tu as raison sur la formulation, me suis mal exprimée, mais bon tu as compris que les investissements en PME permettaient aux plus riches de diminuer leur ISF ; et qu'en le supprimant, ben plus d'incitation à l'investissement en entreprise, et donc plus d'investissement ...UBUROI a écrit : ↑16 janvier 2020 21:59D'abord ta formulation est trompeuse voire erronée: à mon sens ta formulation aurait dû être la suivante:....celle qui supprime l'ISF et par ricochet les crédit d'impôts pour investissements en PME
...et par ricochet les investissements en PME
Mais bon... Comme quoi la "suppression de l'ISF" a du bon!
on prend moins aux riches... ce qui paraissait scandaleux!
Mais en retour, ces mêmes riches...utilisent moins les niches fiscales!
Comme quoi, Attac devrait être content! Ben même pas!
Je t'ai suivi sur ton "raisonnement" mais en vérité, il faudrait que tu chiffres entre 2017 et 2019 ce ricochet supposé.
et on voudrait aujourd'hui compenser cette désaffection des investisseurs, et convaincre les français qu'en ces temps incertains, ils devraient miser sur des entreprises qui peuvent s'écrouler demain sous l'effet d'une crise et leur faire perdre leur épargne-retraite
sinon, j'ai trouvé ça sur ce que ça représenterait :
https://www.lesechos.fr/economie-france ... sf-1150149
Les chiffres affichés sont de ce point de vue éloquents. Ainsi l'incertitude entourant le dispositif « Madelin » a porté un sérieux coup aux investissements dans ces fonds de défiscalisation dont les montants levés sont passés de 502 à 355 millions d'euros entre 2017 et 2018. Or, le renforcement de cette niche visait justement l'objectif inverse, d'autant que, dans le même temps, les 581 millions d'euros investis via l'ISF-PME ont disparu avec la fin de cette niche.