Perso je pensais que tu avais de la cervelle… Là c'est plutôt du cervelas ..
C'est bon... mais question neurone …apparemment c'est pas terrible
Très jolie !
Tu as 100% raison, il faudrait construire les villes à la campagne !
Si tu n'arrives même pas à comprendre ça pas étonnant que tu ne puisses pas comprendre le reste.
C'est clair qu'aucun aveugle ne voudra voir que la légitimité de biden est douteuse dans le cadre d'une représentation par comtés.Là c'est plutôt du cervelas ..
C'est bon... mais question neurone …apparemment c'est pas terrible
Tu as eu ce que tu demandais, à toi de démontrer qu'il y aurait des failles méthodologiques.
C'est normal de ne pas tout comprendre, c'est compliqué pour les américains et plus encore pour nous, les infos dont nous disposons sont pas toujours fiables, et les enjeux sont hyper-politiques.
Mais comment peuvent-ils ? Face à quelque chose d'aussi sérieux qu'un témoignage sous serment, la preuve ultime ! Ca plus les aveux de Biden. C'est à rien comprendre.
Les tribunaux se défaussent.
Le résultat est affiché depuis + d'un mois .Mais le rêve est autorisé ....jusqu'à un certain point quand mm.
tiens je viens faire un petit tour avant NoëlUBUROI a écrit : ↑23 décembre 2020 15:50 Et pendant que 3 neuneus se disputent la victoire de Trump The Fired, ce dernier gracie à qui mieux mieux.
Donald Trump gracie un de ses anciens conseillers et quatre hommes impliqués dans le scandale Blackwater
Une grâce totale a été accordée à George Papadopoulos, ancien conseiller diplomatique du président américain, condamné pour avoir menti au FBI dans l'enquête sur les soupçons d'ingérence russe lors de l'élection de 2016.
Donald Trump a accordé une grâce complète à une quinzaine de personnes et commué partiellement ou complètement les peines de cinq autres, a annoncé la Maison Blanche mardi 22 décembre. Ces pardons bénéficieront notamment à deux personnalités mises en cause dans l'enquête sur l'ingérence russe lors de l'élection de 2016.
Une grâce totale a ainsi été accordée à George Papadopoulos, un ancien conseiller diplomatique du président américain pendant sa campagne de 2016. Il avait reconnu avoir menti au FBI à propos de ses contacts avec un intermédiaire qui avait promis de le mettre en relation avec des responsables russes et avait purgé 12 jours de prison. "La grâce d'aujourd'hui corrige le mal infligé à beaucoup de gens par Mueller [procureur qui a supervisé l'enquête]", a déclaré la Maison Blanche.
Les grâces critiquées par les démocrates
https://www.rtbf.be/info/monde/detail_g ... d=10374004George Papadopoulos se présente pour le siège récemment abandonné par Katie Hill, une démocrate de 32 ans qui avait annoncé fin octobre renoncer à son mandat après avoir été accusée d’avoir eu une liaison avec l’un de ses assistants parlementaires, en violation des règles adoptées au Congrès dans le sillage du mouvement #MeToo.
bah c'est comme les courses truquées , ou dans le sport les gens dopés... c'est normal de faire une enquête
Source:Ouest-France.
Des personnalités mises en cause dans l’enquête russe, le père de son gendre Jared Kushner… Donald Trump a accordé mercredi 23 décembre une nouvelle salve de grâces présidentielles controversées, qui ont provoqué l’indignation jusque dans son propre camp.
La Maison Blanche a dévoilé dans la soirée une liste de près de trente grâces et autres mesures de clémence.
Parmi les bénéficiaires figurent Paul Manafort, ex-directeur de campagne de Donald Trump en 2016 et son ancien conseiller Roger Stone : deux personnalités mises en cause dans l’enquête sur l’ingérence russe dans la présidentielle américaine, lors de laquelle Trump avait été élu.
« Les mots sont insuffisants pour exprimer toute notre reconnaissance », a salué Paul Manafort sur Twitter.
Ce dernier purgeait une peine de sept ans et demi de prison pour diverses fraudes débusquées dans le cadre de l’enquête du procureur Mueller, deux années d’investigation sur une possible collusion entre la Russie et l’équipe Trump. Il avait été placé en résidence surveillée en mai en raison de l’épidémie de coronavirus.
Une décision vivement critiquée:
Mais Donald Trump a aussitôt été accusé de recourir - une fois de plus - de façon abusive au droit de grâce : fin novembre, il avait déjà gracié Michael Flynn, son ancien conseiller à la sécurité nationale, également mis en cause dans la même affaire russe.
« Pourri jusqu’à la moelle », a fustigé le sénateur Ben Sasse, un républicain.
« Trump vient de gracier une autre bande de criminels de son gang », a dénoncé l’élu démocrate du Texas Lloyd Doggett sur Twitter.
Le père de Jared Kushner, son jeune gendre et conseiller, figure aussi dans la liste publiée mercredi par l’exécutif américain. Charles Kushner avait été condamné en 2004 à deux ans de prison pour des malversations fiscales.
« Ce spectacle est toujours révoltant. Et c’est loin d’être fini ! », a critiqué David Axelrod, ancien conseiller de Barack Obama.
Coupables du meurtre de 14 civils irakiens:
Le président américain avait déjà annoncé mardi soir une quinzaine de grâces et cinq autres mesures de clémence, qui bénéficiaient notamment à quatre ex-agents de la sulfureuse société de sécurité privée Blackwater, reconnus coupables du meurtre de 14 civils irakiens en 2007 à Bagdad.
Ils avaient été reconnus coupables d’avoir ouvert le feu à la mitrailleuse et jeté des grenades sur un carrefour très fréquenté de Bagdad, alors qu’ils circulaient en véhicules blindés, un carnage qui avait suscité une indignation mondiale.
La Maison Blanche a affirmé que les quatre hommes, tous anciens militaires, avaient « un long passé de service à la nation ».
Mais à Bagdad, l’officier de police irakien qui a mené les enquêtes sur la fusillade a exprimé son indignation. « Je m’en souviens comme si c’était hier », a déclaré à Fares Saadi. « Je savais que nous ne verrions pas la justice ».
« Tout ceci me donne envie de vomir », a jugé l’ancienne sénatrice démocrate Claire McCaskill, qui siégeait à la commission des Forces armées de la Chambre haute. « Cette grâce déshonore notre armée de façon indicible. »
Loyauté avant tout:
La société Blackwater, qui a depuis disparu, avait été fondée par l’un des plus farouches partisans de Donald Trump, Eric Prince, qui est aussi le frère de la ministre de l’Education Betsy DeVos.
Pour le groupe anticorruption Citizens for Responsibility and Ethics in Washington (CREW), « le message de Trump est clair : la justice ne s’applique pas à vous si vous lui êtes loyal ».
Donald Trump envisagerait également, selon la presse américaine, d’accorder une grâce préventive à ses enfants, à Jared Kushner et à son avocat personnel Rudy Giuliani, avant de quitter la Maison Blanche en janvier.
Le milliardaire aurait aussi évoqué l’éventualité de se gracier lui-même de crimes pour lesquels il pourrait être poursuivi en relation avec son mandat. En 2018, il avait affirmé avoir « le droit absolu » de prendre cette mesure, qui serait un précédent.