C'est la rhétorique classique des régimes dictatoriaux: l'ennemi extérieur (OTAN), l'ennemi intérieur (Presse, ONG Memorial, Navalny et consorts), et on fabrique de toutes pièces les scénarios de ses crimes de guerre transformés en dénazification, ses bombardements de terreur ce sont des cibles militaires déguisées en hôpitaux, maternité, immeubles d'habitation. Les bombres au phosphore c'est pour éclairer la nuit...alors qu'aucune troupe n'est au sol et que l'on envoie des missiles "téléguidés" qui n'ont pas besoin de voir.papibilou a écrit : ↑29 mars 2022 09:20 Le principe retenu est le suivant : j'envoie une bombe ou un missile. Là où ça tombe il y avait forcément un nazi ukrainien armé. C'est un appartement ? C'est donc qu'il y avait un nazi dans cet appart. Dans un hôpital une école une crèche ? Idem. Les missiles russes sont équipés d'un système d'attraction vers la mentalité nazie ukrainienne.
J'applaudis Biden qui appelle "un monstre, un monstre" (j'évite "le chat", je les aimes trop!). C'est le "clown blanc"
Mais que Macron joue le rôle du clown Auguste, qui essaie de charmer le monstre, c'est un excellent duo.