danielle49 a écrit : ↑07 mai 2020 19:20 Plusieurs cas de coronavirus chez les légionnaires du Larzac. La chèvre zéro est activement recherchée.
Tu n'en loupes pas une ..
danielle49 a écrit : ↑07 mai 2020 19:20 Plusieurs cas de coronavirus chez les légionnaires du Larzac. La chèvre zéro est activement recherchée.
Source:Le Parisien.
La vidéo particulièrement violente d'une femme interpellée par trois agents de la Sûreté ferroviaire, en gare d'Aulnay-sous-Bois (Seine-Saint-Denis), circule largement sur les réseaux sociaux depuis hier soir.
On y voit une voyageuse projetée à terre par la sécurité de la SNCF (Suge), plaquée sur le ventre, recevoir un coup au visage. Son mari, qui tente d'intervenir avant d'être maîtrisé, ainsi que la jeune femme elle-même, indiquent aux agents qu'elle est enceinte. Plusieurs usagers tentent d'apaiser les choses, demandant à la fois aux agents et à la jeune femme - qui hurle de faire attention « à son ventre » - de « se calmer ».
Plainte des agents et de la femme interpellée:
Selon une source proche de l'enquête, les trois agents de la Suge ont déposé plainte mardi soir pour outrages et rébellion. « La personne interpellée n'avait pas de titre de transport, pas de masque, et a refusé le contrôle », indique la même source, qui précise aussi que celle-ci a « postillonné au visage des agents et tenté de leur porter un coup ». Elle aurait aussi « craché par terre » selon les déclarations des agents.
L'interpellée a aussi déposé plainte, ce mercredi matin, au commissariat de Sevran, pour « violences volontaires aggravées par personne dépositaire de l'autorité publique ». Sur la vidéo, on la voit, à de nombreuses reprises, demander aux agents de ne pas la plaquer sur le ventre, tandis que son mari répète qu'elle attend un bébé. Ce faisant, les agents de la Suge la plaquent au sol pour la menotter, les bras dans le dos.
Des examens pour vérifier « son état déclaré de grossesse »:
Dans la foulée de son interpellation, elle a été transportée à l'hôpital pour des examens médicaux, notamment s'agissant de « son état déclaré de grossesse » — qu'une source proche du dossier n'était pas en mesure de confirmer ce matin.
Elle doit également être examinée à l'unité médico-judiciaire de l'hôpital Jean-Verdier pour d'éventuelles blessures et se voir prescrire des ITT.
Les témoins confirment « la violence de la scène »
Reste que la vidéo a suscité l'émoi. Un témoin que nous avons pu contacter raconte : « Cette femme se trouvait entre les portiques dans le passage réservé aux handicapés. Moi, j'avais déjà validé mon passe Navigo et je m'apprêtais à emprunter le passage souterrain qui mène de l'autre côté de la gare lorsque les agents de la sûreté ferroviaire ont tenté d'interpeller cette femme. L'un d'entre eux a même pris la veste de cette dame et l'a jeté de l'autre côté des portiques. Ça a duré 10 secondes […]. » De nombreux autres confirment « la violence » de la scène.
Ce mercredi matin, la gare avait retrouvé son calme, même si l'interpellation était sur toutes les lèvres. Le kiosquier de la structure était « surpris » de l'emballement : « Ces agents, je les connais, ce ne sont pas des violents, ils sont calmes. Il a dû se passer quelque chose avant pour que cela dégénère ! » Contactée, la SNCF n'a pas encore répondu à notre sollicitation.
Source:Le Parisien.
André-Paul Miller est persuadé d'avoir découvert un procédé révolutionnaire capable de stocker l'énergie. Afin de développer son invention et d'abonder sa société de recherche et développement, cet ancien professeur agrégé de physique à l'Université de Nancy (Meurthe-et-Moselle) a convaincu plus de 160 personnes de verser près de 2,8 millions d'euros via une kyrielle de sociétés d'investissement.
A l'issue d'une minutieuse enquête dans les arcanes de ce montage financier, les enquêteurs de la PJ de Nancy ont surtout découvert que le savant avait puisé près de 1,7 million d'euros sur les comptes de la société de recherche pour les reverser sur les siens (et ils étaient nombreux : l'administration fiscale en a recensé 28). Avec l'accord de ses actionnaires, s'est-il défendu en substance. Mais certainement pas des 50 qui se sont constitués parties civiles. André-Paul Miller comparaît à partir de ce jeudi devant le tribunal correctionnel de Nancy pour escroquerie, abus de bien social, banqueroute et fraude fiscale.
Il conteste les faits et reproche surtout à la justice, qui ne croit guère en sa trouvaille, de l'empêcher de poursuivre ses travaux.
Mégalomanie et paranoïa:
Afin d'amadouer ses investisseurs − recrutés au Rotary, à son club de golf ou par l'entremise de son cousin − André-Paul Miller leur promettait de multiplier leur mise par 10 ou même par 100. Pour les rassurer, il leur montrait un prototype de son invention − décrit par un actionnaire comme une « boîte de plexiglas reliée à deux fils qui permettaient d'alimenter des appareillages électriques en 48 volts, en moyenne tension continue ».
Il leur assurait également que le procédé avait obtenu un agrément de la société de certification Veritas. Or les investigations ont révélé que le document produit était un faux, André-Paul Miller ayant annulé au dernier moment la visite du salarié de Veritas. Face au juge d'instruction, il a maintenu que son invention avait été expertisée. Mais il est incapable d'en produire des prototypes, ceux-ci ayant été, dit-il, détruits.
Amateur de belles voitures, André-Paul Miller entretenait un train de vie fastueux : vacances à Courchevel, à l'île Maurice, aux Seychelles, achats dans des boutiques de luxes… A la tête d'un important patrimoine immobilier, il avait aussi de nombreux emprunts à rembourser. Ses actionnaires et ses proches ont décrit sa mégalomanie et sa paranoïa. Vantant son invention comme susceptible de révolutionner l'économie française, il vivait dans la peur panique d'être espionné.
Lors de la perquisition à son domicile effectuée pendant sa garde à vue en 2015, les enquêteurs ont constaté qu'il avait transformé le sous-sol de sa maison en bunker.
Intelligence supérieure et troubles psychiques:
Au cours de l'instruction, le scientifique de 54 ans, radié de l'université en 2011 après avoir cessé d'assurer ses cours, a peu collaboré. Il a refusé de livrer plusieurs documents à la justice, de peur que le secret de son invention ne soit éventé. De la même manière a-t-il justifié l'absence de déclaration des comptes de ses nombreuses sociétés. L'expert psychiatre qui l'a examiné a relevé ses capacités intellectuelles largement supérieures à la moyenne, mais également des troubles psychiques de nature à avoir altéré son discernement.
Pour les juges qui l'ont renvoyé devant le tribunal correctionnel, André-Paul Miller s'est servi de l'argent de ses actionnaires pour ses coûteuses dépenses personnelles. Ce qu'il conteste, assurant avoir toujours utilisé l'argent dans l'intérêt du projet. « M. Miller a multiplié les manœuvres pour flouer ses investisseurs », assène Me Nicolas Pasina, qui défend les intérêts d'une trentaine de parties civiles. « Peu importe que son invention existe ou non, la réalité est qu'il a vécu de nombreuses années grâce à l'argent de mes clients qui se sentent trahis », poursuit le pénaliste nancéien dont les clients ont versé entre 3 000 et 60 000 euros.
André-Paul Miller a passé deux mois en détention provisoire en 2015. Depuis 2016, il est embauché par une société luxembourgeoise avec pour mission de… poursuivre la recherche sur son invention miracle. Certains de ses actionnaires croient encore en lui. Contactée, son avocate n'a pas souhaité s'exprimer avant l'audience.
Source:Le Parisien.
NextRadioTV, maison-mère de BFMTV et RMC, prévoit de supprimer 330 à 380 postes en CDI dans le cadre d'un «plan de transformation et de reconquête post-Covid», a annoncé l'intersyndicale de cette filiale du groupe Altice mercredi.
«Le chiffre est tombé : un salarié sur trois devra partir et c'est écœurant. La direction avance le nombre de 330 à 380 CDI et jusqu'à 200 pigistes et intermittents», affirme l'intersyndicale CFDT-CFTC-CGT-SNJ-UNSA dans un communiqué. «Cette coupe drastique est incompréhensible dans un groupe qui réalise structurellement des bénéfices», soulignent les représentants des salariés, qui organiseront une assemblée générale mardi 23 juin.
Phase de «volontariat» pour commencer:
La maison-mère de BFMTV et RMC (groupe Altice) anticipe un écroulement des recettes publicitaires post-crise sanitaire et avait annoncé mi-mai une réduction de ses effectifs, dont l'ampleur a été précisée mardi au cours de négociations avec les syndicats.
Ce «plan de transformation et de reconquête post-Covid» avait été présenté le 19 mai aux représentants syndicaux. Le groupe, qui emploie plus de 1.600 personnes (ETP), avait souligné que ses effectifs avaient augmenté de plus de 50% ces six dernières années. Les négociations doivent se poursuivre pendant l'été.
NextRadioTV prévoit de diviser par deux le recours aux intermittents, aux pigistes et aux consultants et de «mutualiser les fonctions supports». Le groupe va également réduire la voilure dans le sport et le divertissement. Le plan social «débuterait par une phase de volontariat, les licenciements contraints n'interviendraient que si le nombre de volontaires était insuffisant», avait précisé la direction du groupe en mai.
«Notre objectif sera de limiter autant que possible l'impact sur les postes en CDI et de poursuivre l'excellence éditoriale, tout en développant les compétences technologiques et les forces commerciales, essentielles à NextRadioTV», avait précisé le groupe.
Avec ce virage stratégique, NextRadioTV entend accélérer dans le numérique, le replay et les «services associés», qui permettent aux chaînes de se faire rémunérer par les opérateurs de télécoms. Le groupe souhaite investir dans les podcasts, les données, et poursuivre son développement dans l'info locale.
Source:Le Parisien.
Un Turc de 39 ans, qui s'était acharné à coups de couteau en pleine rue sur son épouse avec qui il était en instance de divorce en 2017, a été condamné à 25 ans de réclusion criminelle par les assises de la Loire, dans la nuit de vendredi à samedi.
Au terme de trois jours de procès, le jury a suivi les réquisitions de l'avocat général Marco Scuccimara en prononçant également le « retrait de l'autorité parentale » à ce père de quatre enfants, âgés de 6 à 13 ans.
Outre l'assassinat de sa femme Hulya, 34 ans, dont il vivait séparé, Eyup Kantar a également été déclaré coupable de « tentative d'assassinat » du nouveau compagnon de son ex-épouse.
Il lui avait porté une quinzaine de coups de couteau, après avoir forcé l'entrée à leur domicile commun, à La Grand-Croix (Loire), dans la nuit du 12 au 13 août 2017.
Sept coups mortels:
Après avoir très grièvement blessé cet homme de nationalité sénégalaise, le meurtrier s'était ensuite lancé à la poursuite de son épouse qui avait couru hors du logement.
En pleine rue, à la vue de témoins, il l'avait saisie par les cheveux et lui avait porté 27 coups de couteau, dont « sept coups jugés mortels » par le médecin légiste.
L'accusation a démonté les explications de ce musulman pratiquant qui a évoqué pour sa défense un «crime d'amour » et un « coup de folie ». Installé en France depuis une quinzaine d'années, ce façadier de métier ne s'exprime qu'en turc.
Le ministère public a plutôt qualifié les faits de « crime possessionnel prémédité » de la part de cet homme qui violait sa femme et qui avait prévenu qu'il ne la laisserait pas le quitter, selon les membres de la famille de la victime appelés à la barre.
Me Annick Sadurni, représentante de l'association Enfance et partage, partie civile pour les quatre enfants du couple, a expliqué que ces derniers « ne veulent plus parler à leur père, ni le voir ».
mic43121 a écrit : ↑05 juin 2020 07:40Crapulax a écrit : ↑14 mai 2020 14:43 ................................................Confinement: Il se baigne déguisé en bouée et se fait verbaliser.............................................
Alors que la plage de l’Almanarre est toujours fermée au public à Hyères, dans le Var, ils ont tout de même voulu piquer une tête dans l’eau vendredi 8 mai.
La vidéo de la blague de deux baigneurs est devenue virale sur les réseaux sociaux et a été vue plus de 176 000 fois en 48 heures,raconte « Var-Matin ».
Source:Le Point.
https://www.lepoint.fr/insolite/confine ... 903_48.php
La route est restée fermée jusqu'au 29 Mai….Dimanche 30 Mai je suis passé en voiture ..
..sur les 4 km de route aucune place pour stationner ..comme si le covid était une blague ..
Les gens se sont précipités …beaucoup de 13..les flics devaient avoir des ordres pour ne pas verbaliser.
Peu de monde dans l'eau …pour les locaux l'eau est encore froide ..
Il y a longtemps on venait a pied avec notre bardat sur le dos la "route du sel" c'était le "chemin de sable"
Pas de route ..comme c'était peu fréquenté ..on venait faire de la chasse sous marine.. il y avait du poisson..
L'Almanarre est réputé pour les sports de voiles …
l'été tu peux passer ..mais comme Dimanche tu ne peux pas t'arrêter.
totalement stupide , si elle avait mis un asiatique aussi elle aurait été accusée de racisme et si elle avait mis un blanc elle aurait été accusé de discrimination racialePeracetic a écrit : ↑21 juin 2020 08:25 bonjour à vous tous
Accusée de racisme, la marque Uncle Ben's va changer de logo
Dommage que cette marque se plie à des esprits tordus , ceux ci vont ils bientôt nous interdire d’écrire à l’encre noir sur du papier blanc Attention la débilité n’a plus de limite
Source:Le Parisien.
Les fêtards étaient pourtant loin des premières habitations mais la musique qui s'échappait des nombreuses sonos s'est fait entendre une bonne partie de la nuit de samedi à dimanche à Longueil-Sainte-Marie.
Les gendarmes ont eu le plus grand mal à accéder au site d'une free party qui se situait non loin des carrières de granulats, entre la D 200 et les bords de l'Oise. Ils y ont découvert une centaine de personnes venues du Nord, de l'Aisne, de l'Oise et de la banlieue parisienne.
Sur réquisition du procureur de la République de Compiègne, les militaires ont procédé à la saisie des platines et des tables de mixage pour faire cesser l'événement. Vingt-cinq infractions au Code de la route ont été constatées, notamment des conduites en état alcoolique et sous l'empire de stupéfiants.
Un homme aux propos délirants:
Un revendeur de drogues venu de Maubeuge (Nord) a été interpellé et placé en garde à vue. Il avait sur lui de l'argent liquide, de la kétamine et de l'herbe de cannabis.
Alors que les gendarmes procédaient à l'évacuation des lieux, un individu au volant d'un véhicule s'est stoppé devant eux, a tenu des propos incohérents sur l'enfer et le démon tout en se roulant par terre et en crachant. Les forces de l'ordre ont fini par le maîtriser et le conduire aux urgences. Son état qualifié de délirant ne le rendait pas apte à une mesure de garde à vue. C'est donc aux urgences qu'il a continué ses divagations. Il sera auditionné quand son état sera revenu à la normale.
Les organisateurs de la soirée doivent eux aussi être convoqués en gendarmerie.
Alors que les gendarmes procédaient à l'évacuation des lieux, un individu au volant d'un véhicule s'est stoppé devant eux, a tenu des propos incohérents sur l'enfer et le démon tout en se roulant par terre et en crachant. Les forces de l'ordre ont fini par le maîtriser et le conduire aux urgences. Son état qualifié de délirant ne le rendait pas apte à une mesure de garde à vue. C'est donc aux urgences qu'il a continué ses divagations
Source:Le Figaro.
Son nom était apparu dans la presse l’année dernière. Un an et demi plus tard, Hervé V., baptisé «le chirurgien de l’horreur» parce qu’accusé d’avoir raté les opérations de plusieurs dizaines de patients, a été mis en examen le 10 juin dernier pour «homicide involontaire» pour deux patients décédés et «blessures involontaires» sur 74 victimes, a appris Le Figaro auprès du parquet de Grenoble, confirmant une information de RTL.
Les deux juges d’instruction en charge de l’enquête ont placé le médecin orthopédiste sous contrôle judiciaire. Hervé V. a notamment interdiction d’exercer sa profession et de rentrer en contact avec les plaignants. À ce jour, 74 personnes ont porté plainte contre cet homme. Tous l’accusent d’avoir raté leur opération chirurgicale et d’être responsable de leurs séquelles.
Suspendu par le Conseil de l'ordre:
Une première alerte avait été donnée en 2016 lorsque la Sécurité sociale avait relevé des irrégularités dans 54 dossiers de patients en 2013 et 2014. Ce sont les séquelles à la suite d’opérations menées par le même médecin qui avaient attiré l’attention des médecins-conseils rattachés au service de contrôle de l’Assurance maladie de l’Isère. Après un an d’enquête, ils avaient conclu que les interventions chirurgicales n’étaient pas toujours justifiées, relevé un manque de suivi pré ou postopératoire pour de nombreux patients et remarqué que le médecin avait recours à «une technique opératoire non conforme aux données de la science».
Dans la foulée, la justice s’était emparée de l’affaire et avait ouvert une enquête préliminaire. Début 2019, le Conseil de l’ordre des médecins l’avait suspendu pour «des manquements d’une extrême gravité et un comportement gravement fautif» dans l’exercice de ses fonctions. Parallèlement, plusieurs patients avaient témoigné dans la presse pour raconter leur calvaire postopératoire. Comme Serge Gillet, 62 ans, opéré d’une hernie discale en 2014.
À l’époque, le médecin lui avait posé une dizaine de vis dans la colonne vertébrale. «Mes os étaient trop fragiles. Il n’aurait jamais dû m’opérer. Un nerf a été touché. Une grave infection s’est aussi développée au niveau de ma colonne. J’aurais pu terminer entre quatre planches», avait-il raconté au Parisien en avril 2019.
........« La mise en examen est la preuve qu'il existe des indices graves ou concordants que ce chirurgien a réellement commis les faits ».
(Me Édouard Bourgin, avocat d'une grande partie des victimes)
Dénonçant un lynchage médiatique, le médecin mis en cause avait porté plainte pour diffamation à l’encontre de plusieurs médias et patients avant d'y renoncer plusieurs mois plus tard. Entre-temps, en juin 2019, la justice ouvrait une information judiciaire et désignait deux magistrats instructeurs. Aujourd'hui encore, Hervé V. conteste toute responsabilité.
«La mise en examen est la preuve qu'il existe des indices graves ou concordants que ce chirurgien a réellement commis les faits», a déclaré à l'AFP l'avocat d'une grande partie des victimes présumées, Me Édouard Bourgin. «Si nos plaintes n'étaient pas fondées ou pas manifestement fondées, c'est le statut de témoin assisté dont aurait bénéficié le chirurgien», a-t-il ajouté.
Cette mise en examen a été accueillie avec «grand soulagement» du côté de l'avocat du docteur V., Me Bernard Boulloud. «Avec mon client, nous demandions cette mise en examen depuis un an pour avoir accès au dossier et lui permettre de se défendre. Car jusqu'à présent, il ne pouvait pas le faire. Il était en effet tenu par le secret médical et ne pouvait donc pas parler.
Désormais, il va pouvoir produire les pièces médicales qui vont venir contredire les plaintes de certains patients», a déclaré Me Boulloud à RTL.
Crapulax a écrit : ↑23 janvier 2020 13:45 ................................................L’Allemagne interdit le groupuscule néonazi Combat 18................................................
Composé d’une vingtaine de membres considérés comme prêts à l’action, le groupuscule est mis en cause dans l’assassinat d’un élu pro-migrants.
Source:Le Nouvel Obs.
Le gouvernement allemand a annoncé jeudi 23 janvier l’interdiction de la branche nationale du groupuscule néonazi Combat 18 né en Grande-Bretagne, et récemment mis en cause dans l’assassinat d’un élu pro-migrants.
« L’extrémisme de droite et l’antisémitisme n’ont pas de place dans la société », a indiqué un porte-parole du ministère de l’Intérieur sur Twitter pour justifier l’interdiction.
Il a, dans le même temps, fait état de perquisitions policières visant les membres du mouvement dans six régions du pays.
Ce groupuscule était depuis longtemps dans le collimateur des autorités. Il ne compterait actuellement plus qu’une vingtaine de membres mais considérés comme prêts à l’action violente.
Un sympathisant néonazi suspecté d’avoir assassiné en juin 2019 un élu local proche de la chancelière Angela Merkel, en raison de ses positions en faveur des migrants, avait été auparavant en contact avec Combat 18.
Le mouvement, né à l’origine en 1992 en Grande-Bretagne, tire son nom des première et huitième lettres de l’alphabet en référence à Adolf Hitler, son mot d’ordre est « Tous les moyens sont bons » et son emblème, un dragon aux griffes acérées.
Un ex-néonazi témoigne : « On se voyait comme des révolutionnaires de la race blanche »
Cette interdiction intervient dans un contexte de recrudescence des agressions racistes et antisémites dans le pays, avec notamment une attaque au fusil d’assaut contre une synagogue remplie de fidèles fin 2019 à Halle, où un massacre avait été évité de justesse.
https://www.nouvelobs.com/monde/2020012 ... at-18.html
Source:Le Parisien.
L'Allemagne a interdit un groupuscule d' extrême droite d'obédience néonazie et principalement actif sur les réseaux sociaux, a annoncé ce mardi un porte-parole du ministère de l'Intérieur.
« Depuis ce matin des mesures policières ont lieu dans quatre Etats régionaux », a-t-il précisé sur Twitter à propos de perquisitions visant ce groupuscule baptisé « Nordadler » (« aigle du Nord »).
« L'extrémisme de droite et l'antisémitisme n'ont pas non plus leur place sur Internet », a souligné le porte-parole, Steve Alter, alors que selon l'agence DPA, ces perquisitions se déroulent dans la Rhénanie-du-Nord-Westphalie, la Saxe, le Brandebourg et la Basse-Saxe.
La troisième interdiction depuis janvier:
C'est la troisième fois depuis le début de l'année que le ministère de l'Intérieur interdit un groupuscule d'extrême droite, après deux interdictions en janvier et en mars.
L'Allemagne a érigé au premier rang des menaces le terrorisme d'extrême droite après plusieurs attentats ces derniers mois, en particulier contre une synagogue de Halle, dans l'est du pays, en octobre 2019 et contre des bars à chicha à Hanau, près de Francfort, en février.
Le groupuscule interdit ce mardi utilise des symboles et le langage du Troisième Reich et se présente comme nostalgique d'Adolf Hitler et des principaux représentants néonazis de cette époque.
Apologie du terrorisme:
« Nordadler », marqué par son antisémitisme, avait pour projet d'établir une communauté néonazie dans la campagne allemande.
Via la messagerie Telegram, ses sympathisants avaient notamment exprimé leur sympathie pour l'auteur de l'attentat contre la synagogue de Halle qui avait failli commettre un massacre le jour de Yom Kippour.
Il avait finalement retourné son arme sur une passante et tué un homme dans un restaurant fréquenté par des immigrés.
Si j'osais, je dirais qu'on peut comparer l'U.E. à ce diplodocus. Cette U.E. qui a commencé à réagir face au Covid 19 seulement bien après que l'épidémie se soit pratiquement retirée. Dans les moments forts, l'information est restée dans la queue et n'a jamais réussit à atteindre le cerveau.danielle49 a écrit : ↑23 juin 2020 22:35 Controverse sur la façon de manifester sa joie pour un diplodocus en remuant la queue : de la tète à la queue ce saurien du mésozoique faisait 30 mètre minimum, en conséquence pour exprimer sa joie le message partant du cerveau pour atteindre la queue mettait un certain temps, de ce fait quand le diplodocus remuait enfin sa queue il pouvait à ce moment là n'ètre plus content du tout voir mème en colère ?
Si quelqu'un a la réponse ?