là on parle d'arnaque des salariés, ne mélanges pas les sujets ...lepicard a écrit : ↑04 novembre 2019 19:38tu auras beau nous vomir du Besancenooooo , il vaut mieux subventionner les boites que de filer du fric à une bande de pouilleux qui s'empresseront d'aller le griller dans des merdes made in PRClotus95 a écrit : ↑04 novembre 2019 18:56
ben déjà donnes l'exemple en prouvant que tu as capté que la distinction cotisations salariales/patronales, c'est du vent ...
dans les deux cas, elles font partie intégrante de la rémunération des salariés ; ce n'est qu'un habillage trouvé par les syndicats patronaux pour enfumer, et pleurer occasionnellement pour grapiller des aides parce qu'elles sont trop lourdes ...
en réalité, quand on dit que les cotisations sont trop élevées, on dit que la rémunération est trop élevée ; idem quand on allège les cotisations, on baisse in fine la rémunération des salariés
pour t'en convaincre, imagines un système où il n'y a plus d'organismes collecteurs et où le salarié assume lui-même sa protection sociale : dans ce cas de figure, il percevrait le superbrut (brut + cotisations "patronales")
Le CICE (et maintenant les allègements de charges) est donc bel et bien une arnaque qui ne dit pas son nom dans la mesure où c'est la rémunération des salariés qu'on a diminuée.
le meme pouilleux n'a ka investir dans des actions ,plutot que de gaver l'écureuil (déja bien gras) ,, seulement NON!!!; on préfere casser du sucre sur le dos de forces vives , sans se mouiller
tant que vous vous comporterez comme des kolkhoziens , vous serez payés et considérés comme tels
les plus grands pouilleux sont bien ces espèces de parasites qui délocalisent et licencient à tour de bras tout en quémandant des subventions pour arrondir leurs bénéfices et dividendes, en faisant croire aux gogos qu'ils sont écrasés par les charges ...
tes forces vives, ça fait des lustres qu'elles ont dégagé hors de France et qu'elles ne font vivre que leurs pécules bien planqués en mangeant à tous les râteliers
arrêtes ton discours surchauffé, tu n'y crois pas toi même