faits reprochés sur plusieurs victimes, des petits garçons âgés de 4 à 6 ans, avant d'être incarcéré.
L’affaire a commencé la semaine dernière quand une famille s’est présentée à la gendarmerie de Verfeil. Ces parents très inquiets sont venus dénoncer les accusations de leur fils qui, avec les mots d’un petit enfant, décrivait des atteintes sexuelles de la part du jeune home qui le gardait. Auteur supposé de ces gestes, le baby-sitter de la famille, dont les gendarmes ont découvert que non seulement il proposait ses services pour garder les enfants bien au-delà de Verfeil, jusqu’au Tarn et au Tarn-et-Garonne, mais qu’il animait aussi le CLAE de l’école primaire de la commune. Dernière activité recensée de cet homme, des ateliers autour de la boulangerie pour les enfants…
Les parents étaient ravis:
Arrêté lundi matin, le suspect aurait reconnu des attouchements sur au moins cinq enfants âgés de 4 à 6 ans. Des agressions sexuelles dont les enquêteurs se demandent si elles se limitent aux cas désormais découverts. « Pour l’instant, tous les cas répertoriés ont eu lieu dans le cadre des activités de baby-sitter. Rien à l’école ou lors des ateliers », souligne une source proche du dossier.
Ces activités de baby-sitting entraînaient pourtant des commentaires ravis et extrêmement élogieux sur Internet des parents qui avaient confié leurs enfants à cet homme.
Source:La Dépêche.
Un homme de 31 ans a été mis en examen pour « agressions sexuelles sur mineurs de moins de 15 ans » avant d'être incarcéré. A l'issue de 48 heures de garde à vue, il aurait reconnu les faits reprochés sur plusieurs victimes, des petits garçons âgés de 4 à 6 ans, avant d'être incarcéré.
L’affaire a commencé la semaine dernière quand une famille s’est présentée à la gendarmerie de Verfeil. Ces parents très inquiets sont venus dénoncer les accusations de leur fils qui, avec les mots d’un petit enfant, décrivait des atteintes sexuelles de la part du jeune home qui le gardait. Auteur supposé de ces gestes, le baby-sitter de la famille, dont les gendarmes ont découvert que non seulement il proposait ses services pour garder les enfants bien au-delà de Verfeil, jusqu’au Tarn et au Tarn-et-Garonne, mais qu’il animait aussi le CLAE de l’école primaire de la commune. Dernière activité recensée de cet homme, des ateliers autour de la boulangerie pour les enfants…
Les parents étaient ravis:
Arrêté lundi matin, le suspect aurait reconnu des attouchements sur au moins cinq enfants âgés de 4 à 6 ans. Des agressions sexuelles dont les enquêteurs se demandent si elles se limitent aux cas désormais découverts. « Pour l’instant, tous les cas répertoriés ont eu lieu dans le cadre des activités de baby-sitter. Rien à l’école ou lors des ateliers », souligne une source proche du dossier.
Ces activités de baby-sitting entraînaient pourtant des commentaires ravis et extrêmement élogieux sur Internet des parents qui avaient confié leurs enfants à cet homme.
Source:La Dépêche.
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
Je viens de lire la course fatale d'Alfonso en 57..
Pas mal ton histoire..
Pas mal ton histoire..
La tolérance c'est quand on connait des cons- et qu'on ne dit pas les noms
Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
Ouest FranceDéjà connu des services de police, un trentenaire, en situation de récidive pour conduite sous l’emprise de l’alcool, a percuté une autre voiture, à Brest. Amputé d’une jambe, il circulait sans assurance, sans permis et avait bricolé un système pour réussir à conduire. Sa Mercedes a été emmenée à la fourrière.
Cet automobiliste a commencé par occasionner un accident de la circulation, mardi soir à Saint-Martin, à Brest. Il était près de 20 h lorsqu’il a percuté un autre véhicule, dans la rue Navarin, avant de s’enfuir.
Des dégâts uniquement matériels, mais le signalement de sa Mercedes a pu être donné aux policiers. Lesquels ont repéré le même conducteur, un peu plus tard, dans la rue Gay-Lussac, non loin de Kerinou.
Les agents ont immédiatement interpellé le conducteur, déjà connu de leurs services, qui affichait une alcoolémie de 0,51 mg par litre d’air expiré. Soit l’équivalent plus d’un gramme par litre de sang.
Ce demandeur d’asile russe de 37 ans, né en Tchétchénie, n’en est pas à son premier délit.
Système artisanal
Non titulaire du permis de conduire, il a l’habitude de circuler dans un véhicule qui n’est pas assuré. Il a déjà été interpellé pour des faits similaires de conduite sous l’emprise de l’alcool datant d’octobre dernier.
De plus, amputé d’une jambe à hauteur du genou, il a aussi bricolé un système artisanal qui lui permet d’appuyer sur l’accélérateur de la voiture grâce à un manche à balai recoupé à la « bonne » hauteur.
Pour sa défense, il a avancé qu’il n’avait « pas beaucoup de distance à parcourir » et « pas eu le temps de transformer son permis de conduire passé à l’étranger ». Un dernier argument qui a semblé peu crédible aux policiers car le conducteur imprudent réside en France depuis six ans.
L’ensemble des faits qui lui sont reprochés seront jugés le 25 juin prochain, lors d’une même audience, devant le tribunal correctionnel de Brest. Son véhicule a été saisi et placé en fourrière.
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
..................Une championne de Marathon assassinée chez elle à Neuilly-sur-Marne....................
Zenash Gezmu, jeune Ethiopienne et championne de marathon, a été sauvagement assassinée chez elle en Seine-Saint-Denis.
Le Stade Français pleure la disparition de l'une de ses adhérentes, assassinée alors qu'elle se trouvait chez elle, dans son appartement à Neuilly-sur-Marne. Le corps de Zenash Gezmu, jeune marathonienne de 27 ans, a été retrouvé inanimé en début de semaine. L'athlète aurait été frappée par un objet puis asphyxiée à mains nues par un individu qui s'est rendu à la police mardi avant d'avouer son crime.
L'homme de 27 ans, un Erythréen, est allé au commissariat pour s'accuser du meurtre de l'athlète mais il n'a toutefois pas expliqué les motivations de son acte. Il a été mis en examen et écroué.
Levée à 5h du matin pour s'entraîner avant d'aller travailler:
Petit bout de femme (1,50 m pour 38 kg), Zenash Gezmu avait quitté l'Ethiopie et toute sa famille pour s'établir en Europe en 2011. Passionnée de sport et de course de fond, elle se levait très tôt le matin à cinq heures pour s'entraîner avant d'aller travailler en tant que femme de ménage dans un hôtel. En fin de journée, celle qui avait remporté à trois reprises le marathon de Sénart en 2014, 2015 et 2016, retrouvait son équipement pour aller courir. Tous ces efforts lui permettaient d'amasser quelques primes de course pour compléter son modeste salaire. Selon Le Parisien qui cite un proche de la victime, cet argent économisé a peut-être été convoité par l'assassin.
Source:Le Figaro.
Zenash Gezmu, jeune Ethiopienne et championne de marathon, a été sauvagement assassinée chez elle en Seine-Saint-Denis.
Le Stade Français pleure la disparition de l'une de ses adhérentes, assassinée alors qu'elle se trouvait chez elle, dans son appartement à Neuilly-sur-Marne. Le corps de Zenash Gezmu, jeune marathonienne de 27 ans, a été retrouvé inanimé en début de semaine. L'athlète aurait été frappée par un objet puis asphyxiée à mains nues par un individu qui s'est rendu à la police mardi avant d'avouer son crime.
L'homme de 27 ans, un Erythréen, est allé au commissariat pour s'accuser du meurtre de l'athlète mais il n'a toutefois pas expliqué les motivations de son acte. Il a été mis en examen et écroué.
Levée à 5h du matin pour s'entraîner avant d'aller travailler:
Petit bout de femme (1,50 m pour 38 kg), Zenash Gezmu avait quitté l'Ethiopie et toute sa famille pour s'établir en Europe en 2011. Passionnée de sport et de course de fond, elle se levait très tôt le matin à cinq heures pour s'entraîner avant d'aller travailler en tant que femme de ménage dans un hôtel. En fin de journée, celle qui avait remporté à trois reprises le marathon de Sénart en 2014, 2015 et 2016, retrouvait son équipement pour aller courir. Tous ces efforts lui permettaient d'amasser quelques primes de course pour compléter son modeste salaire. Selon Le Parisien qui cite un proche de la victime, cet argent économisé a peut-être été convoité par l'assassin.
Source:Le Figaro.
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
.............Elle se fait passer pour morte afin d'échapper à la justice...............
«C’est la première fois que je vois ça de ma carrière», confesse le président du tribunal correctionnel de Nantes. Ce jeudi, une ancienne assistante maternelle de Nozay (Loire-Atlantique) a été condamnée à trois mois de prison ferme… pour avoir envoyé son propre certificat de décès à la juridiction afin d’échapper à des poursuites judiciaires.
Sonia Dréano-Le Ny, 48 ans, devra payer une amende de 6000 euros au Trésor public et se plier à une mise à l’épreuve de deux ans, qui l’obligera à suivre des soins et à indemniser ses victimes. Selon un psychiatre, cette femme est «manipulatrice» et sujette à des «tendances mythomaniaques».
Tentative de suicide médicamenteuse:
La nounou était en effet dans le collimateur de plusieurs parents : elle leur avait fait croire qu’elle pouvait garder leurs enfants à son domicile, bien qu’elle ait officiellement renoncé à l’agrément (et aux contrôles) du département de la Loire-Atlantique. Reste que la Caisse d’allocations familiales (CAF) ne l’avait pas entendu de cette oreille.
Huit couples, qui s’étaient vu refuser les aides financières auxquelles ils pensaient avoir droit, s’étaient donc retournés contre l’assistante maternelle : l’un d’eux s’était vu réclamer 15 000 euros d’allocations versées à tort. Un autre avait dû rembourser 8000 euros d’exonérations fiscales indûes. C’est à ce moment-là que Sonia Dréano-Le Ny avait eu l’idée de falsifier le certificat de décès de son défunt mari…
Elle l’avait envoyé au tribunal au nom de sa fille aînée, à l’insu de cette dernière. Jeudi, la prévenue n’a pas pu s’expliquer à l’audience : elle a fait une nouvelle «tentative de suicide médicamenteuse» mercredi, à la veille de l’audience. Son avocate n’a pas obtenu un quatrième renvoi de l’affaire, comme elle l’avait demandé.
Source:Le Parisien.
«C’est la première fois que je vois ça de ma carrière», confesse le président du tribunal correctionnel de Nantes. Ce jeudi, une ancienne assistante maternelle de Nozay (Loire-Atlantique) a été condamnée à trois mois de prison ferme… pour avoir envoyé son propre certificat de décès à la juridiction afin d’échapper à des poursuites judiciaires.
Sonia Dréano-Le Ny, 48 ans, devra payer une amende de 6000 euros au Trésor public et se plier à une mise à l’épreuve de deux ans, qui l’obligera à suivre des soins et à indemniser ses victimes. Selon un psychiatre, cette femme est «manipulatrice» et sujette à des «tendances mythomaniaques».
Tentative de suicide médicamenteuse:
La nounou était en effet dans le collimateur de plusieurs parents : elle leur avait fait croire qu’elle pouvait garder leurs enfants à son domicile, bien qu’elle ait officiellement renoncé à l’agrément (et aux contrôles) du département de la Loire-Atlantique. Reste que la Caisse d’allocations familiales (CAF) ne l’avait pas entendu de cette oreille.
Huit couples, qui s’étaient vu refuser les aides financières auxquelles ils pensaient avoir droit, s’étaient donc retournés contre l’assistante maternelle : l’un d’eux s’était vu réclamer 15 000 euros d’allocations versées à tort. Un autre avait dû rembourser 8000 euros d’exonérations fiscales indûes. C’est à ce moment-là que Sonia Dréano-Le Ny avait eu l’idée de falsifier le certificat de décès de son défunt mari…
Elle l’avait envoyé au tribunal au nom de sa fille aînée, à l’insu de cette dernière. Jeudi, la prévenue n’a pas pu s’expliquer à l’audience : elle a fait une nouvelle «tentative de suicide médicamenteuse» mercredi, à la veille de l’audience. Son avocate n’a pas obtenu un quatrième renvoi de l’affaire, comme elle l’avait demandé.
Source:Le Parisien.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
................Complément de l'article posté par Lofoten concernant le "poinçonneur de pneus Bordelais"..............
..................................(Déclaration de Madame le Procureur)....................................
Au lendemain de l’interpellation de l’homme qui aurait crevé les pneus de près de 6 000 véhicules, le procureur de la République Marie-Madeleine Alliot a tenu une conférence de presse aux côtés de Bigitte Jullien, directrice départementale de la sécurité publique (DDSP).
Jamais condamné, inconnu des services de police. Le Bordelais de 45 ans, célibataire, qui n’a pas de famille dans la région, est passé inaperçu pendant les longues années où il a sévi, un poinçon à la main. C’est après avoir trouvé cet outil dans la rue qu’il a subitement décidé de s’en servir pour crever des pneus de véhicules. Agissant toujours la nuit, entre 2 et 5 heures du matin.
Se déplaçant à pied et en tramway, le sérial poinçonneur a écumé l’agglomération bordelaise, prenant pour cible près de 6 000 véhicules. Pour l’instant, 1 100 plaintes ont été recensées par le parquet de Bordeaux.
Le témoignage de deux riverains
C’est à la suite de longues et minutieuses investigations initiées par un major de police du bureau des Capucins que les enquêteurs de la Sûreté urbaine sont parvenus à identifier et interpeller le poinçonneur.
La rédaction vous conseille
Poinçonneur de pneus arrêté à Bordeaux : il aurait agi pour se venger de la société.
Le précieux témoignage de deux riverains de Talence recueilli il y a quelques mois a permis aux policiers d’obtenir une description assez précise du suspect qui a été arrêté dans la nuit de mardi à mercredi par la brigade anti-criminalité alors qu’il quittait son domicile bordelais, un poinçon à la main, pour se rendre dans le quartier de Caudéran.
"C’est une personnalité obsessionnelle et solitaire", a décrit le procureur de la République Marie-Madeleine Alliot, reprenant les conclusions de l’expert psychiatre qui s’est entretenu avec le serial creveur lors de sa garde à vue. Une contre expertise sera ordonnée prochainement afin de mieux cerner sa personnalité en vue de la comparution du mis en cause le 18 mai 2018 devant le tribunal correctionnel de Bordeaux.
Un besoin de reconnaissance:
"Il a besoin de reconnaissance", a ajouté la magistrate. "C’était un dossier difficile en raison du profil psychologique de cet homme qui était ultra-méthodique et faisait très attention lorsqu’il sortait pour commettre ses méfaits", a indiqué le commissaire Nicolas Perez, chef de la Sûreté départementale de la Gironde. "C’est un travail de fond, de longue haleine qui était loin d’être gagné".
Le préjudice global est estimé à 400 000 euros:
Brigitte Jullien, directrice départementale de la sécurité publique (DDSP), comme le 1er vice-procureur Jean-Claude Belot, ont eux aussi tenu à saluer "l’action exemplaire des policiers dans cette affaire".
"La police ne lâche rien et va jusqu’au bout", a rappelé Brigitte Jullien. "Il était dans sa logique et a été interpellé quasiment en pleine action", a précisé Jean-Claude Bellot.
2 ans de prison encourus:
Le serial poinçonneur, présenté au parquet puis à un juge des libertés et de la détention, a été placé sous contrôle judiciaire et non sous bracelet électronique comme le parquet l’avait requis, pour lui interdire toute sortie nocturne. Devant le tribunal correctionnel où il devra répondre de dégradations de biens privés, il encourt une peine de 2 ans de prison et une amende de 300 000 euros. "Il fallait que cela s’arrête", a conclut Brigitte Jullien. Le préjudice global est estimé à environ 400 000 euros.
Source:Sud-Ouest.
..................................(Déclaration de Madame le Procureur)....................................
Au lendemain de l’interpellation de l’homme qui aurait crevé les pneus de près de 6 000 véhicules, le procureur de la République Marie-Madeleine Alliot a tenu une conférence de presse aux côtés de Bigitte Jullien, directrice départementale de la sécurité publique (DDSP).
Jamais condamné, inconnu des services de police. Le Bordelais de 45 ans, célibataire, qui n’a pas de famille dans la région, est passé inaperçu pendant les longues années où il a sévi, un poinçon à la main. C’est après avoir trouvé cet outil dans la rue qu’il a subitement décidé de s’en servir pour crever des pneus de véhicules. Agissant toujours la nuit, entre 2 et 5 heures du matin.
Se déplaçant à pied et en tramway, le sérial poinçonneur a écumé l’agglomération bordelaise, prenant pour cible près de 6 000 véhicules. Pour l’instant, 1 100 plaintes ont été recensées par le parquet de Bordeaux.
Le témoignage de deux riverains
C’est à la suite de longues et minutieuses investigations initiées par un major de police du bureau des Capucins que les enquêteurs de la Sûreté urbaine sont parvenus à identifier et interpeller le poinçonneur.
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Poinçonneur de pneus arrêté à Bordeaux : il aurait agi pour se venger de la société.
Le précieux témoignage de deux riverains de Talence recueilli il y a quelques mois a permis aux policiers d’obtenir une description assez précise du suspect qui a été arrêté dans la nuit de mardi à mercredi par la brigade anti-criminalité alors qu’il quittait son domicile bordelais, un poinçon à la main, pour se rendre dans le quartier de Caudéran.
"C’est une personnalité obsessionnelle et solitaire", a décrit le procureur de la République Marie-Madeleine Alliot, reprenant les conclusions de l’expert psychiatre qui s’est entretenu avec le serial creveur lors de sa garde à vue. Une contre expertise sera ordonnée prochainement afin de mieux cerner sa personnalité en vue de la comparution du mis en cause le 18 mai 2018 devant le tribunal correctionnel de Bordeaux.
Un besoin de reconnaissance:
"Il a besoin de reconnaissance", a ajouté la magistrate. "C’était un dossier difficile en raison du profil psychologique de cet homme qui était ultra-méthodique et faisait très attention lorsqu’il sortait pour commettre ses méfaits", a indiqué le commissaire Nicolas Perez, chef de la Sûreté départementale de la Gironde. "C’est un travail de fond, de longue haleine qui était loin d’être gagné".
Le préjudice global est estimé à 400 000 euros:
Brigitte Jullien, directrice départementale de la sécurité publique (DDSP), comme le 1er vice-procureur Jean-Claude Belot, ont eux aussi tenu à saluer "l’action exemplaire des policiers dans cette affaire".
"La police ne lâche rien et va jusqu’au bout", a rappelé Brigitte Jullien. "Il était dans sa logique et a été interpellé quasiment en pleine action", a précisé Jean-Claude Bellot.
2 ans de prison encourus:
Le serial poinçonneur, présenté au parquet puis à un juge des libertés et de la détention, a été placé sous contrôle judiciaire et non sous bracelet électronique comme le parquet l’avait requis, pour lui interdire toute sortie nocturne. Devant le tribunal correctionnel où il devra répondre de dégradations de biens privés, il encourt une peine de 2 ans de prison et une amende de 300 000 euros. "Il fallait que cela s’arrête", a conclut Brigitte Jullien. Le préjudice global est estimé à environ 400 000 euros.
Source:Sud-Ouest.
Aux mains de l'Etat,la force s'appelle Droit....Aux mains de l'individu,elle se nomme le crime....
Si tu m'as pris pour un clown tu t'es trompé de Carnaval...
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Re: Foire aux infos "de second plan".......Sérieuses ou pas.....
..................................Le feu de camp pour accueillir la clientèle.....................................
Les dealers de la place des Faons, haut lieu du trafic de drogue dans le quartier des Izards à Toulouse, usent de tous les subterfuges pour accueillir la "clientèle". Avec le froid qui s'installe, les trafiquants ont été surpris en train d'allumer un feu de camp sur la place avec des planches d'assise d'un banc, comme ont pu le constater, ce mercredi 29 novembre, les agents de la police municipale alertés par la vidéo protection.
Trois personnes ont été interpellées: un vendeur de drogue, un acheteur et une personne ayant dégradé le banc pour nourrir le feu. Les policiers ont récupéré un pochon de cocaïne destiné à la transaction illicite.
Source:La Dépêche.
Les dealers de la place des Faons, haut lieu du trafic de drogue dans le quartier des Izards à Toulouse, usent de tous les subterfuges pour accueillir la "clientèle". Avec le froid qui s'installe, les trafiquants ont été surpris en train d'allumer un feu de camp sur la place avec des planches d'assise d'un banc, comme ont pu le constater, ce mercredi 29 novembre, les agents de la police municipale alertés par la vidéo protection.
Trois personnes ont été interpellées: un vendeur de drogue, un acheteur et une personne ayant dégradé le banc pour nourrir le feu. Les policiers ont récupéré un pochon de cocaïne destiné à la transaction illicite.
Source:La Dépêche.
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